Activité : hôtel-bureau
Rapport moyen | Rapport moyen | Tendance générale du marché | |
Par tranche de chiffre d'affaires (CA) | Prix / CA HT (%) | Prix / CA HT (%) | En augmentation |
CA de 60 000 à 149 999 € (CA moyen = 93 000 €) | 126 % | 3,9 | |
CA de 150 000 à 249 999 € (CA moyen = 191 000 €) | 175 % | 5,4 | |
CA 250 000 à 1 000 000 € (CA moyen = 480 000 €) | 160 % | 4,8 |
Source : moyenne sur 35 ventes d'hôtels-bureaux réalisées par les cabinets Michel Simond du 1er mai 2013 au 1er mai 2014. Les ratios non significatifs ont été écartés.
Activité : hôtel-restaurant
Rapport moyen | Rapport moyen | Tendance générale du marché | |
Par tranche de chiffre d'affaires (CA) | Prix / CA HT (%) | Prix / EBE retraité | En baisse |
CA de 100 000 à 249 999 € (CA moyen = 180 000 €) | 73 % | 2,2 | |
CA de 250 000 à 399 999 € (CA moyen = 340 000 €) | 94 % | 3,3 | |
CA 400 000 à 1 000 000 € (CA moyen = 570 000 €) | 73 % | 3,3 |
Le commentaire de Stéphane Corre, directeur Métier CHR, Michel Simond Développement
"Nous constatons des transactions en baisse dans le secteur de l'hôtellerie-restauration, et en légère augmentation sur l'hôtellerie de bureau. A contrario, l'offre d'affaires à la vente est plus importante en hôtellerie-restauration qu'en hôtellerie de bureau.
Cela a donc eu pour conséquence une flambée significative des prix de cession en hôtellerie de bureau sur les dernières années.
Concernant les cessions des fonds de commerces d'hôtels-bureaux constatées, le rapport moyen se situe entre 150 et 200 % du chiffre d'affaires.
Pour les cessions des fonds de commerces d'hôtels-restaurants, le rapport moyen se situe entre 50 et 100 % du chiffre d'affaires.
Pour être plus précis, il convient d'apprécier le marché par secteur géographique, car cela peut exceptionnellement avoisiner les moyennes de 200-300 % pour un hôtel-bureau et 100-150 % pour un hôtel-restaurant. Cependant, il faut savoir que les banques sont frileuses si les dossiers de reprises présentent des risques majeurs clairement identifiés, tels que :
- une surévaluation du prix de cession ;
- une reprise mal appréhendée ;
- un marché local peu favorable ;
- une capacité d'autofinancement trop tendue ;
- un établissement trop vétuste ou 'non conforme' en regard des nouvelles réglementations ;
- un manque d'expérience dans le domaine d'activité.
Il est à noter que les transactions cohérentes par rapport au marché, au profil des repreneurs et présentées sur des bases acceptables en termes de financement, ne rencontrent pas plus de difficultés pour trouver un financement auprès des organismes bancaires.
Pour mettre toutes les chances de votre côté, faites-vous accompagner par les cabinets Michel Simond qui pourront vous aider dans la transaction et vous éclaircir précisément sur le marché local."