Activité : restaurants traditionnels | |||
Chiffre d'affaires |
Rapport moyen |
Tendance générale du marché | |
Prix / CA HT |
Prix/EBE (Coeff) | ||
CA de 50 000 à 149 000 € | 71 % | 2,71 | |
CA de 150 000 € et 270 000 € |
76 % |
3,12 | |
CA de 271 000 € à 1 6000 000 € |
70 % |
3,57 | |
Éric Roussel, animateur régional Michel Simond |
"Le marché de la transaction de restaurants traditionnels se maintient en volume. Les valorisations restent stables pour les établissements ayant un chiffre d'affaires compris entre 50 000 € et 270 000 €. Pour les établissements ayant un chiffre d'affaires compris entre 300 000 € et 1,6 M€, nous constatons une baisse du ratio 'prix de vente/EBE' par rapport aux ventes de 2010." |
Activité : restaurants gastronomiques | |||
Chiffre d'affaires |
Rapport moyen |
Tendance générale du marché | |
Prix / CA HT |
Prix/EBE (Coeff) | ||
CA de 130 000 à 800 000 € | Compris entre 71 % et 58 % |
Entre 1,7 et 3 |
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Stéphane Corre, animateur régional Michel Simond |
"Concernant les ventes de restaurants dits gastronomiques, nous constatons que les ratios moyens de valorisation sont en dessous des ratios observés dans la restauration traditionnelle. Ceci s'explique par la particularité des établissements gastronomiques puisque, dans la majorité des cas, le propriétaire-cédant est le chef de cuisine. La notoriété de l'établissement étant étroitement liée à la personnalité du chef de cuisine, il est plus compliqué de céder le fonds dans de bonnes conditions. Le prix de cession doit donc être cohérent, et en dessous des valeurs moyennes constatées dans la restauration, pour que les banques acceptent de financer ce type de reprise." |