Baisse TVA : il faudrait imposer une formation minimum et un diplôme autorisant l'ouverture et l'exploitation d'un restaurant

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Grandreboussier

vendredi 30 avril 2010

Je regrette la mesure mis en place par les dirigeant syndicaux hormis le principal ( umih) concernant la prime tva. Personnellement nous n'avions pas attendu cet accord pour mettre en place une prime (d'un montant identique) pour le personnel terminant la saison. Nous allons être à l'avenir plus prudent sur les offres de primes et salaires.
Le premier avantage de la baisse de la tva a été la non augmentation du prix des plats alors que nos fournisseurs appliquent chaque année une augmentation non négligeable sur tous leurs produits.
laissez nous gérer les augmentations de salaires et les octrois de primes ou non.
Messieurs les dirigeants syndicalistes patronaux, je vous invite à) réfléchir sur la protection de notre profession à l'instar des boulangers et coiffeurs. En effet que soit mis en place les mêmes dispositions à notre profession en imposant une formation minimum et un diplôme autorisant l'ouverture et l'exploitation d'un restaurant.C'est la seule méthode de préserver notre métier

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GR

mardi 4 mai 2010

tva
En politique pour enterrer un problème on crée une commission, en restauration pour l'occulter on flatte la profession
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Pascale Carbillet Auteur

mardi 4 mai 2010

Sur la revendication d'avoir un diplôme pour s'installer
Pour revenir au sujet initial de Grandeboussier, sur l'obligation d'avoir une qualification minimum pour ouvrir un restaurant et interpelle les organisations patronales pour qu'elles oeuvrent dans ce sens.
Sachez que l'obligation d'avoir un minimum de qualifications pour tenir un établissement de restauration, réclamé par certains professionnels n'a jamais fait l'unanimité au sein de la profession. Mesure jugée trop protectionniste pour certains, qui y voyaient un frein pour la reprise de leur établissement.
Quand d'autres y voient, au contraire, une valorisation de leur savoir-faire culinaire, en évitant la multiplication d'établissements appelés à être fermés pour des raisons d'hygiène ou de mauvaise gestion.
Cependant, à l'initiative du professeur Christian Cabrol, éminent cardiologue qui s'étonnait de la possibilité de pouvoir ouvrir un restaurant sans avoir aucune formation en matière d'hygiène et de sécurité alimentaire, la profession, dans son ensemble, aussi bien la restauration traditionnelle que rapide, s'est regroupée afin de proposer un texte qui ne se limite pas aux règles d'hygiène, mais qui s'accompagne également de formations en matière de gestion de l'entreprise et du personnel. Ce permis de restaurer serait obligatoire pour toute personne qui transformera des produits alimentaires à titre principal ou occasionnel, et pas seulement pour les restaurateurs.
La formation, d'une durée de soixante-dix heures, comprendrait l'apprentissage des règles relatives à l'hygiène et à la sécurité des aliments, mais aussi à la création d'entreprise, à la comptabilité et à la gestion d'un établissement de restauration. Sans oublier la gestion du personnel, et les principales règles de commercialisation applicables au secteur de la restauration et, pour finir, les objectifs visés par le Programme national nutrition santé (PNNS). Seraient dispensés de cette formation les titulaires d'un diplôme de niveau V ainsi que les équivalences obtenues par formation continue.
Les représentants syndicaux mobilisés sur le sujet (CPIH, Umih, Synhorcat, Snarr, SNRPO) avaient d'ailleurs remis le projet de ce texte en avril 2008 à la députée Arlette Franco, afin que celle-ci puisse présenter une proposition de loi. Mais ce dossier n'a finalement pas abouti.
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rêve argenté

mardi 4 mai 2010

Tva plutôt qu'un diplome, un "label" de cuisine "cousu main
Combien de fois devons-nous confirmer que oui, nos plats, nos desserts sont "maison"? Je me refuse à l'écrire sur la carte, comme ça l'était lorsque nous avons repris l'établissement car les desserts "maison" de l'époque étaient industriels !!! et se faisait connaitre comme semi-gastro !! nous tentons autant que faire se peut d'être au lieu de paraître.

