An 2000
Une enquête effectuée au mois d'avril auprès des petites et moyennes entreprises a fait apparaître que 78 % des entreprises individuelles et 48 % des sociétés employant moins de 200 salariés n'ont pas encore pris de mesures pour vérifier si leur matériel passait l'an 2000. De plus, c'est dans notre domaine de l'hôtellerie-restauration que la situation est la plus dramatique, car seuls 33 % des hôteliers ont fait les vérifications, alors même que les risques sont aussi importants que dans les autres entreprises !
Matériels concernés
Il ne faut pas croire que seuls vos matériels informatiques sont concernés par le risque
de bogue lors du passage du 31 décembre 1999 au 1er janvier 2000. En effet, tous les
matériels contenant de l'électronique doivent être considérés comme étant des
appareils potentiellement "à risque". La liste, loin d'être exhaustive,
comprend par exemple l'ensemble de l'installation téléphonique, les coffres, les
terminaux de paiement, les magnétoscopes, photocopieurs, fax, répondeurs, les systèmes
de sécurité (gaz, incendie, électricité, etc.), de climatisation, de chauffage, de
gestion, de facturation, de comptabilité, de télésurveillance, les caisses
enregistreuses, les appareils de ventilation, les ascenseurs, la chaîne du froid, les
fours électriques, ainsi, bien entendu, que l'ensemble du dispositif informatique de
votre établissement.
Avant de songer à demander réparation pour le cas où votre matériel serait
incompatible avec l'an 2000, il convient de procéder à la vérification de votre
matériel existant, ceci afin de cerner les éventuelles sources de problèmes.
Il faut donc en premier lieu procéder à un inventaire de votre matériel informatique et
électronique. Une fois cet inventaire réalisé, demandez au fabricant de votre
matériel, par lettre recommandée avec accusé de réception, si ce matériel est capable
de gérer le passage à l'an 2000 ainsi que la date du 29 février 2000 (l'année 2000
étant bissextile, le 29 février peut également poser un problème). Exigez donc de
votre fabricant une réponse écrite afin de vous ménager une preuve en cas de litige
suite à un passage infructueux de l'an 2000. Si votre fournisseur ne souhaite pas donner
suite à cette lettre recommandée, n'hésitez pas à le relancer sous la forme d'une mise
en demeure, également par lettre recommandée avec accusé de réception ; de cette
façon, dans l'hypothèse où vous seriez obligé de le poursuivre, vous pourriez ainsi
mettre en avant son refus de collaborer en vue de la résolution d'un problème éventuel.
Dans le cas où votre fournisseur vous affirmerait que le matériel en votre possession ne
peut pas passer l'an 2000, mieux vaudrait en ce cas vous rapprocher de lui et tenter de
trouver une solution amiable par le biais d'une remise à niveau de votre matériel par
exemple. Une action en justice est en effet à ne conseiller qu'en dernier recours, la
jurisprudence n'étant pas encore fixée sur la question. Et quoi qu'il en soit,
dites-vous bien qu'en l'état actuel des choses, le plus urgent pour votre entreprise est
de passer sans encombre le cap de l'an 2000. Si vous disposez d'un matériel qui ne gère
pas correctement le passage du millénaire, ceci peut avoir des conséquences
catastrophiques sur votre fonds de commerce. Dans l'urgence (si vous vous apercevez à
quelques mois de la date fatidique que votre installation ne pourra plus fonctionner
correctement au 1er janvier, vous êtes effectivement dans l'urgence), privilégiez donc
la voie consensuelle.
Responsabilité des fournisseurs
Cette question, qui a été largement débattue en doctrine, ne bénéficie
malheureusement pas de décisions importantes permettant d'étayer une thèse précise.
Aucune règle (émanant des tribunaux ou mieux de la loi) ne vient en effet poser de
principes clairs en la matière. Le monde de l'informatique et de l'électronique
évoluant à une vitesse très importante et le sujet étant complexe, il semble
compréhensible que nos parlementaires n'aient pas voulu figer par un texte une situation
qui serait devenue obsolète plusieurs mois plus tard.
