L'Hôtellerie Restauration No 3743

Electrolux Professional partenaire de l’École Ducasse - Paris Campus Electrolux Professional a établi un accord de partenariat à long terme avec l’École Ducasse - Paris Campus. Electrolux a fait ses preuves et a ainsi convaincu de nombreux partenaires. Le nouveau campus de l’École Ducasse Paris, situé à Meudon (Hauts-de-Seine), est doté de 5 000 m² d’espace lié pour la cuisine. Équipé avec des fourneaux Thermaline Electrolux, des fours Skyline Electrolux, des fourneaux et rôtissoires Molteni, cet espace est destiné à devenir la norme mondiale en matière de formations. www.electroluxprofessional.com 6 L’Hôtellerie Restauration N° 3743 - 2 avril 2021 L’ACTUALITÉ PRODUITS & ÉQUIPEMENTS Par Célia Rigon Electrolux Professional devient le partenaire officiel de la nouvelle École Ducasse - Paris Campus. Lorsque le temps est venu de changer les matelas, ceux-ci se retrouvent souvent stockés, enterrés voire brûlés. La société Pierre Gold récupère ces matelas, qui doivent être de bonne qualité au départ, les rénove à l’aide d’un procédé à vapeur qui élimine 100%des bactéries. Ils sont alors réintégrés dans le circuit de la consommation, ce qui permet aux consommateurs particuliers comme professionnels d’acquérir des matelas de qualité à moindre coût. Pierre Gold se déplace pour unminimumde 30matelas, avec un service gratuit pour les professionnels. Tél. : 06 72 02 47 50 • pgenvironnement@outlook.fr www.pgenvironnement.fr Premier fournisseur des cafés, hôtels et restaurants indépendants en France, Metro proposera en septembre 2021 la solution Loop dans 10 points de vente de la région parisienne pour accompagner ses clients dans la réduction de leurs emballages. Les professionnels du secteur pourront donc retrouver le principe de la consigne, adaptée à leurs besoins, sur un assortiment de produits dont les contenants seront éco-conçus pour être réutilisés de nombreuses fois. Un montant correspondant à la consigne sera ajouté au prix du produit et remboursé une fois les emballages retournés en entrepôt. Ils seront ensuite triés, nettoyés et rendus aux marques partenaires pour être remplis de nouveau. Autre priorité annoncée par le ministère de la Transition écologique : l’interdiction de la vaisselle et des emballages jetables pour la restauration à emporter. Loop et Metro réfléchissent donc ensemble au développement d’une offre autour des emballages durables et réutilisables pour les restaurants offrant la vente sur place ou à emporter. www.metro.fr Pierre Gold récupère les matelas pour les reconditionner Metro s’engage dans la réduction des emballages plastique à usage unique avec Loop L’assureur Axa une nouvelle fois condamné à indemniser un restaurateur Nouveau revers pour l’assureur Axa. À Besançon (Doubs) , un res- taurateur a obtenu indemnisation de sa perte d’exploitation consé- cutive au Covid-19 pour ses trois établissements. L’assureur vient de lui verser 460 000 € de provi- sion, dans l’attente d’un chiffrage plus précis réalisé par un expert, attendu au plus tard d’ici à quatre mois. Comme pour d’autres établisse- ments, Axa refusait d’indemni- ser la perte d’exploitation liée à l’épidémie malgré l’existence d’une clause spécifique. L’assureur se réfugiait derrière une clause d’exclusion imprécise dans le cas où, dans le même département, un autre éta- blissement était fermé pour une cause identique. “ Le tribunal de commerce de Besançon a considéré cette clause comme non-écrite, car elle aboutissait à priver le contrat de son objet”, se félicite l’avocat dijonnais Christophe Ballorin , représentant de Cyril Sautrot , président de la SAS Cafe’in qui exploite trois brasseries à Besançon et sa région. Dans une affaire similaire, une décision de la cour d’appel d’Aix-en-Provence, du 25 février dernier, confirme pour la première fois en seconde instance l’interprétation suivie à Besançon. Axa a fait appel de la décision bisontine et tente, désormais, d’imposer aux restaurateurs un avenant à leur contrat d’assurance pour exclure définitivement l’indem- nisation pour cause épidémique. Déplacements en Europe : les professionnels du tourisme valident le principe d’un certificat vert Le GNI salue la proposition de créa- tion d’un certificat vert, présenté par la Commission européenne, le 17 mars der- nier. Son objectif : faciliter les voyages à l’intérieur de l’Union européenne. Ce certificat - un document papier ou numé- rique - permettrait d’attester soit de la vaccination, d’un test PCR négatif récent ou d’une guérison du Covid, et pourrait être présenté par le voyageur européen aux autorités d’un État membre, lors de son entrée dans le pays. Il encouragerait ainsi à lever certaines restrictions, affirme le GNI. L’organisation professionnelle insiste notamment sur l’adhésion de l’alliance du Manifeste du tourisme européen – qui réunit plus de 60 organisations de voyages et de tourisme publiques et privées - à ce certificat. L’alliance “exhorte le Parlement européen et le Conseil à approuver rapidement la proposition de la Commission et demande à tous les États membres d’assurer une mise en œuvre rapide”. Eduardo Santander , président du Manifeste du tourisme européen et de la Commission européenne du voyage, déclare : “ La proposition de certificat vert numérique est un pas majeur dans la bonne direction. Mais le temps presse maintenant. Nous avons besoin d’un plan clair décrivant les conditions et le calendrier pour préparer le redémarrage en toute sécurité des voyages et du tourisme en Europe afin d’être prêts pour la saison estivale critique 2021 ! L’Europe doit y travailler ensemble en ne laissant aucune place à la fragmentation et aux actions unilatérales.” Vers un report d’un an de l’interdiction de chauffage en terrasse Un amendement a été adopté en commission, à l’Assemblée nationale, permettant de reporter d’un an l’interdiction de chauffage en terrasse (à partir du 1 er avril 2022 au lieu de 2021) mais les organisations professionnelles sont plus que jamais sur le qui-vive : D’une part, le décret d’application concernant cette interdiction - qui a été votée l’an dernier - n’est toujours pas rédigé et cet amendement n’est pas définitif. D’autre part, selon la Direction générale des entreprises, un nouvel amendement pourrait être adopté concernant l’interdiction cette fois des systèmes de refroidissement dans les extensions des commerces sur le domaine public (climatisations extérieures, brumisateurs, etc.) qui pénaliserait aussi les CHR.

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