"Je crois à la valeur du travail. Si on fait bien les choses, les gens s'en rendent compte", annonce fièrement Aurélie Chaudruc à propos de l'établissement qu'elle a créé dans la ville où elle est née il y a trente-cinq ans.
La jeune femme voulait "un vrai restaurant sans le côté figé mais sans tomber pour autant dans une brasserie". Elle souhaitait "marier cuisine du marché et ambiance conviviale".
La clientèle du déjeuner est celle du centre-ville. Le soir, c'est celle qui a envie de dîner dans "un bistrot chic". Dès les beaux jours, la rue devient piétonne et offre une terrasse de 70 places.
Débuts à 16 ans
Aurélie Chaudruc a confié la cuisine à Michaël Métier, 30 ans, qu'elle a connu à la Bodega San Fermin à Pau, établissement qu'elle a dirigé avec son ancien mari de 2004 à 2010.
La carte est variée : oeufs au plat, gambas flambées au whisky, côte de boeuf, Châteaubriand façon Rossini, Parmentier de canard, cèpes et girolles en saison.
Aurélie Chaudruc a mûri son projet durant cinq ans et n'a pas hésité à se lancer seule. L'ancienne élève du lycée hôtelier de Biarritz avait commencé à 16 ans par des saisons sur la côte basque, puis la Côte d'Azur avant de partir aux États-Unis. "Aujourd'hui, je me sens bien chez moi", conclut-elle.
La jeune femme voulait "un vrai restaurant sans le côté figé mais sans tomber pour autant dans une brasserie". Elle souhaitait "marier cuisine du marché et ambiance conviviale".
La clientèle du déjeuner est celle du centre-ville. Le soir, c'est celle qui a envie de dîner dans "un bistrot chic". Dès les beaux jours, la rue devient piétonne et offre une terrasse de 70 places.
Débuts à 16 ans
Aurélie Chaudruc a confié la cuisine à Michaël Métier, 30 ans, qu'elle a connu à la Bodega San Fermin à Pau, établissement qu'elle a dirigé avec son ancien mari de 2004 à 2010.
La carte est variée : oeufs au plat, gambas flambées au whisky, côte de boeuf, Châteaubriand façon Rossini, Parmentier de canard, cèpes et girolles en saison.
Aurélie Chaudruc a mûri son projet durant cinq ans et n'a pas hésité à se lancer seule. L'ancienne élève du lycée hôtelier de Biarritz avait commencé à 16 ans par des saisons sur la côte basque, puis la Côte d'Azur avant de partir aux États-Unis. "Aujourd'hui, je me sens bien chez moi", conclut-elle.
Publié par Bernard DEGIOANNI
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