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Le Tout va bien, surtout en famille

Hôtellerie - mercredi 17 août 2011 11:17
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Valence d'Agen (82) Philippt Le Bloas chapeaute l'activité d'un hôtel restaurant où travaillent sa femme, son fils, sa fille et son gendre.



'On investit pour la famille', affirme Philippe Le Bloas.
'On investit pour la famille', affirme Philippe Le Bloas.

Philippe Le Bloas est un homme qui vit son métier à fond. Il y a entraîné sa femme, son fils, sa fille et son gendre. "Nous investissons pour les enfants", affirme cet Aveyronnais de Rodez qui a dirigé des brasseries pendant une vingtaine d'années à Paris. "Nous cherchions un hôtel-restaurant aux normes, dans un environnement agréable où chacun aurait un rôle précis, où l'on travaillerait seize heures par jour si nécessaire mais avec la possibilité d'avoir une vie de famille", souligne Cindy, sa fille, 24 ans, diplômée d'école hôtelière.
La répartition des tâches s'est vite établie : Michèle Le Bloas, la mère, s'occupe de la gestion de l'hôtel de 21 chambres, Cindy de la restauration tandis que son mari, David Espitalier, 30 ans, est le chef de cuisine, secondé par Geoffrey Le Bloas, le fils, fraîchement sorti de l'école hôtelière. Philippe Le Bloas "chapeaute le tout" et fait profiter de son expérience.

Institution régionale

L'établissement propose une cuisine de terroir au bistrot, plus évolutive au restaurant gastronomique. La famille a pris possession du Tout va bien, une institution régionale propriété de Lucien Boldron, voici cinq mois. "Nous travaillons et, ensuite, nous referons au fur et à mesure la décoration des chambres, du restaurant en fonction de nos goûts", précise Cindy. "J'adore les clients, calculer les marges, faire un planning. J'aime la pression. À Paris, je finissais à 3 heures du matin et j'allais aux Halles", raconte Philippe Le Bloas qui, avant de venir à Valence-d'Agen, a tenu pendant dix ans avec son épouse La Salamandre à Najac (12).
Bernard Degioanni

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