Ce sera donc aux juges, disposant de textes généraux (à la fois issus du droit des
contrats et du droit de la responsabilité) et à la lumière des faits de chaque
situation, de déterminer la solution qui à leurs yeux sera la plus juste.
Dites-vous bien que les juges seront d'autant plus bienveillants à votre égard que vous
aurez mis en place les mesures de prévention préconisées plus haut. En effet, si vous
avez au préalable géré ce risque prévisible qu'est le passage à l'an 2000 et que
c'est l'un de vos fournisseurs qui vous a fait défaut, ce dernier ne pourra avancer votre
manque de curiosité ni dénoncer vos erreurs de gestion des risques.
On dispose de quelques décisions nous permettant de commencer à entrevoir les divers
paramètres pris en compte par les juridictions. Ces décisions concernent des logiciels
mais on peut transposer ces raisonnements pour les matériels non informatiques posant des
problèmes lors du passage à l'an 2000. La dernière décision en date concernait le
fournisseur d'un logiciel informatique. Ce logiciel, acquis par une société en 1986 pour
un prix élevé, était, d'après les conditions générales de vente, "garanti sans
limitation de durée". Pourtant, en 1996, le fournisseur prévenait son client que
son logiciel ne pourrait passer le cap de l'an 2000 et qu'il devait donc acquérir la
dernière version pour conserver l'accès à ses données comptables. Le client attaqua
son fournisseur devant les tribunaux et gagna en appel. Les juges ont en effet pris en
compte la "commune intention des parties" pour rendre leur décision. Etant
donné que le fournisseur avait exprimé en 1986 d'une façon non ambiguë son engagement
unilatéral à garantir le logiciel qu'il avait fourni, les droits et obligations de
chacun étaient clairs dès l'origine et il n'y avait donc pas à rechercher si
l'obsolescence du matériel avait un rôle à jouer dans le litige ou si le client pouvait
être considéré comme un consommateur averti.
Dans d'autres décisions en revanche, les juges se sont appuyés sur le fait plus que sur
le droit. Ils ont pu en effet considérer (bien qu'aucun texte ne prévoie cette
possibilité) qu'en certains cas, notamment lorsque le logiciel était relativement ancien
(antérieur à 1995), le fournisseur pouvait être dégagé de sa responsabilité
concernant le bogue de l'an 2000. Mais il est vrai que dans ce cas, aucun engagement de
garantie n'avait été pris par l'éditeur. Si un tel engagement n'a pas été pris, la
jurisprudence actuelle - qui peut toujours évoluer dans un sens comme dans un autre -
pourra prendre en compte de nombreux éléments, tels que la volonté des parties de
régler le problème, la durée de vie moyenne du matériel (pour les logiciels, cette
durée de vie est évaluée entre 5 et 10 ans) et la bonne foi des parties pour juger.
On peut d'ores et déjà dégager quelques règles de ces décisions : tout d'abord, si un
accord a été conclu sur la garantie du matériel, et ce même si le constructeur
n'était pas au courant du problème du bogue de l'an 2000, les juges s'en tiendront à la
volonté exprimée par les deux parties, selon un principe juridique bien connu qui pose
que "le contrat tient lieu de loi entre les parties"; ainsi, le fabricant devra
tenir la parole qu'il a pu donner dans le passé. Il en sera de même si vous avez conclu
avec votre fournisseur ou fabricant un contrat de maintenance qui se prolongera après le
31 décembre 1999 ; en ce cas, le fournisseur s'obligeant par contrat à intervenir sur
les pannes se produisant sur votre matériel, il sera tenu de réparer votre installation
si elle présente des défectuosités. Cette obligation étant une obligation de
résultat, les fournisseurs devront s'y soumettre.
La loi vous offre en outre des moyens de vous défendre face à un fabricant qui aurait eu
l'indélicatesse de vous fournir, sans rien vous dire, du matériel ne passant pas l'an
2000.