GR ! qui flatte quoi au juste ? ou ? comment ?
Sebou, i pleut, i neige pas loin et il y a des hôtels avec piscines magnifiques et ensoleillées ! que fais-je ici céant ?
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Pascale Carbillet Auteur

mardi 4 mai 2010

Appelation mensongère
Mentionner sur sa carte des produits maisons alors que le restaurateur propose des produits industriels constitue une tromperie.
maintenant il existe le titre de maître restaurateur qui a pour but de promouvoir la restauration traditionnelle qui propose une cuisine élaborée sur place.
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rêve argenté

mardi 4 mai 2010

oui Pascale Mais
le cahier des charges de Maître restaurateur insiste, en autres, sur une majorité de produits frais, Je viens de relire le texte, je croyais d'ailleurs que les produits frais étaient exclusifs.

Je bute sur la notion de majorité. Nous, petit établissement rural,entre 10 et 50 couverts, samedi dernier 37 couverts sans résa
nous ne pouvons pas faire sans un minimum de surgelé sauf l'été en pleine saison.
Les vaches du voisin nous sont déjà inaccessibles, je crains que le titre ne le soit tout autant.
et nous sommes bien d'accord sur la tromperie !!
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Grandreboussier

jeudi 6 mai 2010

Prime et autre
beaucoup de réactions pertinentes sur la nécessité ou pas d'être titulaire d'un diplôme pour ouvrir un établissement, mais peu en ce qui concerne la mise en place, unilatérale, par certains syndicats d'une prime tva.
De grace laissez les initiatives en ce qui concerne les rémunérations.
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GR

dimanche 9 mai 2010

prime et autre
Silence radio, curieux...
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Pascale Carbillet Auteur

dimanche 9 mai 2010

Prime TVA
La mise en place de cette prime n'a pa été décidé de façon unilatérale comme le dit Grandreboussier. Car unilatérale veut de dire qui est décidé par une seule des parties en présence. Je rappelle que dans ces négociations sociales, il y a deux parties, c'està-dire le collège patronal et salarial. Donc cela ne peut être qualifié d'unilatéral.
Grandreboussier en fait conteste la signature de cet accord social par 3 organisations patronales, alors que l'Umih et le GNC ont réfusé de signer ce texte. En sachant qu'ils se sont opposés à ce texte quand cette prime a été clairement rédigé comme étant pérenne (ils souhaitaient que celle-ci dure uniquement pendant trois ans), la réduction de l'anncienneté à 4 mois pour les saisonniers pour en bénéficier et le décollage du SMic dans la grille de salaire. En fait, les salariés voulaient retrouver la 6ème semaine de congés payés qui avaient été négociés en 2004 par L'Umih, le GNC et la CPIH et qui étaient nettement plus intéressante pour les salariés avec 2% dus alaire en plus et sans plafonnement. Face aux blocage des organisations patronales sur cette 6ème semaine de congés, les salariés ont proprosé d'autres solutions comme cette prime TVA.
Il faut se souvenir que pendant des années lors des négociations sociales, le collègue patronal déclarait qu'il ferait des avancées sociales, lorsqu'il obtiendrait la baisse de TVA. Donc le collège patronal était attendu au tournant, et il ne pouvait seulement donner une revalorisation de la grille de salaire.
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jacob

mercredi 12 mai 2010

Etonnant:"Maître restaurateur mais pas frais au 100%!"
reve argenté vous dites"le cahier des charges de Maître restaurateur insiste, en autres, sur une majorité de produits frais, Je viens de relire le texte, je croyais d'ailleurs que les produits frais étaient exclusifs.
Je bute sur la notion de majorité." Je decouvre et( n'etan pas cousinier) me reconforte dans mon idée d'une restauration "honnete" et traiteur.
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rêve argenté

mercredi 12 mai 2010

oui Jacob et je bute toujours et je suis pourtant pas butée

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