du 20 mai 2004 |
REVUE DE PRESSE |
Le choix de Jean-Luc
Petitrenaud dans L'Express : Vin et Marée à Paris "A Vin et Marée, on ne consulte pas la carte, mais le tableau noir. Au gré des arrivages, on passe l'éponge pour laisser la place aux anchois de cuves de Dominique Lechat à Quiberon, aux encornets de ligne de Saint-Gilles, ou encore à la vraie soupe de poissons de roche de Jean-Marie Avalonne, à Sète. (...) Un régal de fraîcheur, d'improvisation et d'honnêteté." |
< Dans Hotels
Hôtel avec pistes de ski intégrées
"Dubaï semble être le centre des projets les plus fous. Le groupe Kempinski
Hotels & Resorts, basé à Genève, avait annoncé sa participation au développement
de Palm Island, un ensemble d'habitations et de complexes hôteliers sur une île
artificielle en forme de palmier. Il a travaillé avec la société d'investissement
Albwardy jusqu'à ce qu'il rencontre des difficultés insurmontables. Pas découragé pour
autant, Kempinski travaille apparemment maintenant sur deux projets qui aboutiront. L'un
est un hôtel de 400 chambres, sur les terres en face du célèbre Burj Al Arab. L'hôtel
sera relié à une galerie commerciale Mall of the Emirates contruite par Majif, les
propriétaires de la marque Carrefour pour tout le Moyen-Orient. Autre particularité de
l'hôtel, il est contigu à une montagne intérieure créée de toutes pièces. Un dôme
en verre accueillera une piste de ski de 411 m, couverte de neige, un remonte-pente et une
grande piste de snowboard pour permettre aux passionnés de skier toute l'année malgré
les températures extérieures qui atteignent près de 50°."
< Dans Marianne
"Autodénigrement en chef"
Le chroniqueur gastronomique Périco Légasse s'insurge contre le "délire
gustatif" qu'il constate dans certaines assiettes. De là à en rendre Joël
Robuchon responsable, est-ce bien raisonnable ?
"A l'heure où le délire gustatif s'attaque à nos bistrots de village (vu
près du Mans un 'feuilleté de sandre au livarot imbibé à l'anis sur son coulis d'ail
cacaoté'), où des restos du littoral breton en viennent à proposer de la perche du Nil
à la moutarde violette de Brives, on réalise combien - entre autres dégâts du
néotendancialisme culinaire - la cuisine française paye cher l'éloge que Joël Robuchon
fit de Ferran Adria (chef d'El Bulli à Rosas). En décrétant que ce chimiste catalan
était le plus grand cuisinier du monde, Robuchon ne pouvait qu'inciter la jeune
génération à dénigrer les bases d'un métier, dont lui, le maître vénéré, regrette
aujourd'hui le déclin."
Le choix de Gilles
Pudlowski dans Le Point : La Source des Sens à Morsbronn-les-Bains (67)
"A 45 kilomètres au nord de Strasbourg, côté Outre-Forêt, un hôtel de cure et son cuisinier aux doigts de magicien, Pierre Weller, à découvrir avant que la mode ne s'y mette." |
< Dans Ouest France
Le filou d'hôtel... à l'hôtel de police
Entre le 18 décembre et le 9 mai, un homme a écumé les hôtels Campanile du
Grand Ouest, dîner inclus, et s'est envolé sans payer. Malgré une technique bien
rodée, il a été rattrapé.
"Un itinéraire zigzaguant, de la Somme à Avignon en passant par
Châteauroux, Nantes et Orléans, Les séjours sont d'un à deux jours avec des repas
copieux. Le voyageur délivre une identité fictive ou fournit le nom d'un employeur sorti
de son imagination. Le 'paiement' s'effectue grâce à de fausses références de carte
bancaire.
A chaque fois, la note non réglée s'élève entre 200 et 300 e. Record le 9 mai,
à Mondeville : 700 e, ce qui ne manque pas de surprendre le gérant. La police nationale
est prévenue : le filou d'hôtel est interpellé à l'auberge de la Vallée-Verte, à
Caumont-sur-Orne. Il est transféré à l'hôtel de police de Caen, où la brigade
financière reconstitue son itinéraire.
Une tâche facilitée par la fréquentation régulière de la même enseigne et de
la commande, dans chaque établissement, avant de gagner la chambre, d'une bouteille de
rosé. Le préjudice total est estimé à 6 410 e. L'intéressé sera jugé le 22
septembre."
< Dans Paris Match
Des hôtels griffés couture
Ce n'est plus étonnant, c'est devenu un phénomène, les maisons de couture
habillent aussi les hôtels. Un argument de vente qui doit être entendu par la clientèle
pour connaître un tel développement. Le succès des marques...
"Le phénomène est typiquement italien. Une à une, les marques de luxe de la
péninsule se prennent au jeu de la décoration d'hôtels, de Paris à Tokyo. Dans les pas
de Ferragamo (Lungarno à Florence), mais associé à un grand promoteur du Moyen-Orient,
Giorgio Armani prévoit l'ouverture, d'ici à 2011, de 10 hôtels portant son nom,
notamment à Londres, Paris, New York, Tokyo, Milan et Dubaï. Versace, qui a choisi, en
2000, l'Australie pour son incroyable Palazzo Versace, annonce des projets à Dubaï,
Shangai, Hong Kong. Le joailler Bulgari a, lui, signé un partenariat avec le groupe
Marriott et un premier hôtel Bulgari - six autres devraient suivre - sera prochainement
inauguré à Milan. Krizia et son K Club, aux Caraïbes, Max Mara et son Albergo delle
Notarie à Reggio Emilia, Alberta Ferretti et son Carducci 76, à Cattolica, sont en plein
dans la tendance. A quand un hôtel Dior, Chanel ou Hermès ?"
Le choix de Philippe
Couderc dans Le Nouvel Observateur : Copenhague
à Paris "Escale lumineuse au Copenhague. L'occasion de découvrir le saumon et le hareng, superbement déclinés. La rencontre avec des ufs d'ablette, de l'anguille et du flétan fumés insiste sur ces exotismes dépaysants. Ce que les noisettes de renne ne démentent pas." |
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L'Hôtellerie Restauration n° 2873 Hebdo 20 mai 2004 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE