L'année 2014 a été importante pour le groupe Accor. Sur le plan financier, malgré des conditions économiques pourtant loin d'être favorables, elle a été "l'année des records", selon Sophie Stabile, la directrice financière du groupe. L'année écoulée a également été celle de la mise en place de la nouvelle stratégie d'Accor, sous l'impulsion de son p.-d.g., Sébastien Bazin. Six moments clés l'ont ponctuée : le lancement d'HotelServices et HotelInvest, le 'plan digital' avec l'arrivée de Vivek Badrinath en mars, le rachat partiel des hôtels en conformité avec la stratégie d'HotelInvest pour un milliard d'euros, la mise en place de solutions de financer ces rachats d'hôtels à hauteur de 3,7 milliards d'euros, le lancement d'une politique multimarques avec une prise de participation dans le capital de Mama Shelter (à hauteur de 37 % dans un premier temps) et l'accélération du développement en Chine, avec la signature d'un joint-venture avec le groupe Hyazhu pour y installer 300 à 400 hôtels par an.
"Difficile de faire mieux"
S'il ne cache pas "sa fierté" face aux résultats obtenus, Sébastien Bazin se montre mesuré dans ses prévisions. "Il va être difficile de faire mieux", a-t-il insisté devant l'assemblée. Se limitant aux deux prochaines années, se refusant à "prévoir l'imprévisible" en se projetant plus loin, il a défini cinq priorités : le renforcement d'HotelInvest, la poursuite du 'plan digital' qui va se traduire par une volonté de croissance et d'adaptation aux nouveaux outils et par le rachat de sociétés innovantes, le développement et le renforcement des marques (de nouvelles acquisitions étant prévues à l'image du rachat partiel de Mama Shelter), le lancement d'une politique plus créative de food and beverage, et enfin la mise en place d'une nouvelle culture d'entreprise reposant sur trois mots clés : agilité, clarté et responsabilité.
Le programme présenté par le président n'a suscité aucune remarque de la part des actionnaires, tout juste quelques explications complémentaires. Les 26 résolutions ont été adoptées à l'unanimité, les actionnaires ayant obtenu une double satisfaction : des résultats financiers solides salués pour par un cours en Bourse qui s'envole pour atteindre 46,19 €, soit une augmentation des dividendes de plus de 20 % par rapport à l'an dernier.
Sans contestation et soutenu par des résultats solides, Sébastien Bazin peut également s'enorgueillir d'avoir obtenu la confiance des présidents-fondateurs d'Accor, Paul Dubrule et Gérard Pélisson. "Nous retrouvons le groupe avec une vraie dynamique et une croissance que nous avions perdue", confie Paul Dubrule. "Nous avons posé les bases d'une fondation", a rappelé Sébastien Bazin. C'est maintenant au groupe de construire le projet.
"Difficile de faire mieux"
S'il ne cache pas "sa fierté" face aux résultats obtenus, Sébastien Bazin se montre mesuré dans ses prévisions. "Il va être difficile de faire mieux", a-t-il insisté devant l'assemblée. Se limitant aux deux prochaines années, se refusant à "prévoir l'imprévisible" en se projetant plus loin, il a défini cinq priorités : le renforcement d'HotelInvest, la poursuite du 'plan digital' qui va se traduire par une volonté de croissance et d'adaptation aux nouveaux outils et par le rachat de sociétés innovantes, le développement et le renforcement des marques (de nouvelles acquisitions étant prévues à l'image du rachat partiel de Mama Shelter), le lancement d'une politique plus créative de food and beverage, et enfin la mise en place d'une nouvelle culture d'entreprise reposant sur trois mots clés : agilité, clarté et responsabilité.
Le programme présenté par le président n'a suscité aucune remarque de la part des actionnaires, tout juste quelques explications complémentaires. Les 26 résolutions ont été adoptées à l'unanimité, les actionnaires ayant obtenu une double satisfaction : des résultats financiers solides salués pour par un cours en Bourse qui s'envole pour atteindre 46,19 €, soit une augmentation des dividendes de plus de 20 % par rapport à l'an dernier.
Sans contestation et soutenu par des résultats solides, Sébastien Bazin peut également s'enorgueillir d'avoir obtenu la confiance des présidents-fondateurs d'Accor, Paul Dubrule et Gérard Pélisson. "Nous retrouvons le groupe avec une vraie dynamique et une croissance que nous avions perdue", confie Paul Dubrule. "Nous avons posé les bases d'une fondation", a rappelé Sébastien Bazin. C'est maintenant au groupe de construire le projet.
Publié par Catherine AVIGNON
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