PHILIPPE VILLALON
(Calvados)
et Dany Deleval (Nord) sont candidats à leur propre succession (président
et vice-présidente).
Leur profession de foi :
"Défendre les intérêts des indépendants
et les petites entreprises qui regroupent 90 % du secteur afin de préserver
une unité de l'Umih équilibrée."
Chantiers :
"La reconnaissance de nos métiers par la continuité
des dossiers : rénovation des CAP-Développement des CQP-Permis d'exploitation,
inciter le statut conjoint collaborateur, paracommercialisme, tabac : choix pour
les petits, TVA : demander aux présidentiables de s'engager sur une décision
franco française, titre Maître restaurateur, veille sur les risques
alimentaires et OGM, participation aux négociations sociales. Formation : optimiser
son entreprise avec Umih-Formation (trésorerie, achats, marges brutes, CA,
management, environnementales, mises aux normes, sommellerie), formation dans l'entreprise.
Perspectives et informations : favoriser la fidélité de notre personnel
(crèches à horaires décalées, ticket universel Cesu, travail
à temps partiel), informer des expériences réussies de nos restaurants
et de nos compétences en sommellerie, évolution de nos statuts FNRF, présence
de la FNRF dans les commissions nationales de l'Umih." |
FRANCIS
ATTRAZIC (Lozère)
et Roger Sengel (Bas-Rhin) sont également candidats à
la présidence et à la vice-présidence de la FNRF.
Leur profession de foi :
"Redonner ses lettres de noblesse à la FNRF."
Chantiers :
"Actionner la reconnaissance professionnelle, en s'appuyant
sur la formation et l'image. Le titre de Maître restaurateur doit être
conditionné à des critères de qualité et une formation éprouvée.
Le permis de restaurer est tout autant indispensable à notre profession.
La FNRF doit peser en matière de formation initiale à la 17e
CPC, innover en outils de formation continue, pour la rendre accessible aux petites
structures. Nous réclamons la baisse de la TVA bien sûr ainsi qu'une
baisse générale des charges sociales au lieu des contrats aidés si
complexes. Donner une image moderne de la profession tout en étant ferme et
sans allégeance vis-à-vis des gouvernants. La défense des intérêts
des professionnels est plus efficace si elle s'accompagne de compétence, de
dialogue, de connaissance des dossiers et de l'expérience du métier de
cuisinier et de chef d'entreprise." |