du 22 décembre 2005 |
REVUE DE PRESSE |
DANS LE FIGARO
Park Hotel : le
phare de Grenoble
"Ici, au Park Hôtel, je
me suis cru chez moi. Et chez moi, c'est très
bien", écrivait, en 1964, Jacqueline Maillan sur le livre d'or de l'établissement.
Ouvert en 1962, le Park Hôtel a 43 ans. Le bel âge
en pleine forme, grâce aux
liftings qui l'ont transformé, rajeuni, amélioré au fil des années. (
)
"Donnez-moi le luxe, je me passerai du nécessaire", écrivait Oscar
Wilde. Le luxe, il est là, dès la porte franchie. Les salons, aux canapés et fauteuils
profonds, entourent la réception. Au fond, le bar s'ouvre sur les clients venus faire une
halte assis sur des tabourets, et sur le feu qui crépite dans la cheminée du restaurant.
Partout des meubles de style ancien, des glaces aux cadres dorés, des objets d'art, des
bouquets futuristes. Dans les chambres, un confort inouï pour les voyageurs
professionnels : fax, internet haut débit, vastes meubles-bureaux et fauteuils pour les
visiteurs, 20 chaînes TV. Les lits mesurent 2 x 2 mètres, les salles de bains disposent
d'une baignoire à jets jacuzzi et d'une douche dernier cri. Le soir, on dépose ses
chaussures, cirées le lendemain
matin.
Dans ce temple du confort, on peut déjeuner pour 16
E, plat différent chaque jour et dessert : Risotto aux cèpes, Koulibiac de saumon,
Travers de porc sauce barbecue, pot-au-feu, morue lyonnaise. Une entrée spéciale permet
aux clients du restaurant d'éviter le hall de l'hôtel. Trois menus et une carte où le
produit l'emporte sur la complication : Huîtres Gillardeau, Omble chevalier meunière,
Salade de homard aux agrumes, Poêlée de légumes du moment, côte de veau, Tournedos
charolais aux morilles, Risotto aux truffes, Gratin de macaronis à la lyonnaise,
Chaud-froid de pain d'épices et crème caramel, Profiteroles dauphinoises, etc.
Derrière cette réussite, un homme : Henri Ducret. Figure de la région, vice-président
de la chambre de commerce Rhône-Alpes, infatigable président du comité de tourisme,
organisateur d'incroyables voyages de promotion dans les capitales du monde. Il a bâti
l'hôtel, y a réussi, continue à l'animer £ et à l'améliorer. Une fabuleuse
énergie
"
Maurice Beaudoin
DANS MIDI-LIBRE
"La
pression monte avec l'ouverture qui arrive"
Votre restaurant est sorti de
terre en 3 mois. À quelques jours de l'ouverture, quel est votre sentiment ? Philippe
Blondeau, directeur du McDonald's de Mende : "La pression est énorme. Nous sommes
à 8 jours de l'ouverture prévue le 20 décembre, et là, j'avoue que depuis 2 à 3
semaines, tout s'accélère." Qu'est-ce qui vous a conduit en Lozère ? "Ce
n'est pas un choix au départ. Je ne l'avais pas demandé. Mais après une année de formation,
il n'y avait rien de disponible dans l'ouest de la France. Quand la direction générale
m'a proposé ce département, nous en avons d'abord discuté en famille. Cette étape
franchie, c'est l'entrepreneur qui est entré en
scène. À partir de là, il y avait un beau challenge à relever.
Le dernier département de la France continentale
sans McDo ! J'ai tout de suite senti qu'il y avait un potentiel énorme. Que tout était
à faire. En plus, nous allons répondre à une véritable demande. Mende et la Lozère
méritaient ce restaurant."
Jean-Pierre Amarger
DANS LES ECHOS
Voyage-sncf.com
au secours de l'hôtellerie indépendante
"(
) La première
agence en ligne, voyages-sncf.com (VSC), qui vient de franchir le milliard d'euros de
volume d'affaires élargit son offre hôtelière sur la toile. Elle multiplie le
référencement des établissements indépendants hexagonaux grâce à un accord qu'elle a
signé avec Expédia, le géant américain du voyage. "Grâce à cette nouvelle
stratégie, le nombre d'hôtels 2, 3 et 4 étoiles référencés sur notre site a été
multiplié par cinq entre 2004 et 2005, explique Guillaume Pepy, président de VSC et
directeur général de la SNCF. Le site propose 1 100 établissements. (
)"
Eric de la Chesnais
"On aime tout ce qu'il propose ces derniers temps, en version
rustico-sophistiquée, liant les destins du Sud à ceux de l'Alsace et de la
Lorraine.(
) À quand la consécration des 2 étoiles pour ce drôle de soldat
gourmand."
Dans Les Dernières nouvelles
d'Alsace : Le Soldat de l'An II à Phalsbourg
(57).
"Pour cet ancien du Negresco, la cuisine du Sud assez stylée, les épices
inventives, l'alchimie des lieux n'ont pas de secret."
Dans Nice Matin : L'Effeuillant à Nice (06).
"Une cuisine traditionnelle : quenelle de brochet, poulet aux morilles,
filet de saint-pierre
Incontournable !"
Dans Le Progrès : Le Français à
Bourg-en-Bresse (01). zzz22v
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L'Hôtellerie Restauration n° 2956 Hebdo 22 décembre 2005 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE