bonjour, merci pour votre réponse.
j'ai été suspendu le 1er février 2022 donc d'abord par sms...
ils m'ont appelée le jeudi 3 février à 9h pour me dire de ne pas tenir compte du recommandé que j'allais recevoir, que si je souhaitais revenir je pouvais.
ils s'attendaient à ce que je revienne le jour même ( ils me reprochent de ne pas l'avoir fait).
j'ai dit 'j'accepte de revenir' mais je peux à partir de lundi car comme j'étais sensée être suspendue j'avais pris des rdv que je pouvais difficilement changer ( ils me le reprochent aussi).
je suis donc actuellement de retour à mon poste depuis le lundi 7 dans une ambiance particulière.
j'ai été convoquée le jeudi 10 pour dénoncer mon attitude, ils me disent 'insupportable' car je ne leur ai pas dit 'merci', que ce n'est pas à moi d'accepter de revenir mais que c'est eux ' qui acceptent de me reprendre', qu'ils prennent un risque en cas de contrôle.
l'inspection du travail estime que le passe est obligatoire pour moi, parce que la serveuse entre dans la cuisine pour prendre les plats...l'accès à la cuisine ne donne pas sur la salle directement, ma collègue passe devant les frigos à boissons, les couverts pour aller vers les clients.Quelle crédibilité a l'inspection du travail du coup ici ?
je ne suis pas emmurée dans cette cuisine, il faut bien, en cas de non passe-plat, que le personnel de salle est accès à la cuisine.
qu'est-ce une cuisine fermée au public ?le fait qu'il y ait une porte ouverte entre la cuisine et la salle du restaurant est-elle considérée comme 'ouverte au public'?
si les clients veulent me voir travailler ou me dire 'bonjour', ils sont obligés de venir jusqu'à cette porte, moi je ne peux pas les voir.
ils reconnaissent que le terme de cuisine 'ouverte' et 'fermée' est confus et peut donner différentes interprétations.
je précise qu'il y a au niveau de cette porte coupe feu deux portes battantes dont ils ont fait le choix de ne jamais les utiliser ( leur prédécesseur non plus) car beaucoup trop petites et sincèrement très peu pratiques.
j'ai demandé une rupture conventionnelle oralement, qu'ils disent d'abord me refuser car j'ai trop d'ancienneté (17 ans), et aujourd'hui ils disent qu'ils me la refuseront de toutes façons à cause de mon attitude ( j'ai eu le malheur de poser des questions et de redire maintes fois que je n'avais pas besoin de passe...).
ils disent que la porte est grande ouverte si je veux partir et que je ne viens pas travailler en souriant...
en effet si j'avais su je me serais abonnée à vos services avant, je m'y suis abonnée la veille des désagréments que votre site a subi ;-)
merci pour vos conseils et vos guidances.
bon week-end,
Christine