du 30 septembre 2004 |
REVUE DE PRESSE |
Le choix de Jean-Luc Petitrenaud dans L'Express
:
L'Oustau de Baumanière aux Baux-de-Provence
(13) : "Dans ses deux restaurants, Jean-André Charial mitonne une cuisine
raffinée, mariant avec élégance les saveurs de son pays."
< Dans Le Figaro
"Les étoiles appartiennent au Michelin"
En attendant la sortie du Michelin
France 2005 le 3 mars prochain, Jean-Luc Naret, son directeur, évoque les projets et
la ligne directrice du guide.
« [
] Nous voulons communiquer plus fortement sur la
philosophie des étoiles. Elles appartiennent au Michelin, pas aux chefs. Elles ne sont
pas gravées dans le marbre, elles seraient plutôt en cristal. Si l'on n'en prend pas
soin, elles peuvent se briser. Nous voulons aussi qu'elles soient homogènes dans les pays
que nous couvrons. [
]
Le Figaro : Souhaitez-vous créer une quatrième étoile ?
"Ce n'est vraiment pas d'actualité. Il nous faut plutôt réfléchir à mieux
présenter les différentes cuisines. Peut-être en donnant plus d'informations autres que
sur l'assiette. Le délai est trop court pour l'édition 2005, mais nous avons des pistes
de réflexion pour l'année suivante" [
]. » zzz22v
< Dans Le Journal du Net
Eté 2004 : climat au beau fixe pour
l'e-tourisme
L'achat en ligne de séjours a longtemps
fait la part belle aux prix bradés grâce aux ventes de dernière minute. L'achat à
l'avance, advance booking, largement soutenu par les vendeurs semble se faire également
une place.
« Le tourisme reste le domaine le plus actif de
l'e-commerce en France. Les premiers chiffres des mois de juillet et d'août confirment sa
forte croissance, et ce indépendamment du secteur traditionnel offline. "L'été
2004 est excellent", se félicite Pierre Paperon, directeur général de Lastminute
France. [
]
Sans connaître encore les chiffres exacts, les voyagistes en ligne annoncent globalement
des taux de croissance de 40 % à 70 % en termes de volumes des ventes par rapport à la
période juillet-août 2003. [
]
En revanche, fait nouveau, l'ensemble des professionnels de l'e-tourisme souligne
l'augmentation des réservations à plus de 30 jours avant la date de départ. "Alors
que l'an dernier on avait assisté à un phénomène de réservation tardive, explique
Mathias Emmerich, la tendance s'est inversée cette année. 80 % de nos clients ont
réservé entre 60 et 7 jours avant le départ", constate le directeur général de
Voyages-scnf.com [
]
Une tendance de fond, baptisée advance booking, que le vice-président d'Expedia France,
attribue non seulement au développement des voyages sur mesure sur le Net mais aussi à
la maturation de l'e-tourisme. Pierre Paperon ne partage toutefois pas cette conception.
Le directeur général de Lastminute France défend le business modèle des réservations
à moins de 15 jours avant le départ, dont la part a représenté 54 % des ventes de la
société en juillet et 60 % en août. Promovacances enregistre également une majorité
de réservations à moins de 2 semaines avant le départ.
[
] Une chose est certaine, dernières minutes ou réservations à plus de 30 jours,
le prix reste l'élément déterminant dans l'achat en ligne de voyages. [
]. » zzz22v
< Dans Midi-Libre
"C'est la fin de l'exception
sétoise"
« Drôle d'ironie : Mac Donald's implante
un de ses fast-foods à l'endroit exact où un panneau publicitaire indique depuis des
années que le plus proche
MacDo est à Balaruc-les-Bains. Ce ne sera plus vrai
d'ici deux mois. [
] Objectif : ériger un fast-food de 429 m2, avec drive-in,
terrasses et parkings en dur. Il devrait ouvrir le 17 décembre, juste à temps pour les
fêtes de fin d'année. On y annonce la création d'une quarantaine d'emplois. [
]
Certains fast-foods de Sète craignent pour leurs recettes. A moins que le géant
américain ne donne un coup de fouet à l'offre dans ce domaine. Sète était, en tout
cas, sans doute, l'une des rares communes de 40 000 habitants à ne pas avoir de MacDo.
