Depuis son lancement en juillet 2012, Turenne Hôtellerie, la division hôtelière de Turenne Capital, a su attirer de grands investisseurs, institutionnels et privés. Désormais détenteur d'un parc hôtelier de 17 hôtels et 1 400 chambres et bientôt d'un nouvel établissement de 50 chambres situé dans le centre de Lyon, le fonds est désormais un acteur qui compte dans le paysage hôtelier. L'objectif - fixé à 2 000 chambres à fin 2015 - est donc en bonne voie. Les investissements réalisés visent l'équilibre entre des projets spécifiquement corporate, situés dans des zones d'affaires, et ceux de centre-ville.
Un important programme de rénovation a été programmé cette année pour les dix principaux établissements qui ont intégré le portefeuille depuis 2012, soit une enveloppe d'environ 30 M€.
Turenne Capital souhaite accentuer les opérations d'accompagnement menées auprès des hôteliers indépendants en recherche d'apport de fonds propres pour des montants entre 500 000 € et 2 500 000 €, afin de concrétiser leurs projets, qu'il s'agisse de rachat, d'extension ou de modernisation.
Des investisseurs qui recherchent une expertise
Turenne Capital renouvelle donc son opération de séduction vis-à-vis des hôteliers en sélectionnant d'ici à la fin du mois de mai plusieurs projets d'accompagnement en capital d'hôteliers indépendants situés dans plusieurs grandes villes françaises. Benjamin Altaras, directeur hôtellerie de Turenne Capital, souligne : "Les hôteliers qui viennent nous voir recherchent à la fois l'expertise de notre équipe hôtelière dans l'analyse de leurs projets et, bien sûr, l'apport de fonds propres. Ces deux aspects permettent bien souvent aux hôteliers de renforcer la crédibilité de leur projet vis-à-vis des banquiers."
Pour les porteurs de projets, recourir à une solution de financement en apport de fonds propres peut représenter une excellente solution. Ils y trouvent les liquidités nécessaires pour leur développement. Pour les investisseurs assujettis à l'ISF, il s'agit d'un excellent placement, dans des projets qu'ils comprennent.
Publié par Catherine AVIGNON