2/a : Eh bien, contrairement aux idées reçues, seulement 32 % des amateurs de bière boivent uniquement de la bière à la pression. 62 % d'entre eux l'apprécient autant à la pression qu'en bouteille.

3/b : Les boissons sont classées en cinq groupes (ne pas confondre avec les débits de boissons qui sont classés en quatre catégories).

4/c : L'ordonnance du 1er décembre 1986 a posé le principe de la liberté des prix et notamment dans le secteur des CHR. Toutefois, certains prix devaient encore rester "encadrés" comme les tarifications téléphoniques dont les tarifs ne furent libérés qu'en 1994.

5/a : Le Code des débits de boissons impose à tous les établissements d'exposer à la vue des consommateurs des boissons non alcooliques en vente dans l'établissement. Cet étalage doit comprendre dix bouteilles ou récipients présentés dans la mesure où le débit est approvisionné, en échantillons d'au moins quatre boissons des catégories suivantes : jus de fruits et de légumes, boissons aux jus de fruits gazéifiées, sodas, limonades, sirops, eaux ordinaires gazéifiées artificiellement ou non, eaux ordinaires gazeuses ou non.

6/a : L'hospitium était un lieu populaire, où les hommes et les femmes venaient boire du vin. La bistrote est un terme utilisé pendant la guerre de 1914 pour désigner une femme qui tient un café.

7/a : Concernant la lumière, la bière craint les ultraviolets naturels mais aussi les ultraviolets artificiels.

8 : Blague ! Il n'est pas du tout question d'abroger les licences IV. En revanche, il serait question de réunir les licences I et II... Mais rien n'est encore fait ou décidé.

9/b

10/c : Le thé arrive en tête est devant l'eau avec une consommation d'environ 400 g par an et par habitant.