C'est en 1997 que la FNIH devra se doter d'une nouvelle équipe sur le plan national, puisque tant le mandat de son président Jacques Thé que ceux des présidents de branche, arriveront à échéance. Nous avons demandé à chacun d'entre eux si une candidature à la présidence nationale était à l'ordre du jour. Réponses.Georges Antoun : président de la FNHF
«Concernant les prochaines élections de la FNIH, il est clair que j'essaie de constituer une équipe. C'est pour le moment une chose assez difficile à réaliser. En attendant, je ne sais pas aujourd'hui quelle place je souhaite occuper dans cette équipe.»
Gilbert Baillet : président de l'hôtellerie familiale
«Je ne suis pas candidat à la présidence de la FNIH.»
Jean Biron : président de la FNCBD
«J'ai été sollicité par plusieurs personnes, mais je n'ai pas eu, moi-même, de démarche personnelle à ce jour par rapport à cette échéance.»
André Daguin : président de la FNRF
«Non, je ne suis pas candidat, mais si on me demande d'y aller, j'irai. Je ne veux pas de bagarre au sein de la FNIH, je ne ferai pas campagne. Il faut qu'on s'organise autour de celui qui est le mieux placé : si c'est moi, j'irai, si c'est un autre, je l'aiderai.»
Michel Pujol : président de l'hôtellerie saisonniÈre
«Aujourd'hui, je ne souhaite absolument pas me présenter aux prochaines élections de la FNIH.»
L'HÔTELLERIE n° 2486 HEBDO 5 decembre 1996