Rezidor France : 100% d’hôtels éco-labellisés

Le groupe a également été reconnu par l’institut Ethisphere comme l’une des sociétés actuelles les plus éthiques.

La boucle est bouclée. En 2007, Rezidor a été le premier groupe à intégrer le label environnemental Clef Verte. Deux ans plus tard, sa marque Park Inn a été labellisée dans sa totalité. Aujourd’hui, c’est au tour des 19 établissements Regent et Radisson d’arborer le précieux label. Pour couronner le tout, l’institut Ethisphere l’a désigné il y a quelques semaines comme l’une des sociétés les plus éthiques du monde. “Nous croyons que la force d’une société commence par un engagement profond à respecter les règles d’éthique à tous les étages de la hiérarchie”, justifie Kurt Ritter, président et p.-d.g. de Rezidor.

Lancé en 1989, le ‘Business Responsable’ est un véritable programme de développement durable. Il a pour objectifs : la responsabilité vis-à-vis de la santé et de la sécurité des employés et des clients, le respect des questions sociales et éthiques et la réduction de l’impact négatif de l’entreprise sur l’environnement. Le programme a été conçu de manière flexible : les hôtels adoptent des objectifs communs basés sur des améliorations continues, mais ils peuvent opter pour des mesures adaptées à leurs particularités.

 

Un coordinateur par établissement

“Chaque hôtel dispose d’un coordinateur Business Responsable. Supervisé par le directeur général, il présente un plan d’action annuel”, explique Morgan Butty, directeur des ressources humaines et en charge de la responsabilité sociétale du groupe Rezidor en France. Coordinateur de toutes les actions France, le ‘Monsieur Label’ du groupe assure, chaque mois, une conférence téléphonique avec l’ensemble des coordinateurs du territoire, pour mesurer les performances de chaque hôtel suivant un indicateur développé à cet effet. “Pour faciliter leur mission, les coordinateurs disposent également d’un site intranet qui propose une application progressive du programme et renferme de nombreuses suggestions concernant les améliorations envisageables” poursuit Morgan Butty. “Comme pour la labellisation, il s’agit de ne perdre personne en route.”