et a coté de ça ,je viens de lire qu'un boucher parisien tres mediatique vient d'etre chopper pas la patrouille car il a employé un sans papier ....

bon pour enfoncer le clou ,je commence a faire des entretiens d'embauche de femme de chambre pour la saison ,la 1ere que j'ai vu ,au bout de 3 mns (montre en main)a commencé a ma parler de la semaine de vacances qu'elle souhaitait prendre en juillet, voir aout si sa collegue ne voyait pas d?inconvénients... voili voilou ..

essayons de trouver un juste milieu

@ André Picca

pour mon cas cité plus haut ,c'etait une candidature spontanée ...

@Marie restauratrice.
Je ne crois pas que ce soit les abus ou infractions d'une minorité qui conduisent le législateur à plus de coercition. C'est un système qui l'exige.
Le mal est endémique. Comme nous devons le reconnaître nous avons de la chance d'être dans un pays où tout est relativement facile, on a même plus conscience des opportunités qui nous sont offertes : écoles gratuites, droit à la formation, droit aux congés payés, droit aux congé parental, droit au congés maternité, droit au congés paternité, droits multiples et variés qui ne s'accompagnent jamais du corollaire "obligation".
A force d'ouvrir des "droits", toutes sortes de droits, notre pays, notre société a créé une cohorte de rouspéteurs en tous genres, gavés de manger du pain blanc. Tout cela est savamment organisé au nom de la paix sociale.
N'avez vous pas remarqué la tendance qui veut que l'entreprise s'est vu attribuer une responsabilité sociale... Cela va très loin, trop loin !
Le drame est que ceux qui croient être "protégés" par tous ces dispositifs n'ont même pas compris qu'ils sont tout simplement privés de leur instinct de survie, de leurs capacités d'intiative, d'invention. On les protège on pense pour eux... en supprimant (en apparence) l'angoisse du devenir, on anesthésie l'esprit critique, le vrai, celui qui construit, qui crée, qui apporte quelque chose à un système.
Tout cela est voulu : à une certaine époque, "la religion était l'opium du peuple". Aujourd'hui, nos législations sont le valium du peuple.

Bravo Marie, ça c'est bien dit !

Désolé Mr Picca que votre Blog soit en quelque sorte "squatté", mais aucun endroit n'est de toute façon approprié pour ce type de missive et... c'est tellement bien écrit.

Merci Marie

Je rejoins les propos de MARIE, car je souffre de ces comportements et ma société en pâtit. Il y a du travail dans ce pays, mais le droit des uns trop importants priment sur les besoins des autres au point de regretter d'avoir entrepris.

A cette rubrique "Il faut arrêter de se plaindre" je propose que nous décernions la palme d'or à notre Ministre du Commerce Extérieur, Mme Nicole Bricq" qui a qualifié le diner d'état offert à l'Elysée pour la visite du Président chinois "DEGUEULASSE".

Allons donc, n'ayons pas peur des mots !

De tels propos dans la bouche du Ministre du Commerce Extérieur témoignent de sa bêtise ? de son incompétence ?

°le Chef de l'Elysée est MOF (2004),
° la Gastronomie Française inscrite au Patrimoine culturel et Immatériel de l'Humanité en 2010

"DEGUEULASSE"...
Le "rata" servi à cette occasion c'était :
Gourmandise de foie gras truffé
Volaille landaise rôtie, viennoiserie de champignons...
Plateau de fromages
Nuance chocolat & caramel, glace acidulée

et les vins en accompagnement
- Sauternes, Château Yquem 1997 (239 € la bouteille)
- Château Lafitte 1999 (699 € la bouteille)
- Champagne Deutz millésime 2005 (125 € la bouteille)

Quand Mme Bricq, qui représente la France au niveau international, s'autorise de telles saillies à l'issue d'un diner d'Etat, elle porte un grave tort à notre Cuisine Française. Elle jette un discrédit sur tous les efforts de créativité, de qualité, du travail de nos MOF.

Il suffit de regarder les photos de Mme Bricq en visite officielle au Koweit, en mars 2013, pour comprendre sa perception du goût (vestimentaire, soit, mais qui en dit long sur sa compréhension de la représentation de notre pays).

Bis repetita : après avoir trahi la Haute Couture Française, elle vient de nouveau de porter atteinte aux intérêts de notre pays !

Comment alors trouver un remède à la tendance répandue "de se plaindre" quand nos représentants se permettent de geindre sur la cantine infâme de l'Elysée ?

Et oui, le ventre est notre deuxième cerveau... à condition de faire travailler le premier.