Client mauvais payeur : après avoir payé sa note, a-t-on le droit de le refuser une prochaine fois ?

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aubergo

mercredi 11 juin 2008

Après une altercation avec un client mauvais payeur, il a fini par payer sa note.
Par la suite, est ce que je peux refuser ce client ?
A quoi l'entreprise s'expose t elle ?

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Daniel GILLOT

jeudi 19 juin 2008

Vous pouvez faire payer la totalité de la pretation réservée
plus un acompte sur les éventuels extra.

C'est pratique courante ; naturellement, il faut que cette méthode soit précisée au moment de la réservation ou à défaut de résa, à la présentation à la réception.

Ce ne sera pas un refus de vente, mais de conditions de vente justifiées par l'incident antérieur.
Il risque de ne + revenir, mais c'est ce que vs voulez.

cdlt - dg
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mary/sanary

jeudi 19 juin 2008

une seule solution
demander son n° de CB à la réservation si vous pouvez faire de la VAD, sinon je pense que tout commerçant est en droit d'accepter ou non certains clients. Peut-être que je me trompe remarquez bien, est-ce qu'on a encore cette liberté ?
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barboteuse

jeudi 19 juin 2008

pareil.. client qui coute chére
pour ma part j'ai rencontré hier soire un souci.

nous etions debordé!! nous avons ouvert une bouteille de vin à table . nous avons oublier d'apporter les verres a vins. (il y avais des verres a eau sur la table).

Au momment de payé le client a refusé de payer sa bouteille car il n'avait pas ue les verres; a aucun momment celui ci n'a relancer le serveur pour lui apporter .
que faire ? lui offrire la bouteille ou pas ?
1 ER venue dans mon etablissement, reputation d'etre pingre et fait regulierement le coup a d'autre etablissement (pas forcement le vin)

merci
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Daniel GILLOT

jeudi 19 juin 2008

Si le client a bu le vin,il le doit, s'il n'y a pas touché,
c'est un mauvais coucheur pour ne pas dire un em., mais cela arrive.

Pas question de lui offrir la bouteille : il faut essayer de la revendre - avec rabais - en expliquant au client le pb ; si vous avez un bidule permettant de boucher la bouteille en chassant l'air, votre vin ne souffrira pas.

cdlt - dg
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André PICCA

vendredi 20 juin 2008

du suivi de service
Un produit consommé doit être payé.
La maison n'offre jamais.
Je m'explique :
Le client consomme le produit, quel que soit la qualité du service, ou la qualité de l'accueil ou de la relation avec le serveur. Comment éliminer les clients qui contestent en payant ? Le serveur ne travaille pas avec des oeillères, je veux dire, que, même dans le jus, il traverse son rang en regardant autour de lui pour repérer ce qui ne va pas. Mieux, après avoir servi un plat, une boisson, il fait, DANS LA MINUTE QUI SUIT, le contrôle "bouchée" en trouvant le temps de dire au client : "comment trouvez-vous ce plat ? cette boisson ? ...." des questions dans ce style et trouve le temps d'entendre la réponse du client.
Ainsi fait aussi souvent que possible, le serveur trouve le moyen de repérer ce qui ne va pas, avant que le client ne consomme le produit, il rectifie avant la consommation du produit.
De plus, si l'on a suivi ses tables avec suffisamment de dialogue à la table, serveur et patron compris, avant de passer à la caisse, vous savez déjà si le client est satisfait ou pas.
En conséquence, notamment dans les restaurants qui font payer leurs clients à la caisse, et lorsqu'il y a de l'affluence à ladite caisse,ne demandons plus "est-ce ça a été ?" en présentant la note d'un geste qui veut dire "vous me devez autant ?". Par les temps qui courent où de nombreuses enseignes du commerce "grandes surfaces, ....) switchent les réclamations client en changeant le produit sans discuter, les clients sont tenter de faire la même chose au restaurant, mais pour obtenir une réduction.
A mon avis, le nombre de tentatives faites par ce type de clients va chuter dans votre restaurant, il restera uniquement ceux qui réclament uniquement pour obtenir une moindre note. Et je crois que ces clients-là ne vous intéressent pas.
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André PICCA

