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du 15 juillet 2004
REVUE DE PRESSE

Le choix de Gilles Pudlowski dans Le Point : La Terrasse - Christian Morisset au Juana à Juan-les-Pins (06) :
“Un joli moment à la Terrasse du Juana, où un vent de rigueur gourmande souffle avec netteté sur une côte tourmentée par la mode.”

< Dans Que Choisir n°417 (juillet-août 2004)
Test comparatif des guides gastro
La revue Que Choisir a ‘testé’ les guides gastronomiques. Pour chacun, elle donne le nombre d’établissements cités, le nombre d’enquêteurs, la fréquence des visites, et un commentaire. Un test comparatif qui reproduit les réponses données par les responsables des guides. Intéressant…
« Fréquence des visites :
Michelin : en moyenne 18 mois. Plusieurs fois dans l’année pour les 2 et 3 étoiles, jusqu’à 2 ans entre 2 visites pour les autres.
GaultMillau : 2 à 3 par an pour les 100 plus grandes tables. Pour les autres, une fois par an, soit par un enquêteur (2 000 tables), soit par un des 100 correspondants bénévoles.
Bottin Gourmand : tous les ans pour les 3 et 4 étoiles. Tous les 3 ans pour les autres.
Guide du Routard : de tous les ans (changement de chef, plaintes des lecteurs…) à tous les 3 ans.
Le Petit Futé : entre 1 an (nouveautés, plaintes) et 3 ans.
Pudlo France : de 3 fois par an à tous les 3 ans, selon changements de chefs, de cartes, etc.
Champérard : tous les ans pour les 2 000 établissements qui ont un texte, jusqu’à 5 ans pour les autres. »
 

< Dans Le Bien Public
Cambriolages en série
Quatre cambriolages en 16 mois… Un beau palmarès dont Marie-Hélène Poissonnier se serait bien passé. La propriétaire de l’hôtel-restaurant-bar-tabac de la Poste à Villaines-en-Duesmois, en Côte-d’Or, raconte le dernier vol.
« […] “J’étais derrière mon guichet à journaux quand 8 personnes (2 hommes, 5 femmes et un enfant de 2-3 ans), a priori d’origine des pays de l’Est, sont entrées dans mon commerce”, se souvient la propriétaire, installée à Villaines depuis 14 ans. “Ils ont commandé à boire. J’étais désemparée car tout le monde me demandait quelque chose en même temps. Des cigarettes, des friandises… Je sentais qu’ils cherchaient à m’occuper. L’une des femmes de la bande a même été surprise dans mon bureau par une amie de passage ce jour-là. Et puis ils sont partis en me payant. Et moi, j’avais la certitude qu’il s’était passé quelque chose. Tout le monde est monté dans une voiture de marque Alfa Romeo et de couleur bleue”, raconte encore Marie-Hélène Poissonnier. […] “Quelques jours plus tard, j’ai enfin découvert ce qui m’avait été dérobé cette fois : une médaille qui appartient à mon fils, une bague et deux Napoléon en or.” »

< Dans Les DNA
Strasbourg cherche un sponsor
Les assises du tourisme de Strasbourg ont réuni 200 professionnels, qui ont pu évoquer les faiblesses de la ville, les solutions à y apporter, et réfléchir aux moyens de les financer. Nice ou Strasbourg, tout le monde n’est pas logé à la même enseigne.
« Strasbourg manque-t-elle d’hôtels 4 étoiles et d’hôtels de chaîne du type Marriott, Radisson, pour attirer les congrès internationaux ? C’est davantage un problème de commercialisation et de communication, rétorquent les hôteliers. Pour attirer le tourisme d’affaires, il faut en fait pouvoir répondre à tous les besoins (hôtels, salles de réunion, restauration, loisirs, déplacements), proposer un guichet unique. Ce qu’on appelle en jargon professionnel un ‘Convention Bureau’. “La communication est très importante”, a souligné Bernard Morel, directeur de l’office de tourisme et des congrès de Nice. Sa ville accueille 4 millions de visiteurs par an, dont 10 % de touristes d’affaires qui assurent 30 % des recettes, soit 500 millions d’euros.
“Nous avions déjà tenté de créer un tel bureau, mais le nerf de la guerre, ce sont les moyens financiers”, est intervenu Gilbert Hadey, qui dirige une agence de voyages. Bernard Morel en convient. Celui de Nice emploie 62 personnes et bénéficie d’un budget de 10 millions d’euros dont 55 % financés par la ville de Nice. “Des moyens financiers et humains qui font rêver”, reconnaît Claude Feurer, président du directoire de Strasbourg Expo Congrès. La municipalité strasbourgeoise est-elle prête à faire un tel effort ? […] »

Le choix de Philippe Couderc dans Le Nouvel Observateur : Le Georges à Paris :
“Le Georges s’annonce ‘abstraction surface air’. On y mange aussi, mieux qu’on ne le dit. Et quelle ambiance !”.

< Dans Ouest France
Saint-Malo : le vent en poupe ?

Qui fait la pluie et le beau temps ?
« […] “La saison a du mal à s’équilibrer et fonctionne par à-coups”, remarque Serge Lucas, président du Syndicat des hôteliers, restaurateurs et limonadiers de la Côte d’Emeraude. Mais il n’en reste pas moins optimiste. “La région a le vent en poupe, notamment à cause de la moins bonne image que véhicule la Côte d’Azur et de l’effet canicule.” […] La possibilité de réserver par Internet et l’existence d’infrastructures nouvelles, comme l’autoroute des estuaires, permet à la clientèle étrangère de visiter les côtes bretonnes plus facilement. Ils ne s’en privent pas, car même si les Allemands et les Américains semblent bouder nos rivages, on assiste à un retour en force des Anglais et, nouvelle tendance, à la venue de nombreux Espagnols, certainement en quête de fraîcheur. Fabrice Koch, directeur du Grand Hôtel de Dinard, modère son optimisme : “Le meilleur directeur marketing en hôtellerie, c’est le bon Dieu ! La météo tient la première place dans les choix des vacanciers.” »  

< Dans Midi-Libre
Le spleen des hôteliers nîmois

« “Ce sont les attentats du 11 septembre 2001 qui ont tout chamboulé ! Depuis, les affaires ‘touristiques’ n’ont pas repris.” A la tête de Acotel à Nîmes, M. Abgrall témoigne du spleen des hôteliers nîmois. “Les Américains boudent, les Italiens aussi… Nous avons perdu des touristes qui avaient un fort pouvoir d’achat. Ceux qui nous arrivent sont beaucoup plus regardants.” Et d’ajouter, de concert avec ses confrères membres de Gard Accueil, que “le fossé se creuse entre des touristes aisés, généralement actifs, qui boudent de plus en plus la ville, et d’autres, qui disposent en général de plus de temps mais ne savent pas quoi en faire par manque de moyens.” Du coup, les taux de fréquentation (Acotel tourne à 40 %) n’ont qu’un lointain rapport avec les bénéfices supposés et attendus : “On nous demande de tirer les prix au maximum. Il n’est pas rare, pour l’hébergement d’un groupe, de négocier à moins 30 % du tarif habituel. Bientôt, nous travaillerons à perte.” […] » zzz22v zzz36v

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L'Hôtellerie Restauration n° 2881 Hebdo 15 juillet 2004 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE

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