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Vous reprendrez bien un peu de soleil ?

Café - Bar - Discothèque - jeudi 23 septembre 2010 12:42
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75 - Paris C’est au début de l’été que Maxime Gues et Jeremy Gatelet ont ouvert leur second bar à tapas, Max Y Jeremy. Pour ces amoureux du pays basque il était primordial de recréer une ambiance festive et ensoleillée.



Maxime Gues et Jeremy Gatelet ne sont pas des novices en matière de restauration. C’est en créant Malys, une centrale d’achat destinée aux restaurateurs, en 2005, que forts de leur expérience, les deux amis décident en 2008 d’ouvrir leur premier bar à tapas.

Depuis quelques temps déjà, le bar à tapas est devenu à la mode, cependant, il convient d’animer correctement son établissement afin créer une ambiance chaleureuse. Tout passe en premier lieu par le décor : dès la porte franchie, une ambiance typique du Sud vous envahit. Le premier établissement, situé dans le quartier parisien de Montorgueil, ne disposait pas d’un espace suffisant pour permettre aux deux amis de développer tous les concepts qu’ils envisageaient. Ainsi en 2010, ils ont ouvert un 2e établissement, nettement moins exigu,  leur permettant d’accueillir près de 140 personnes. En sous-sol, une salle accueille tous les mardis soirs un maître de salsa, qui propose des cours de danse aux clients. “Il est important pour nous d’organiser des soirées à thèmes, ainsi la clientèle est toujours surprise”,  confie Jeremy Gatelet. 

 

Des plats soigneusement sélectionnés

Chez Max Y Jeremy, la cuisine est basque, et va du jambon Bellota aux tapas haut de gamme, pour un ticket moyen de 35 à 40 €. Les plats sont accompagnés de vins sud-américains, parfois difficiles à trouver, Maxime et Jeremy gardent leur petit secret concernant leurs fournisseurs. 

Nous utilisons énormément les réseaux sociaux, notamment Facebook , c’est une excellente publicité pour un coût quasi-nul, le bouche à oreille fonctionne très rapidement”, assure Jeremy Gatelet.

Il suffit de passer un soir devant un des deux établissements pour constater le remarquable taux de remplissage. “La réservation est obligatoire sinon vous n’y trouverez guère de place. Notre souci est parfois le comportement de la clientèle pas toujours très calme, ce qui inévitablement entraîne des contentieux de voisinage.  Pour pallier à ce problème, rue Saint Sauveur nous avons embauché un videur pour faire respecter la tranquillité des voisins, depuis les choses se passent mieux”, réagit à son tour Maxime Gues, car “c’est important pour notre image”.

Pour l’avenir, les deux comparses ont bien des projets, mais plutôt à l’étranger, pourquoi pas New York ou Londres ? 
A. J. A.

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