Baisse de la TVA : échec ou satisfaction?

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Michel Coquart

mercredi 29 avril 2009

ça commence à bouger dans LANDERNEAU. Les réactions n'ont pas tardé suite aux accords qui aujourd'hui me font penser comme beaucoup que tout était plié d'avance.Quelles conclusions peut on en tirer?
La mise en place des contre-parties va scinder la profession en trois catégories.
1°les restaurateurs bien implantés et qui ont surmonté la première baisse de fréquentation suite à l'interdiction de fumer et qui ne s'inquiètent pas de la crise actuelle car ils possède la trésorerie
nécessaire pour appliquer ces contre-parties.
2° Les restaurateurs consciencieux qui ont déjà entre autre baissé leurs prix pour répondre à ces deux baisses de fréquentation et qui ont déjà un manque de trésorerie qui ne leur permet pas de mettre en place ces mesures (surtout nos jeunes qui viennent de s'installer).
3° Les restaurateurs peu scrupuleux qui vont encore s'en mettre un peu plus dans la poche.
On revient encore en arrière avec des mesures de contrôles et d'encadrement des prix sans le personnel administratif nécessaire
40 000 contrôles par an c'est peu pour remettre de l'ordre.
En conclusion une mesure sera + positive c'est le retour à l'apprentissage si il y a suffisamment de candidats dans ce secteur.Malgré tout c'est le client qui sera vigilant à cette baisse de prix mais je me demande si un simple auto-collant sera suffisant pour les rassurer.Michel Coquart

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Jean-Luc FESSARD

jeudi 7 mai 2009

Pas dans n'importe quelles conditions
Je rencontre tous les jours des jeunes qui sont ravis de travailler dans la restauration et qui acceptent ses contraintes horaires. Parce que leur employeur ne triche pas sur le temps passé, sur la rémunération des heures effectuées, sait les récompenser lorsqu'ils accueillent bien les clients et surtout les fait participer à des formations en leurs offrant des perspectives d'évolution. Le rapport au travail a bien sûr changé mais le taux de chomage élevè des moins de 25 ans en ramène un grand nombre vers des métiers plus contraignants, à condition que ces contraintes soient lièes au métier et non au management de l'employeur.
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thierry lebelem

jeudi 7 mai 2009

l aubergiste
pourquoi les cfa permettent à ces abrutis de pouvoir encore acceuillir des jeunes ??????
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Jean-Luc FESSARD

jeudi 7 mai 2009

Le verre à moitié vide ou à moitié plein
Loin de moi l'idée de rendre les employeurs seuls responsables de la situation de l'emploi actuelle. Je voulais simplement dire, en réaction à certains posts très pessimistes, que malgré des horaires très contraignants il y a encore beaucoup de jeunes aujourd'hui qui s'investissent dans la restauration et qu'ils espèrent y trouver des possibilités d'évolution. Qu'un restaurateur, y compris de très petits établissements, peut donc par son management disposer d'équipes motivées, j'en rencontre tous les jours.
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thierry lebelem

jeudi 7 mai 2009

que faire?
*relever la grille des salaires d apprentis comme le batiment l a fait
*revenir à un agréement obligatoire comme cela se passait encore il y a quelques anneées
*leur donner un vrai statut d étudiant
*avoir des cfa équipés comme il se doit en matériel comme en
enseigant
un jeune de 16 ans a souvent autant de motivation que celui de 18 ans revenons plutot à une année de préapprentissage et le CAP en 3 ans . Car en général l orientation en apprentissage est du a un certain raz le bol du système scolaire
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le chien

vendredi 8 mai 2009

tva? Pluto Truffe ,hein Mickey?
eh bin di don l'obergiste une apotéose farcie ! panse tu de
sur-croix la contiser? Amen.
le chien qui préfère les mulots
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jacob

