Effectivement, le 2 juin 2020 sonne la libération ! C’est un vent de liberté d’agir, dans un Nouveau Monde régenté par la crise sanitaire, appelons cette nouvelle ère, la Covidie.
Le réveil matinal est alimenté par une énergie sans limites, tellement les privations du confinement ont été grandes : vie économique de l’entreprise, relations commerciales avec les clients, relations humaines avec l’équipe.
En tête d’un peloton, on grimpe le col en consommant toute son énergie, au risque d’avoir une fringale, ça s’appelle le burn-out, ce moment où l’on prend conscience qu'on n'atteindra pas la ligne d'arrivée, ou que le modèle économique n’est pas forcément le meilleur, ou que les clients ne sont plus comme avant en pouvoir d’achat ou en volume, ou que l’équipe se sent étriquée dans un carcan sanitaire.
Danger ! Prise de conscience d’un surlendemain qui pourrait être désenchanteur ! Faites alors appel à votre savoir-faire dans la gestion des priorités.
Dans ce domaine, je vous invite à écouter les conseils de Xavier Picca, responsable de centre de vacances Fram depuis 2011 :
"La Jauge de la Vitalité"
Contexte
Que se passe-t-il dans un jeu vidéo lorsque votre niveau de vitalité baisse ? Les actions menées sont moins évidentes, ... Bref, vous êtes confus !
Et si, vous demain, Avatar de votre vie, vous appreniez à maintenir cette jauge au maximum ?
Quelques règles à suivre
Le téléphone, facteur anxiogène
- dédier un temps imparti pour le consulter,
- limiter une durée en contact avec son écran,
- privilégier le petit carnet.
Définir un temps maximal à chaque tâche
- à passer trop de temps à faire la même activité, votre cerveau perd en efficacité,
- définissez le cadre et écoutez-vous !
Agir aux instants stratégiques
- définissez les moments clefs. Ex. dans un hôtel : je me montre aux pics de fréquentation à la réception.
Priorité : maintenir son énergie pour ceux-ci.
A titre personnel, avant une réunion devant 400 personnes, je prends une pause pour changer de vêtements ou me ralaxer,
Trop travailler tue la productivité
Je vous invite à vous rapprocher, via quelques clics sur Google, d'auteurs comme Enrico Panai."