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Agnès Vaffier, proviseur du lycée hôtelier, l'affirme : "Les mentions complémentaires sont un plus pour des jeunes gens motivés, travailleurs et passionnés. Avec une année scolaire centrée sur les enseignements techniques, et dix à douze semaines de stage souvent dans des établissements prestigieux, elles permettent à nos étudiants de se spécialiser, de compléter une formation plus généraliste et de faire une belle carrière." Avec l'approbation de Jean-Louis Ivaldi, chef de travaux, elle ajoute : "la force des mentions repose aussi sur l'implication des professionnels, la mobilisation sans faille de nos enseignants, le petit nombre d'élèves – entre 10 et 15 - la mixité des publics issus de formations différentes - CAP, ex-BEP, baccalauréat professionnel ou technologique, voire de BTS." Ils insistent : "Les MC constituent des viviers pour les concours. En se classant aux premières places, nos élèves contribuent au rayonnement du lycée. Elles tirent l'établissement vers le haut."
Yvon Garry et Denis Royère, responsables de la MC sommellerie, précisent : "Nous recrutons les élèves sur leur motivation et nous leur apportons tout le reste : stages de vinification et de sommellerie dans les grands établissements - Ritz, George V, Tour d'Argent, Crillon, Sofitel Vieux Port… -, production de leur cuvée chaque année, salle de dégustation, voyage d'une semaine dans les grands vignobles, préparation systématique aux concours…" Quelques exemples, parmi d'autres : Ludovic Shafer a remporté le trophée Mumm en 2012 ; Fabien Guillot, meilleur élève sommelier de France en 1999, a été chef sommelier au Hilton de Bora-Bora, Bruno Ducan, rentré à la Tour d'argent comme commis sommelier, est devenu sommelier sept mois après et occupe aujourd'hui le poste de chef sommelier à l'Épuisette chez Guillaume Sourrieu.
Facteur de réussite
Pour Henri Di Nola, responsable de la MC employé barman et président de l'Association des professeurs enseignants en bar, "la MC est un vrai passeport pour l'emploi". Parallèlement, les succès aux concours nationaux lui ont permis de se hisser dans le top 5 des meilleures formations : Aurélie Pezet et Eric Pellat, 1er et 2e prix Malongo 2001/2011, Samantha Icard, Shaker d'or 2008/2009 des écoles hôtelières… Autre recette du succès, les stages : d'une durée de douze semaines, ceux-ci se déroulent dans des établissements comme le Fouquet's, le Ritz, le Carlton, le Normandie de Deauville, le Lutetia, le Negresco, le Sofitel Vieux Port…
Alain Ivaldi, professeur principal de la MC employé traiteur, égrène avec fierté les chiffres de la réussite : "Avec ses 600 heures de cours de cuisine et pâtisserie, ses 10 semaines de stage, généralement chez les traiteurs de la région, la participation des élèves aux grands événements, la mention est très professionnalisante. On compte 100 % d'embauche à la fin des études."
En mention cuisinier en desserts de restaurant, Jean-Paul Droin, professeur principal, affiche sa satisfaction : "À l'issue de leur cursus et de leurs stages, nos étudiants sont tous embauchés comme pâtissiers ou cuisiniers."
Quant à la MC accueil, réception, créée au CFA à la rentrée 2011, elle est la seule à donner un niveau IV, "à cause de son bon niveau de langue et de la connaissance de l'outil informatique", explique Frédéric Guigliano, professeur principal.
Facteur de réussite au lycée hôtelier, les 5 mentions complémentaires constituent une bonne réponse de l'enseignement professionnel aux attentes de la profession.
Yvon Garry et Denis Royère, responsables de la MC sommellerie, précisent : "Nous recrutons les élèves sur leur motivation et nous leur apportons tout le reste : stages de vinification et de sommellerie dans les grands établissements - Ritz, George V, Tour d'Argent, Crillon, Sofitel Vieux Port… -, production de leur cuvée chaque année, salle de dégustation, voyage d'une semaine dans les grands vignobles, préparation systématique aux concours…" Quelques exemples, parmi d'autres : Ludovic Shafer a remporté le trophée Mumm en 2012 ; Fabien Guillot, meilleur élève sommelier de France en 1999, a été chef sommelier au Hilton de Bora-Bora, Bruno Ducan, rentré à la Tour d'argent comme commis sommelier, est devenu sommelier sept mois après et occupe aujourd'hui le poste de chef sommelier à l'Épuisette chez Guillaume Sourrieu.
Facteur de réussite
Pour Henri Di Nola, responsable de la MC employé barman et président de l'Association des professeurs enseignants en bar, "la MC est un vrai passeport pour l'emploi". Parallèlement, les succès aux concours nationaux lui ont permis de se hisser dans le top 5 des meilleures formations : Aurélie Pezet et Eric Pellat, 1er et 2e prix Malongo 2001/2011, Samantha Icard, Shaker d'or 2008/2009 des écoles hôtelières… Autre recette du succès, les stages : d'une durée de douze semaines, ceux-ci se déroulent dans des établissements comme le Fouquet's, le Ritz, le Carlton, le Normandie de Deauville, le Lutetia, le Negresco, le Sofitel Vieux Port…
Alain Ivaldi, professeur principal de la MC employé traiteur, égrène avec fierté les chiffres de la réussite : "Avec ses 600 heures de cours de cuisine et pâtisserie, ses 10 semaines de stage, généralement chez les traiteurs de la région, la participation des élèves aux grands événements, la mention est très professionnalisante. On compte 100 % d'embauche à la fin des études."
En mention cuisinier en desserts de restaurant, Jean-Paul Droin, professeur principal, affiche sa satisfaction : "À l'issue de leur cursus et de leurs stages, nos étudiants sont tous embauchés comme pâtissiers ou cuisiniers."
Quant à la MC accueil, réception, créée au CFA à la rentrée 2011, elle est la seule à donner un niveau IV, "à cause de son bon niveau de langue et de la connaissance de l'outil informatique", explique Frédéric Guigliano, professeur principal.
Facteur de réussite au lycée hôtelier, les 5 mentions complémentaires constituent une bonne réponse de l'enseignement professionnel aux attentes de la profession.
Publié par Dominique Fonseque-Nathan
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