vendredi 8 mai 2009

l'aubergiste, pas comme d'abitude..
votre post il me semble un peu fort,
et ces frases
"les repas d'un ¼ d'heure avec pâtes ou riz
les insultes voir les coups...
les logements dignes d'une étable à cochon"
ne sont-elles exagerées par rapport a vos collegues?
Surtout difficiles a ciffrer, non?
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le chien

vendredi 8 mai 2009

gagner le restaurateur
FACILE
Rien du tôut en dehors de la suspicion de la clientèle qui estimera que le restaurateur n'a pas fait l'effort escompté.
En plus le collecteur de taxe que nous sommes va,(je mets des guillemets pour ne pas être soupçonné de mauvais esprit), s'emmerder à faire des calculs savants pour éclater sa TVA sur les factures et en plus va se voir appliquer une augmentation chez son Expert Comptable pour surcroit de travail.
De plus la modif de TVA ne change strictement rien aux marges.
j'ai un menu de base aujord'hui à 16,50E demain il est à 14,50E
C'EST A QUI LES PLUMMES QUI SONT RESTEES SUR LE PARKING?
Je vais pas l'annoncer à 14,56
Je vais pas travailler plus surtout pour pas gagner plus, même sans embauche
arrètons la chasse aux pigeons de grâce surtout dans les cols "blancs"
le même chien

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romao

vendredi 8 mai 2009

dans les forums des quotidiens
une majorité d'internautes considère que la baisse de la tva va enrichir "encore plus" les restaurateurs qui vont mettre le boni dans leurs poches...no comment.
Question : allez-vous revoir tous vos prix à la baisse pour satisfaire le client ou peut-on cibler certains plats ? (hormis les 7 prévus dans les accords)
Facturation : pour les menus jour vin compris, merci de me confirmer que il faut faire apparaître les 2 taux de tva ?


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ETourisme

vendredi 8 mai 2009

Comment voulez vous enrichir le client avec la baisse TVA ?
Tout acte d'échange marchand (d'achat et de vente) enrichit quelqu'un !
C'est le fondement de notre société...sans creation de richesse pas de travail ni d'avenir..
Une autre regle c'est la libre concurrence : si le client n'a pas envie d'enrichir son restaurateur, il va aller consommer ailleurs !
Baisse de TVA ou pas ...au restaurateur d'etre attractif... par ses prix, sa cuisine, son emplacement, sa déco, son accueil..peut importe...!
Qui se fiche quand il va au restaurant de savoir si le restaurateur s'enrichit ou fait faillite ???
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jacob

vendredi 8 mai 2009

ETourisme, le secteur dans un piege.Silence est en'or
J'ai bien l'impression que celui de la baisse de la TVA est un piege et pas un cadeau.
De plus notre secteur n'a pas de voix pour parler aux medias.
Il faut faire bien son travail, et ne plus parler de la Tva.
Mais il faut le dire? Le secteur à vraiment besoin de créer une lobby..
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Bernard Boutboul

samedi 9 mai 2009

Cadeau, piège et lobbying?
Vous touchez là l'un des problèmes majeurs de la profession Jacob! Avoir obtenu un énorme succès sur un combat qui dure depuis des années et à la sortie n'être pas organisé pour s'adresser et communiquer de façon claire et forte à celui à qui va s'adresser cette mesure: le concitoyen. Pourquoi? Parce que la baisse de la TVA dans la restauration contrairement au bâtiment touche quasiment tout le monde au quotidien dans ses dépenses. Parce que ce concitoyen est un consommateur mais aussi un salarié ou actif à qui nous devons des comptes. Parce que cette baisse de la TVA va être ultra médiatisée entre le 28 et le 30 juin. Parce que le Président a de grandes chances de s'exprimer devant les Français durant cette même période, avant que ceux-ci partent en vacances. Le message est déjà plié ! Leur annoncer entre autres qu'il a obtenu une "redistribution" de pouvoir d'achat pour leurs vacances! Comment disiez-vous Jacob ? Cadeau ou piège, c’est bien cela ?

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