En premier lieu, et outre l'éventuelle garantie contractuelle que nous avons évoquée
plus haut, le vendeur est tenu par l'obligation de vous garantir des vices cachés du
matériel qu'il vous a vendu (articles 1641 et suivants du Code civil). Or, le fait que le
matériel vendu soit inutilisable après le 31 décembre 1999 est effectivement, à partir
du moment où vous ne le saviez pas, un vice caché. Si vous étiez au courant du
problème à la date de l'achat, vous ne pourriez vous prévaloir de ce texte. Le vendeur
vous soutiendra certainement, pour se défendre, qu'il ne connaissait pas l'existence du
vice ; cela ne sera pas un argument de défense valable. En effet, dans un but de défense
du consommateur, les tribunaux ont posé comme principe que le vendeur professionnel ne
peut ignorer le vice dont est affectée la chose qu'il vend. Ainsi, si certains matériels
ne passent pas l'an 2000 de façon satisfaisante, il vous est possible d'attaquer le
vendeur ou le fabricant, à condition que vous exerciez l'action dans un bref délai. Ce
"bref délai" (exemple type de la précision du législateur...) dépendra des
faits, et ce sera donc le juge qui déterminera si l'action doit ou non être considérée
comme tardive ; autant dire que plus tôt vous saisirez la justice, plus vous aurez de
chances que votre demande soit prise en compte.
Obligation de conseil
Le vendeur a également une obligation de conseil envers son client. Si, par exemple, le
matériel que vous avez récemment acquis ne fonctionne pas en raison du passage à l'an
2000, il conviendra de prouver que votre vendeur a commis une faute ; cela serait le cas
si, au moment de l'achat, il savait que le matériel vendu ne passerait pas l'an 2000. En
ce cas, le vendeur aurait manqué à l'obligation de conseil qui lui est imposée par la
loi et la jurisprudence et il doit donc réparer le dommage qu'il a pu causer. Le
problème, on l'imagine bien, sera de savoir à partir de quel moment le vendeur devait
s'inquiéter de savoir si le matériel qu'il vendait passerait sans problème l'an 2000.
La doctrine diverge sur cette question. En effet, certains posent la date en 1990 et
d'autres jugent qu'il faut commencer à à prendre en compte le problème à partir de
1995. Dans tous les cas, si vous avez acquis un matériel à partir de 1995, et s'il ne
passe pas correctement l'an 2000, vous êtes tout à fait en droit de vous plaindre, et il
y a de très grandes chances que vous obteniez réparation de votre préjudice. Le vendeur
pourra ainsi être condamné à vous verser des dommages et intérêts d'une valeur en
général égale aux frais engagés pour une remise à niveau du matériel ainsi qu'à
l'éventuel préjudice commercial que vous aurez subi.
Enfin, si, suite à un mauvais passage de l'an 2000, la défectuosité du matériel cause
des dommages à votre personnel où à certains biens de votre entreprise, vous êtes en
droit de rechercher devant les tribunaux la responsabilité du fabricant ou de l'un des
fournisseurs au titre de son obligation de sécurité. C'est ce que vient énoncer la loi
entrée en vigueur en 1998 sur la responsabilité du fait des produits défectueux. Cette
loi du 19 mai 1998 (articles 1386-1 et suivants du Code civil) impose aux fournisseurs de
réparer l'ensemble des dommages subis par leurs cocontractants, y compris les rappels de
produits et les pertes d'exploitation.
