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du 1er avril 2004
LOGIS DE FRANCE

< HAUTE-LOIRE

Se faire connaître et reconnaître


André Perrier, vice-président de la Haute-Loire ; Jacqueline Roux, présidente départementale et nationale des Logis ; Guy Vissac, maire de Langeac ; et Christian Chevalier, de la DDCCRF (direction départementale de la concurrence, de la consommation
et de la répression des fraudes).

Savoir s'appuyer sur les nouvelles technologies pour continuer à aller de l'avant, c'est le pari des Logis de France de Haute-Loire. "Nous avons déjà relevé de nombreux défis qui paraissaient surréalistes", a lancé Jacqueline Roux, présidente départementale et nationale des Logis lors de l'AG de l'association à Langeac. Ainsi, la qualité a fait un bond en avant : la communication par Internet, et maintenant la commercialisation prend le relais. L'ouverture, tant vers les nouvelles technologies que pour l'environnement existant, reste primordiale. Aussi, une dizaine d'hôteliers du département sont partis découvrir l'Alsace.
Et le développement du site Internet se poursuit. Tous les responsables de l'association incitent les adhérents à utiliser cet outil. Qui permet de vendre directement des chambres, pour toucher un public nouveau, avec un potentiel de développement non négligeable. Par ailleurs, les Logis ont le vent en poupe. "Nous devons profiter de la vague, a lancé Franck Jouve (Le Brivas à Vals-près-le-Puy), la clientèle montre une certaine lassitude vis-à-vis des chaînes et recherche du qualitatif, de l'authentique. Ce que nous sommes." Un créneau à prendre donc sans hésiter.
En face, il y a encore et toujours la réglementation, notamment en restauration. Christian Chevalier, de la DDCCRF (Direction départementale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes), a apporté quelques précisions sur l'indication de l'origine des viandes bovines : visible et lisible pour le client, avec des informations sur le lieu de naissance, d'élevage et d'abattage des bêtes. "Le principe de base : le consommateur doit savoir d'où vient la viande. C'est vrai pour tout le monde, la restauration collective aussi", a répondu Christian Chevalier. Sur les actions des services administratifs : "Nous ne pourrons pas continuer éternellement à faire des observations orales ou écrites", a averti le responsable de la DDCCRF. Dans les mois à venir, la répression pourrait prendre le dessus.
Enfin les formes plus traditionnelles d'actions ne sont pas oubliées : dépliants classiques, organisation et participations à des manifestations et des salons.
P. Boyer zzz76v

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