m Cécile Junod
Très résistant aux chocs et à l'usure, l'acier inoxydable reste une valeur sûre pour les restaurateurs. Ne nécessitant que peu d'entretien, il a conquis bon nombre d'exploitations. D'autant plus que le travail peaufiné auquel se livrent les fabricants permet la création de pièces prestigieuses pouvant désormais accéder aux établissements haut de gamme. Finitions polie, satinée et dorée rivalisent pour orner singulièrement les manches. Et puisque les qualités de l'acier inoxydable sont largement reconnues, certains fabricants n'hésitent pas à l'utiliser comme support dans la fabrication de leurs couverts en métal argenté. Alliage de qualité alimentaire, d'une excellente stabilité moléculaire, dur et résistant, l'acier 18-10 présente donc tous les atouts nécessaires à la réalisation de couverts en métal argenté de qualité. Alliage des temps modernes, l'acier argenté s'adapte parfaitement aux contraintes de la vie actuelle, à savoir une utilisation régulière et des passages fréquents en lave-vaisselle. n
"Norway" de Guy Degrenne : design très pur pour ces couverts
d'inspiration nordique, en acier 18-10 (épaisseur 2,5 mm).
TendanceLa tendance actuelle est aux lignes fluides et épurées. Ainsi, les couverts se marient-ils à tous les styles sans a priori. Ils donnent aux tables les plus classiques, un petit coup de jeune très dans l'air du temps et sont parfaits pour les ambiances zen et minimalistes. |
Orfèvre depuis plus d'un siècle et demi, Sambonet propose aux professionnels 20 modèles de couverts en inox 18/10 (épaisseur de 3 à 5 mm) et inox argenté, et 5 modèles en Maillechort argenté, sans compter les nombreux accessoires de table et les éléments de platerie. Personnalisation possible grâce au laser.
Tendance zen pour "Hannah" qui existe en inox ou inox argenté.
Sambonet.
Lignes contemporaines pour "Linea Q" qui vient de remporter un prix pour
son design à Milan. Inox 18/10 ou inox argenté. Sambonet.
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Conseils d'achat pour couverts en inoxUn couvert de qualité se reconnaît à plusieurs critères : Côté couteau, on reconnaît un couteau standard découpé à froid et soudé d'un
couteau "orfèvre" (dit monocoque) grâce au test de l'aimant : un couteau
"orfèvre" possède un manche non magnétique tandis que sa lame l'est. D'autre
part, cette dernière est flexible : si on la tord, elle reprend sa place initiale, ce qui
n'est pas le cas pour un couteau de moindre qualité. |
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L'HÔTELLERIE n° 2664 Magazine 4 Mai 2000