Le Groupement CB vous informe !Le Groupement des cartes bancaires met à votre disposition des renseignements pour
vérifier la compatibilité de vos terminaux de paiement avec l'an 2000. Certains de leurs
systèmes nécessitent en effet une mise à niveau du logiciel intégré, tandis que
certains terminaux doivent être changés. Sachez également que la plupart des anciens
systèmes de prise d'empreinte des cartes bancaires (les "fers à repasser")
seront inutilisables. N'étant pas prévus pour passer le cap de l'an 2000, les chiffres 1
et 9 étaient gravés dans la masse de l'outil, et seuls les chiffres des dizaines du
siècle pouvaient évoluer. |
Vos obligations
En ce qui vous concerne, des obligations sont mises également à votre charge, et
notamment celle de gérer vos affaires en "bon père de famille" : vous êtes
utilisateur de systèmes dans lesquels sont intégrées des horloges. Si le vendeur ou le
fabricant du matériel vous a recommandé d'effectuer des mises à jour pour que votre
système ne souffre d'aucun trouble au 1er janvier 2000 et que vous avez refusé de les
réaliser (ce qui aurait pu être le cas si par exemple vous n'aviez pas pris de contrat
de maintenance), vous aurez alors commis une faute qui vous empêchera de demander
réparation si votre système présente des défectuosités suite au passage à l'an 2000.
En effet, vous avez été averti du problème et le fournisseur vous a proposé une
solution pour le résoudre ; c'est vous qui n'avez pas voulu y donner suite et ne pouvez
donc prétendre à réparation.
L'Etat met des moyens à votre disposition : les services de la Direction générale de la
consommation et de la répression des fraudes sont compétents si vous estimez vous être
fait flouer récemment par un revendeur ou un fournisseur qui savait pertinemment que les
produits qu'il vous proposait ne passeraient pas le cap de l'an 2000. En ce cas, vous
pouvez vous adresser à la Direction nationale des enquêtes de la répression des fraudes
qui est compétente pour constater les infractions de tromperie et de publicité
mensongère. La tromperie consiste à mettre sur le marché un produit tout en sachant que
celui-ci ne passera pas l'an 2000 sans en informer préalablement l'acquéreur. En ce cas,
l'article L 213-1 du Code de la consommation trouvera à s'appliquer, au motif qu'il y a
tromperie sur les qualités substantielles du produit. La publicité mensongère consiste
pour un commerçant ou un fabricant à annoncer publiquement que les produits qu'il
propose passent l'an 2000 alors que ce n'est pas le cas.
Votre responsabilité
La question du bogue est loin d'être anodine. Outre les problèmes purement commerciaux
que le "bogue" peut entraîner (imaginez-vous seulement quelques instants avec
une installation électrique en panne, un standard téléphonique ne fonctionnant pas ou
une impossibilité de vous faire payer par carte bancaire) et qui peuvent entraîner une
paralysie de votre activité, votre responsabilité civile ou pénale de chef d'entreprise
pourrait être mise en cause dans d'autres situations. En effet, ce problème de bogue,
s'il n'est pas réglé rapidement, peut entraîner votre responsabilité à plusieurs
titres. Certains dysfonctionnements peuvent être lourds de conséquences : on notera
notamment le cas des systèmes de sécurité qui peuvent cesser de fonctionner au 1er
janvier 2000 sans que vous vous en rendiez forcément compte ; en un tel cas, un incendie
non prévenu dans votre établissement pourrait avoir des conséquences dramatiques. Vous
pourriez ainsi être poursuivi sur le plan civil (par une action en responsabilité, vous
risqueriez d'être condamné à verser de lourds dommages et intérêts aux victimes,
ainsi qu'à payer une amende civile), ou sur le plan pénal (mise en danger d'autrui,
homicide involontaire...), auquel cas vous pourriez vous voir mis en prison.
Le fisc vous aide à passer l'an 2000
Bercy tient également à aider la mise à niveau de vos équipements. En effet, une
instruction du 2 mars 1999 parue au Bulletin officiel des impôts du 9 mars 1999 donne la
possibilité aux entreprises de déduire immédiatement certaines dépenses liées au
passage à l'an 2000, et ce même si elles ont été inscrites en immobilisation dans la
comptabilité. D'autres dépenses liées au changement de millénaire pourront quant à
elles être provisionnées.
Les dépenses pouvant faire l'objet de provisions par l'entreprise sont les suivantes :
l les tests
informatiques
l la mise en
conformité des logiciels ou matériels informatiques
l les études
juridiques (relations avec les fournisseurs et clients)
l la formation
du personnel
l les dépenses
de communication éventuelles.
