| Un colis gourmand pour 15 skippers du Vendée Globe Quinze navigateurs du Vendée Globe ont embarqué un colis gourmand composé par les élèves de bac professionnel 1re année du lycée hôtelier Les Sorbets de Noirmoutier (85). C'est un menu destiné à fêter le jour de Noël ou du nouvel An ou encore le passage du Cap Horn : foie gras, gigue de chevreuil, riz à l'impératrice, chocolat maison, le tout accompagné d'un crémant sur lie. Les lycéens ont travaillé sur la fabrication, l'emballage, et la conservation.
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Patrick Dangelser succède à Pierre Langlois
Président de l'Union des métiers et des industries de la Nièvre, Pierre Langlois n'a
pas souhaité le renouvellement. Il est secrétaire du nouveau bureau présidé par
Patrick Dangelser, de Château-Chinon, ayant M. Grennerat, de la Charité-sur-Loire, comme
vice-président des restaurateurs, M. Maertens, vice-président des cafetiers, et M.
Taminau, vice-président des hôteliers, ainsi que M. Breton pour les chaînes. Le
trésorier est M. Alain Guillier, la trésorière adjointe Mme Beaufils, et la secrétaire
adjointe Mme Vincent.
| Nouveaux cafés courses en Languedoc-Roussillon Trois nouveaux cafés courses, établissements dans lesquels les parieurs peuvent jouer en direct comme sur un hippodrome, ont ouvert leurs portes fin novembre à Perpignan le Bar des Esplanades, à Castelnaudary Le Français, et à Villefranche-de-Rouergue le Café du Globe. Par ailleurs, bonnes nouvelles pour les turfistes de Saint-Gély-du-Fesc près de Montpellier qui peuvent désormais se rendre à la Taverne du Clapas, 111, avenue du Clapas, pour effectuer leurs jeux ALR (avant la réunion, le matin donc). La Brasserie du Triangle, place de la Comédie à Montpellier, a fêté l'ouverture de son bureau PMU-ALR. |
Un nouveau directeur au Sofitel Toulouse aéroport
Bertrand Jacob, directeur des opérations Sud-Ouest hôtellerie affaires et loisirs
(ex-directeur du centre des congrès Pierre Baudis), devait présenter, aux côtés de
Bertrand Blaquié, directeur général, le nouveau directeur général du Sofitel Toulouse
aéroport, Marc Dannenmüller.
| Farines animales Les députés devraient donner leur aval à la création d'une commission d'enquête sur le recours aux farines carnées dans l'alimentation des animaux d'élevage. Celle-ci devra aussi se prononcer sur l'élimination de ces farines et leur remplacement par des "protéines végétales non génétiquement modifiées". |
Réouverture du Café Louis
Le Café Louis a ouvert ses portes récemment. 15,7 MF, c'est le montant des travaux pour
restaurer la brasserie du Grand Théâtre de Bordeaux qui vient de retrouver son décor
classé datant de 1854. La mairie de Bordeaux a pris en charge une partie de la note : 7,7
MF. La brasserie, qui a une capacité de 80 couverts, a déjà enregistré 6 000
réservations. L'établissement, dirigé par Christophe Lacroix avec Patrick Huguenny au
piano, table sur un ticket moyen de 200 F vin inclus.
| Réveillon au Pré Catelan Le dîner de la Saint-Sylvestre, avec soirée dansante et feu d'artifice, est facturé 2 000 F. Le restaurant parisien met au menu : oursins, étrilles, Saint-Jacques, homard, volaille fermière, brie, chocolat, café et mignardises, des produits travaillés par le jeune chef Frédéric Anton, qui vient de décrocher le titre de MOF. |
RARE
RARE (Réseau alimentation référence Europe) se consacre à la traçabilité des
aliments, qui sera bientôt mise en place. C'est ce que vient d'annoncer Roger-Gérard
Schwarzenberg, ministre de la Recherche. Ce réseau sera doté de 15 MF, devrait
fonctionner à partir du mois de février, et a vocation à prendre une dimension
européenne.
