édito de la semaine et votre article page 17

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bertrand

jeudi 18 octobre 2007

Bonjour,
Dans l'édito, il est mentionné le parcours du combattant pour une réservation au restaurant.
Dans votre chronique, vous proposer exactement ce qui est dénoncé dans l'édito.
Vive la liberté des journalistes et chroniqueurs mais dur de suivre le message.

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André PICCA

mercredi 24 octobre 2007

liberté d'action aussi
Il y a déjà ... ans, autour des années 85, Michel Kossossey (voir aussi son ouvrage plus haut) posait la question aux restaurateurs : qu'est-ce qui coûte le plus cher dans un restaurant ? ......... la chaise vide, c'est à dire le CA que l'on ne fait pas alors, qu'en bon commerçant, on se doit d'être prêt à fournir, avec régularité, qualité d'assiettes, d'environnement, d'accueil, ...
Faut-il modifier les procédures de réservation lorque le restaurant dispose en permanence de places libres ? Non, mais si ce même restaurant cherche à mieux gérer ses temps de travail ? Alors, trouvons des pistes.
Que dire aussi des clients qui se sentent en liberté jusqu'à ne pas avoir la correction d'annuler une réservation ? Il y a longtemps que les hôteliers ont mis en place des procédures similaires pour mieux y faire face ; pourquoi les restaurateurs se priveraient-ils de ces expériences ?
Pour finir, je pré-suppose, avec de telles techniques, que la qualité d'accueil etc, est au top dans l'entreprise : donc, ces précautions en réservation sont facilement acceptées par les clients.
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L'Hôtellerie Restauration

mardi 23 octobre 2007

L'art de l'accueil touristique
Effectivement, les précautions prises par les restaurateurs lors des réservations peuvent parfois donner une impression de ‘compliqué’ donc de ‘lourdeur’….et cela peut donner un sentiment d’insatisfaction à certains consommateurs. Cependant l’édito du 18/10/07 et la chronique d’André Picca ‘Au téléphone : reformulation et garanties de réservation’ ne sont pas en contradiction.
Ils démontrent au contraire que justement, tout l’art de l’accueil touristique est de savoir manier impératifs de rentabilité et satisfaction du client. C’est un métier et ça s’apprend un peu grâce la théorie, beaucoup par la pratique. Ca s’entretient et s’améliore aussi en étant attentifs aux expériences des autres professionnels, que celles-ci soient partagées par les restaurateurs eux-mêmes ou les consultants en formation dont le métier est d’observer les meilleurs pratiques et de permettre à ceux qui sont sur le terrain de les adapter dans leur propre structure pour en tirer eux-même profit.
Savoir donner une bonne impression au client qui réserve tout en prenant avec tact le maximum de renseignements utiles pour s’assurer que le client viendra n’est pas chose facile. Cela demande de l’organisation, des qualités commerciales et une aisance dans l’expression orale. Il n’est donc pas étonnant que cela ne soit pas toujours bien fait, donc bien perçu par les consommateurs.
Et c'est bien pour cela que les idées des auteurs des sujets interactifs (experts dans un domaine précis) peuvent être utiles.
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bertrand

mardi 23 octobre 2007

Merci pour votre éclaircissement,
C'est bien pour cela que je traine dans vos forum.

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