Ces dépenses pourront donc être déduites du résultat imposable de l'entreprise, à
condition que les provisions aient été comptabilisées dans le compte de résultat.
En ce qui concerne les logiciels acquis par l'entreprise en vue d'être utilisés pendant
plusieurs exercices comptables, ils peuvent être amortis, au choix du chef d'entreprise,
sur leur durée probable d'utilisation ou sur 12 mois. De plus, les logiciels n'excédant
pas 2 500 F HT sont immédiatement déductibles des charges de l'entreprise. Enfin, les
logiciels que l'entreprise avait choisis d'amortir sur leur durée normale d'utilisation
ou les équipements rendus obsolètes du fait du passage à l'an 2000 pourront faire
l'objet d'un amortissement exceptionnel visant à constater la dépréciation définitive
des immobilisations.
Si vous faites créer un logiciel "sur mesure" par une entreprise extérieure,
ou si vous faites adapter un logiciel existant afin de palier le problème de l'an 2000,
votre entreprise bénéficie de la possibilité de déduire immédiatement ces dépenses.
C. Pouant
Plus votre matériel est ancien, plus il est urgent de vérifier sa compatibilité
avec l'échéance 2000.
Démarches à effectuer de toute urgence1. Faites un inventaire exhaustif de tous vos matériels comportant de l'électronique, de l'ensemble des ordinateurs en votre possession ainsi que des logiciels qu'ils contiennent 2. Contactez par lettre recommandée avec accusé de réception tous les fabricants et fournisseurs de vos matériels et demandez-leur s'ils garantissent la compatibilité an 2000 du matériel fourni. Faites de même pour les éditeurs de vos logiciels. Exigez une réponse précise et écrite, et conservez un double des lettres. 3. Contactez vos fournisseurs (notamment les fournisseurs de produits périssables comme la viande ou les fruits et légumes qui peuvent se trouver confrontés à une rupture de la chaîne du froid si leur installation est défectueuse), mais également votre comptable qui pourrait lui aussi se trouver affecté par ce problème (il peut en effet faire face à des problèmes informatiques de gestion des fiches de paie, des jours de congé...) par lettre recommandée avec accusé de réception et demandez-leur s'ils ont effectué les modifications nécessaires au passage à l'an 2000. Exigez une réponse précise et écrite, et conservez un double des lettres. 4. Si des réponses sont négatives, rapprochez-vous du fabricant, demandez-lui des conseils, réalisez les travaux ou faites-les réaliser par un prestataire extérieur. 5. Si vous n'obtenez pas de réponse à certaines de vos lettres recommandées, renvoyez-en une seconde. A défaut de réponse, le plus sage est de considérer que l'appareil présente des risques pour le passage à l'an 2000. 6. Faites des vérifications et des tests ou faites appel à un spécialiste pour les réaliser. 7. Prévoyez un plan de secours au cas où certains de vos matériels ne passeraient pas l'an 2000 et dans le cas où l'un de vos fournisseurs serait défaillant à cette date. Modèle de lettre recommandée pour vos fabricants et fournisseursNom de l'entreprise Adresse Nom du fournisseur Adresse Lettre recommandée Objet : passage à l'an 2000 des systèmes Madame, Monsieur, En voici la liste : Vous voudrez bien me confirmer le plus rapidement possible que ni la performance ni
les fonctionnalités des systèmes figurant sur cette liste ne seront affectées par des
dates antérieures, concomitantes ou postérieures au passage à l'an 2000. Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de ma considération distinguée. Nom et fonction du signataire |
L'écho de l'assureur conseil Les assureurs et le bogue de l'an 2000D'une manière générale, les contrats d'assurance ne garantissent jamais les
dommages prévisibles ne présentant pas, de ce fait, un caractère accidentel. |
L'HÔTELLERIE n° 2630 Hebdo 9 Septembre 1999