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Relations de plus en plus tendues entre l’Umih et Christine Pujol

Vie professionnelle - lundi 18 janvier 2010 16:56
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75 - Paris Alors que Christine Pujol a commenté, dans un communiqué envoyé à la presse, la décision de justice du Tribunal de grande instance de Paris du vendredi 15 janvier, estimant, à la lecture du jugement et selon elle, qu’elle avait “remporté une première victoire sur le plan juridique”, la rue d’Anjou vient de réagir à ses propos dans un texte co-signé par la présidence confédérale et le directoire de l’Umih.



“L’ordonnance du 15 janvier 2010 du juge des référés du TGI de Paris, dont nous venons d’avoir connaissance, déboute Madame Christine Pujol de sa demande visant à interdire la tenue du Directoire de l’Umih du mardi 19 janvier 2010. Elle avait assigné, par voie d’huissier, les membres de droit du directoire : André Daguin, président confédéral par intérim, Dany  Deleval, vice-présidente confédérale, Jacque Bellin, président du GNC, Gérard Plomion, président du SNRPO et tous les présidents de branches : Laurent Duc, Therry Grégoire, Bertrand Lecourt, Laurent. Lutse, Philippe Villalon et le trésorier de l’Umih, Jean-Marc Banquet d’Orx. Faute d’accord préalable du Directoire, Madame Pujol est jugée irrecevable à agir au nom de l’Umih et Madame Pujol ‘n’étant pas membre, à titre personnel, de l’Umih’, puisque l’Umih est une confédération à laquelle seules adhèrent les personnes morales, est jugée également irrecevable à agir à titre personnel. Madame Pujol a demandé à la justice d’interdire la réunion du directoire, qu’elle a d’ailleurs qualifiée de “voie de fait”. La justice a rejeté sa demande. Ce sont les défendeurs eux-mêmes, à savoir les membres de droit du directoire, qui ont, dans un souci d’ouverture, proposé au juge des référés que Madame Pujol puisse assister à la réunion du directoire du 19 janvier 2010. Le juge a d’ailleurs “donné acte aux défendeurs de ce qu’ aucune opposition” (de leur part) ne sera exprimée contre une participation de Madame Pujol à la réunion du Directoire de l’Umih, le 19 janvier 2010”. En parlant de “première victoire juridique” - alors qu’elle a été entièrement déboutée de sa demande ! - et en prétendant qu’elle “réintègre sa place au sein du drectoire”, place qui lui aurait été “confisquée” par André Daguin - alors que c’est André Daguin lui-même qui a proposé au juge des référés qu’elle assiste à cette réunion du directoire, et à celle-là seulement, Madame Pujol persiste dans le mensonge et sombre dans le ridicule. Elle met ainsi fin à toute possibilité de discussion amiable.”
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