SLH aimerait être davantage connue en France où elle ne possède que 50 hôtels alors que les clients français n'arrivent qu'en 8e position dans les hôtels. Son parc hôtelier comprend au total 531 hôtels, 19 nouveaux adhérents depuis le début de l'année, dont deux dans le Sud de la France (le Domaine de Manville, le Château de Bagnols) et un à Paris, l'hôtel du Petit Moulin. Estimant avoir un déficit de notoriété face aux "grands réseaux français", la chaîne souhaite mettre en avant pour le public français ses propres atouts pour se développer.
Le Club SLH est par exemple sa première carte maîtresse. Il regroupe aujourd'hui 190 000 membres dont 6 000 en France, et permet à ses membres de bénéficier d'un certain nombre d'avantages négociés avec de grandes marques comme les réductions sur les locations de voitures de marques allemandes en 2013. Mais, ils peuvent surtout avoir droit à une nuit gratuite après cinq nuits passées dans un hôtel du réseau.
Un chiffre d'affaires en hausse de + 11 %
L'activité dans le réseau est en progression, avec des résultats globalement positifs : + 25 % de visites sur le site SLH.com en 2012, + 23 millions de pages vues en 2012, + 8 % de nuitées en plus pour tous les hôtels, et un chiffre d'affaires en hausse de + 11 %, même si l'année 2012 reste toujours l'année record. L'année 2014 devrait être consacrée à davantage de communication auprès de la presse française afin de mettre en avant les spécificités du réseau : une expérience gourmet, par exemple, a été lancée en 2012 et met en valeur des expériences gastronomiques ou oenologiques autour d'un établissement (visites de vignes, de sites culturels…).
Enfin, SLH se veut également à la pointe de la modernité. Le réseau a abandonné le format guide papier pour se consacrer aux outils numériques, avec un site web rapide et simple et une application iPhone SLH déjà téléchargée par plus de 55 000 utilisateurs. Le réseau s'appuie également beaucoup sur les médias sociaux, avec une page Facebook qui fonctionne avec 75 000 fans, un compte Twitter, et des pages sur YouTube. SLH, la petite chaîne qui se réinvente constamment, comme la définit si bien Paul Kerr, président et créateur de Hill Goodridge & Associates Ltd (HGA), la société qui assure depuis 1992 la gestion de la marque Small Luxury Hotels of the World.
Le Club SLH est par exemple sa première carte maîtresse. Il regroupe aujourd'hui 190 000 membres dont 6 000 en France, et permet à ses membres de bénéficier d'un certain nombre d'avantages négociés avec de grandes marques comme les réductions sur les locations de voitures de marques allemandes en 2013. Mais, ils peuvent surtout avoir droit à une nuit gratuite après cinq nuits passées dans un hôtel du réseau.
Un chiffre d'affaires en hausse de + 11 %
L'activité dans le réseau est en progression, avec des résultats globalement positifs : + 25 % de visites sur le site SLH.com en 2012, + 23 millions de pages vues en 2012, + 8 % de nuitées en plus pour tous les hôtels, et un chiffre d'affaires en hausse de + 11 %, même si l'année 2012 reste toujours l'année record. L'année 2014 devrait être consacrée à davantage de communication auprès de la presse française afin de mettre en avant les spécificités du réseau : une expérience gourmet, par exemple, a été lancée en 2012 et met en valeur des expériences gastronomiques ou oenologiques autour d'un établissement (visites de vignes, de sites culturels…).
Enfin, SLH se veut également à la pointe de la modernité. Le réseau a abandonné le format guide papier pour se consacrer aux outils numériques, avec un site web rapide et simple et une application iPhone SLH déjà téléchargée par plus de 55 000 utilisateurs. Le réseau s'appuie également beaucoup sur les médias sociaux, avec une page Facebook qui fonctionne avec 75 000 fans, un compte Twitter, et des pages sur YouTube. SLH, la petite chaîne qui se réinvente constamment, comme la définit si bien Paul Kerr, président et créateur de Hill Goodridge & Associates Ltd (HGA), la société qui assure depuis 1992 la gestion de la marque Small Luxury Hotels of the World.
Publié par X. S.
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