"Je me suis vraiment plongée dans l'univers du café, explique Sarah Fiedler. Je n'avais pas de connaissances particulières au départ. J'ai pas mal travaillé, appris, je me suis documentée."
"Je me suis appuyée sur le livre 'La passion du Café' de Malongo, relate Raphaëlle Hanot, sur le dictionnaire du café et sur le site de l'académie de Versailles [www.hotellerie-restauration.ac-versailles.fr, NDLR]. On peut dire que je me suis laissé prendre au jeu. La route du café, je la connais par coeur, les dates clés, les grands crus... J'ai travaillé pendant mon temps libre pour préparer ce concours. Je ne regrette pas, c'est assurément un plus dans mon parcours."
Un concours valorisé par les professionnels
"C'est un bon cru, se réjouit Dominique Antonetti, formateur Malongo en Midi-Pyrénées. L'épreuve est assez difficile, il faut bien se préparer mais c'est une bonne expérience pour tous les candidats. Certains retentent d'ailleurs le concours plusieurs années à la suite." C'est aussi un bon moyen de redonner au café ses lettres de noblesse. "On a trop souvent tendance à négliger le café en France. Or, c'est ce qui reste après un bon repas", ajoute Dominique Antonetti. Un partenariat entre la marque Malongo et l'Éducation nationale vient d'ailleurs de voir le jour afin de former enseignants et élèves à l'univers du café dans toute la France.
Publié par Dorisse PRADAL