vendredi 20 juin 2008

encaisser autrement
je continue le suivi du client, où, à la caisse, en file indienne, les clients viennent payer.
J'attends vos remarques sur l'expérience suivante à faire :
- concentré devant votre caisse, devant votre file indienne, présentez l'addition, en cherchant le contact avec le client sur tout sujet, en excluant de dire : ça a été ?", à un moment
- propice pour le client pour dire "non" devant tous les autres clients, et pour obtenir une compensation,
- malvenu pour vous, car vous n'avez pas envie d'offrir sans savoir pourquoi, nous n'avez pas le temps de rechercher les causes de l'insatisfaction déclarée, vous êtes concentré sur l'encaissement.
Je disai plus haut que le serveur et le patron veillent à la qualité en anticipant : avant le service par une bonne organisation et un briefing de l'équipe, par un réel suivi de la table en prenant le temps d'écouter, d'observer, de prévenir, de fournir tout ce qui est prévu (voir sur le blog "suivi du client).

Normalement, lorsque le client arrive à la caisse, vous savez déjà le degré de de satisfaction, vous n'avez plus à le demander, vous pouvez parler de tout, et vous ne créez plus de lien entre le "probable NON du client" avec "vous me devez autant".

De plus, le dialogue devrait devenir plus ouvert, convivial, et la phase d'accueil de départ aussi fournie que celle de l'arrivée, souple, ouverte, un brin humoristique si le contexte s'y prête.
A vos blogs pour apporter le retour de vos expériences sur cette pratique.
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André PICCA

vendredi 20 juin 2008

oui bien sûr
A ma connaissance oui, à condition d'avoir des motifs légitimes.
En conséquence, faire payer d'avance ou prendre des arrhes d'un montant suffisant dans le cas d'un réciviste.
La grivellerie, ça existe. Ainsi, des restaurateurs m'expliquent que dans ce cas précis présenté par Aubergo, si le client insiste pour revenir, avant l'installation à table, le restaurateur, c à d, le directeur du restaurant où le patron intervient directement et fixe lui même les règles en obtenant des arrhes et avec une discussion franche. S'il tente encore, comme il l'a fait dès la 1ère tentative, il rappelle que la grivellerie est un délit, et qu'immédiatement, il menace de faire intervenir la police, et il décroche le téléphone. le simple rappel de ces 2 éléments suffisent à faire payer le client.
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André PICCA

vendredi 20 juin 2008

lire le chapitre "Lutte contre les no-shows"
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kOmYk

vendredi 20 juin 2008

Si client trop ennervé ...
J'ai eu le soucis dans mon restaurant. Gros scandale : nourriture "dégeulasse", service "à chier", etc ... Elles se disaient "professionnelles" de la restauration (j'ai appris par la suite qu'elles travaillaient au Kyriad :-)). Donc scandale dans la salle, elles ont bousculé le Chef de cuisine venu voir ce qui avait déplu, etc ... Donc, zou, appel à la police, main courant, convocation au poste et interdiction de remettre les pieds chez moi ! Résultat : 2 connes de moi chez moi !! La tranquillité !
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PMP132

dimanche 22 juin 2008

PAS D'ACCORD AVEC DANIEL GILLOT
Si le client a demandé une bouteil que vous lui avit fait gouter le vin qu'il la trouvé bon et fini la bouteil dans les verres à eau il doit régler sa bouteille sinon c'est de la grivellerie. Il devait refuser de gouter ce vin dès le début et refuser de le déguster dans des verres à eau après. D'ailleur comme les anglais je bois le vin dans un verre à eau pour lui laisser le temps de "vivre"
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Daniel GILLOT

dimanche 22 juin 2008

Sans verre, je ne vois pas comment, il aurait goûté le vin,
je ne vois pas de tte façon, quel est notre point de désaccord.


cdlt - dg

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