Longtemps, pour des raisons idéologiques surtout, les municipalités qui se sont
succédé ont trouvé prétexte à ne pas laisser s'installer le porte-drapeau d'une
culture culinaire maintes fois dénoncée. [
]"
Le choix de Philippe Couderc dans Le Nouvel
Observateur :
L'Hôtel Astor à Paris : "Il faut
aller le chercher ce restaurant de l'Hôtel Astor. Une vraie curiosité où la cuisine de
Christophe Dié y transporte d'aise."
< Dans Les Echos
Comment défendre son attractivité
« Avec un turnover de 120 % il y a encore
douze mois et 3 000 à 4 000 postes à renouveler chaque année, le groupe Flo a pris le
problème du recrutement et de la fidélisation à bras-le-corps. "Nos métiers sont
difficiles et je comprends que les gens n'aient pas toujours envie de travailler le
week-end. Mais, en tant que leader sur le marché de la restauration, notre
responsabilité est de faire changer l'image du secteur et d'en démontrer les
atouts", indique Dominique Giraudier, p.-d.g. du groupe Flo. Profitant d'un
changement de stratégie, ce dernier a remis à plat toute la politique RH. A commencer
par la centralisation du recrutement : "La constitution de notre marque employeur,
dont la charte graphique est identique pour tous nos restaurants, nous a permis d'offrir
un point d'entrée unique pour tous les candidats, mais avec la possibilité d'évoluer
dans toutes nos enseignes", relève le p.-d.g.
D'une nébuleuse de PME, Flo compte devenir un groupe
structuré. Premier acte : le groupe se fait un point d'honneur à intégrer au mieux les
jeunes recrues. Au bout de trois mois de service, les nouveaux embauchés se retrouvent à
Paris pour aller visiter l'ensemble des enseignes, histoire de montrer qu'ils font tous
bien partie d'une même famille. Vient ensuite le déjeuner dans l'une des grandes
brasseries de la capitale, une première pour la plupart des jeunes embauchés.
L'événement est certes symbolique, mais la direction a su le compléter par plusieurs
mesures : une politique de formation ambitieuse - le groupe possède un centre de
formation qui accueille 70 % des embauchés - ou encore la mise en place de cursus
diplômant grâce à la VAE. [
]. » zzz22v
Le choix de Gilles Pudlowski dans Le Point
:
La Pinte des Mossettes à Cerniat (Suisse) :
"Magicienne de la cuisine helvète, Judith Baumann travaille les herbes et les
saveurs avec un art renouvelé." zzz22v
< Dans La Dépêche du Midi
"Les employés enfumaient leurs
patrons"
« Albi (81). Tribunal. Deux cuistos et un
serveur à la barre pour avoir servi du space cake à leurs employeurs. [
]. Le 12
juillet, il sert le 'space cake' (c'est le nom générique donné au stupéfiant gâteau)
à la table où déjeunent ses patrons et les employés du restaurant. [
] La
dégustation tourne mal : le petit-fils de la patronne, 17 mois, mange quelques
cuillerées et finit par être malade. Tout comme sa maman, enceinte, prise de malaise.
[
] L'histoire aurait pu en rester là. Mais Pablo et ses comparses remettent le
couvert le 25 juillet dernier. [
] Le substitut du procureur a fustigé l'immaturité
et l'inconscience des prévenus. Elle requiert deux mois de prison avec sursis à
l'encontre des deux cuisiniers toujours employés au restaurant et 12 mois avec sursis et
mise à l'épreuve pour le dernier. »
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L'Hôtellerie Restauration n° 2892 Hebdo 30 septembre 2004 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE