Actualités
Accueil > Actualités > Formation - Écoles

Publi-rédactionnel : MBA in Hospitality Management de l'Essec (IMHI)

Formation - Écoles - lundi 1 février 2010 15:51
Ajouter l'article à mes favoris
Suivre les commentaires
Poser une question
Ajouter un commentaire
Partager :


Le ‘MBA in Hospitality Management’ de l’ESSEC (IMHI - Institut de Management Hôtelier International) célèbrera ses trente ans l’an prochain. Cette formation est leader sur son marché, comme l’atteste sa présence depuis sept années à la 1re place du classement SMBG. Destiné dès l’origine à former des cadres pour l’industrie mondiale de l’hôtellerie, de la restauration et du tourisme, ce diplôme d’un niveau bac + 5, enregistré au répertoire national des certifications professionnelles au niveau 1, jouit d’une grande renommée auprès de la profession. C’est d’ailleurs le seul programme d’une telle envergure en France à être rattaché à une école de commerce plutôt qu’à une école hôtelière. Sa force ? Être complètement adapté à un secteur qui s’est professionnalisé ces dernières décennies et qui a un fort besoin de spécialistes. C’est-à-dire qu’il donne tous les outils d’un MBA généraliste, appliqués aux spécificités de l’hôtellerie, et offre aux étudiants la possibilité de se spécialiser dans une ou deux concentrations parmi cinq existantes : le e-commerce, l’immobilier, le luxe, l’entrepreneuriat ou le General Management. De plus, les étudiants peuvent assister à des cours du catalogue ESSEC MBA.

Le programme est dispensé en deux formats, deux ans pour les candidats âgés de moins de 26 ans ayant une année d’expérience (1 020 heures de cours) et un an pour ceux âgés de plus 26 ans et possédant au moins trois années d’expériences (750 h de cours). Concrètement, il s’adresse aux personnes qui souhaitent accélérer leur carrière et maîtriser de nouveaux outils pour atteindre des postes à haute responsabilité.

Une nouvelle concentration en General Management

Toute nouvelle, la spécialisation General Management a été mise en place à la rentrée dernière. Elle vise à former les étudiants aux postes de directeurs de grands hôtels et d’hôtels de chaînes. Créée pour répondre à un besoin face aux nombreuses nouvelles constructions qui se bâtissent aux quatre coins de la planète, elle s’adresse à des jeunes qui veulent avoir dès l’obtention de leur diplôme tous les outils pour diriger un hôtel et comprend notamment l’étude des contrats de gestion. “Cette nouvelle concentration est une vraie valeur ajoutée, un facilitateur et un accélérateur de carrière. Pour les étudiants, choisir cette spécialisation, c’est donner un signal fort aux recruteurs, leur montrer qu’ils ont la volonté de s’orienter vers cette voie”, développe la co-directrice du MBA in Hospitality Management, Jeanine Picard. Dans un secteur en mutation, cette option offre plus de débouchés et a reçu, par conséquent, un bon accueil de la part des étudiants dès son lancement en septembre. “Choisir une concentration, c’est un plus, cela montre que l’on a un objectif clair. Cela permet aussi de ne pas s’égarer et d’aller droit au but”, rappelle Jeanine Picard, tout en précisant que toutes les spécialisations du MBA sont adaptées au marché.

L’apprentissage : un mode de formation gagnant-gagnant

Une des spécificités du programme est de mettre l’accent sur les relations étudiants/entreprises avec, par exemple, des conférences menées par des professionnels, des visites de palaces parisiens... L’apprentissage, mode de formation proposé aux étudiants du cycle en deux ans et ouvert aux élèves étrangers parlant français, est un moyen privilégié pour eux de tisser des liens étroits avec les professionnels de l’industrie hôtelière. Rappelons à ce titre que l’ESSEC fut la première Grande École à initier l’apprentissage en 1993. Il connaît un succès grandissant auprès des étudiants du MBA (plus de la moitié de la dernière promotion a choisi l’apprentissage). Trois jours par semaine à l’école, deux en entreprise, l’apprentissage permet de financer ses études et, surtout, de se former et d’appliquer sans attendre les connaissances apprises en cours. “Pour les jeunes, c’est très formateur, ça les oblige à se concentrer et ça leur permet de découvrir en profondeur le monde du travail, les obligations... Pour le CV d’un étudiant, c’est très bien puisque ça lui fait deux années de travail en plus. Enfin, pour les employeurs, c’est une façon de connaître les jeunes, d’avoir des connaissances récentes dans des secteurs de pointe que les recruteurs ont parfois oubliées”, explique la directrice. Les apprentis sont placés par l’ESSEC dans des groupes ou des start-ups et occupent des postes dans des domaines assez variés tels que l’immobilier, le revenue management, le F & B…

Un positionnement international clair

Avec des cours totalement dispensés en anglais, le programme s’ouvre clairement à l’international. En moyenne, les promotions sont constituées à 50% d’étudiants venus de pays étrangers et, dès leurs études terminées, ils sont nombreux à partir exercer hors de leur pays d’origine.

Côté recruteurs, le MBA in Hospitality Management a une excellente réputation et, fort de presque trente années d’existence, il a tissé des liens privilégiés avec de nombreux grands groupes du secteur (voir ci-dessous : ‘Top 10 des recruteurs’), qui trouvent la garantie d’avoir un vivier de futurs collaborateurs venant d’horizon et de pays différents (l’association des anciens élèves ne compte pas moins de 45 nationalités), d’âges, de niveaux d’expériences et de formations pouvant couvrir tous leurs besoins. Autre avantage, le réseau des anciens (voir ci-dessous : ‘Association des diplômés’), dont certains occupent aujourd’hui des postes clés dans l’hôtellerie internationale : Puneet Chhatwal, Senior Vice-President & Development Chief Officer chez Rezidor SAS, Dimitrios Zarikos, General Manager chez Four Seasons Hotels & Resorts, Mike Haemmerli, Senior Vice-President & Development chez Kempinski Hotels & Resorts Headoffice… Entre les rencontres avec les professionnels, les anciens diplômés et la constitution de leur propre réseau, les étudiants du MBA ne tardent jamais à trouver un emploi : d’après l’étude menée en 2008 auprès des anciens élèves, 44 % des étudiants avaient trouvé un poste avant l’obtention du diplôme et 15 % moins d’un mois après.

Clôture des inscriptions le 1er avril 2010.

 

Julie Gerbet

Journal & Magazine
SOS Experts
Une question > Une réponse
Orientation scolaire et formations pour adultes en CHR
par Virginie Barret et Jean-Philippe Barret
Services
  Articles les plus lus