| Un second Metro dans l'agglomération bordelaise Après Bordeaux-Lac, le groupe Allemand a inauguré le 13 décembre son deuxième magasin Metro dans l'agglomération bordelaise. Situé à Gradignan, en bordure de la rocade, l'entrepôt de 5 000 m2 propose dans un premier temps des produits exclusivement alimentaires. 55 personnes sont employées sur le site. D'ici fin 2001, un second bâtiment de 4 000 m2 offrira du mobilier et du matériel pour les collectivités, l'hôtellerie et la restauration. Si le magasin de Bordeaux-Lac draine surtout la clientèle du Médoc et des Charentes, la nouvelle implantation souhaite se rapprocher du Bassin d'Arcachon. |
9e édition du trophée de la Cuisine provençale
La finale du trophée de la Cuisine provençale s'est déroulée lundi 23 octobre à
Sainte-Maxime (Var). Le vainqueur est Christophe Dufau, chef de cuisine et gérant de
l'Auberge de Tourrettes à Tourrettes-sur- Loup (Alpes-Maritimes) pour sa recette de
Saint-Pierre confit et tomates croustillantes aux oursins, mousse d'amandes et roulade
d'anchois, jus de fenouil, royal d'oursin et riz camarguais.
Dominique Poggi, président de la CCI du Var, et Jacques Chibois, président du
jury et restaurateur (La Bastide Saint-Antoine à Grasse), entourés des six finalistes et
des partenaires du concours.
Benoist Deval, Jeune espoir de la cuisine L'Amicale des cuisiniers de la Côte d'Or organise depuis 10 ans un concours du Jeune espoir de la cuisine. Cette année, le thème était : les champignons sauvages et la daurade. Des inscriptions sont venues de toute la France et 8 jeunes de moins de 25 ans ont réalisé les plats en public, à la foire gastronomique de Dijon, avec un jury, présidé par Jean-Pierre Gillot, le chef du restaurant Le Moulin de Martoray à Saint-Rémy (Saône-et-Loire). Benoist Deval, de Sanary-sur-Mer, l'a emporté. Il est venu remporter une coupe en faïence de Longchamp (Côte d'Or), une médaille, des livres de cuisine et un chèque... en réalisant son filet de daurade mais aussi une Tartelette à la confiture d'échalotes en mousse de champignons sauvages. Benoist Deval a remporté le prix Raymond Marchand, offert par la Commanderie des cordons bleus de France. Le prix Andrée Gaston Gérard a été remis à Estelle Louchin, de Châtillon-sur-Seine, la première 'féminine' à y participer depuis dix ans. |
| Carnet Bernard Gaillard nous a quittésC'est de Vendée que nous
est arrivée la triste nouvelle du décès, à l'âge de 55 ans, de notre ami Bernard
Gaillard, survenu le 23 novembre 2000 aux Sables d'Olonne. Diplômé de l'école
hôtelière de Strasbourg, c'est à Paris qu'il a fait carrière. C'est ainsi que pendant
22 ans il a tenu le restaurant Chez la Mère Michel, Mère Michel qui, avant de lui céder
les commandes, lui avait transmis le secret de son célèbre beurre blanc. Chacun se
souviendra de sa jovialité et de son accueil dans ce bistrot sympa de la rue Rennequin.
En 1994, il a quitté Paris pour la Vendée pour d'autres activités proches de la
profession, dont il ne pouvait se résoudre à se séparer. Bernard Gaillard, c'est aussi
toute une époque avec la création en 1976, aux côtés de Bernard Fournier, du Syndicat
parisien des restaurateurs de métier, dont il occupait les fonctions de secrétaire
général avec dynamisme pendant 15 ans. A ce titre, il était fidèle aux congrès de la
confédération auxquels il a participé pendant de très nombreuses années. |
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L'HÔTELLERIE n° 2696 Hebdo 14 Décembre 2000
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