du 07 octobre 2004 |
COURRIER DES LECTEURS |
J'ai entendu parler d'un nouveau sucre en forme de berlingot. Savez-vous qui le propose ? (Question posée sur le ForumTech du site kifaikoi.com)
Une forme innovante et originale pour étonner vos clients. |
Réponse
de Kifaikoi :
C'est Saint Louis Sucre qui vient de mettre au point ce
nouveau conditionnement. Ces berlingots se caractérisent par leur esthétique haut de
gamme. Leur forme, innovante et originale, satisfera plus particulièrement les
restaurants à thème, toujours en quête de sensationnel pour étonner leurs clients.
Le berlingot contient 5 g de sucre blanc en poudre et il est conditionné par 500 doses
dans une boîte distributrice (2,5 kg). Ludique et festif, le berlingot Saint Louis existe
en 3 couleurs, mais peut bien entendu être personnalisé. Ce berlingot est actuellement
en phase de lancement, et vous ne le trouverez peut-être pas encore chez votre
distributeur habituel. Mais ça ne devrait pas tarder. Renseignez-vous auprès du
département Saint Louis Sucre Restauration, dont l'équipe commerciale a une longue
expérience de la restauration hors domicile et des exigences qui la caractérisent. Vous
pouvez les contacter aux coordonnées suivantes :
Saint
Louis Sucre Restauration
23/25 avenue FD Roosevelt
75008 Paris
Tél. : 01 40 76 73 82
www.saintlouis-sucre.com
Rappelons que Saint Louis est le créateur de la bûchette de sucre qui aujourd'hui est devenue un standard apprécié. La gamme restauration comprend aussi bien les sucres classiques (enveloppés, bûchettes, dosettes ) que les sucres pâtissiers 'spéciaux' (sucre glace, casson ) ou les sucres pâtissiers 'de caractère' (caramel, vergeoise, cassonade ). Une gamme d'édulcorants non caloriques, Carte Blanche, est également disponible. zzz44c
Où se tient le salon Tea Expo ?J'ai déjà un restaurant et j'envisage d'ouvrir un salon de thé. Dans cette optique, je voudrais me rendre à Tea Expo. Pouvez-vous m'aider ? (B. B. de Paimpol) Pour entrer au
5e salon international du thé, Tea Expo, il vous suffit de vous rendre au parc des
expositions de la porte de Versailles à Paris, les 20, 21 ou 22 novembre 2004, lieu et
dates de la tenue de cette manifestation. N.B. : Sachez que vous pouvez retrouver une liste de salons et de rendez-vous professionnels sur www.lhotellerie-restauration.fr à la rubrique 'Autour de L'Hôtellerie', puis 'Salons Agenda'.zzz12 |
Nous employons le week-end une personne en charge de la réception dans la journée et qui reste d'astreinte la nuit. Durant cette astreinte de 23 heures à 7 heures, une chambre est mise à sa disposition pour dormir. Pouvons-nous, avec l'accord du salarié, maintenir ces plages horaires prolongées ? (J. M. de Toulouse)
Attention
! Pendant ses horaires de nuit, votre salarié n'est pas d'astreinte mais bel est bien en travail effectif.
L'astreinte est une période pendant laquelle le salarié, sans être à la disposition
permanente et immédiate de l'employeur, a l'obligation de demeurer à son domicile ou à
proximité afin d'être en mesure d'intervenir pour effectuer un travail au service de
l'entreprise (par exemple, pour accueillir ou remettre des clés à un client pendant la
nuit). Pour qu'il y ait astreinte, il faut donc que le salarié soit tenu de rester à son
domicile ou à proximité.
A partir du moment où il est tenu de se déplacer dans l'entreprise pour être prêt à
intervenir, sa présence dans l'établissement est considérée comme du travail effectif.
Ceci est valable même si, pendant cette période, votre salarié dispose d'une chambre
dans laquelle il peut lire, dormir, regarder la télévision ou vaquer à ses occupations
personnelles.
Dans votre cas, vous demandez à votre
salarié de rester hors de son domicile et dans
l'enceinte de l'entreprise de 23 heures à 7 heures : ces heures de présence sont donc
des heures de travail effectif. Il en résulte que votre salarié ne bénéficie pas du
repos de 11 heures minimum devant séparer chaque journée de travail.
En outre, vous dépassez dans ce cas la limite maximale quotidienne de travail,
actuellement fixée à 11 h 30 (sauf pour les cuisiniers et les veilleurs de nuit).
Votre organisation de travail n'est donc pas conforme à la loi. Pour vous mettre en
conformité, vous devez soit embaucher une autre personne pour assurer le service de nuit,
soit proposer à votre salarié actuel un logement de fonction sur place.
Pour en savoir plus sur l'astreinte, vous pouvez consulter sur www.lhotellerie-restauration.fr le Sujet Interactif intitulé 'Pratique du droit du
travail en CHR : les conditions de travail au jour le jour'. zzz60r
Nous envisageons de fermer 6 semaines cet hiver pour travaux d'intérieur dans notre hôtel-restaurant. Nos 8 salariés ont tous pris leurs congés payés et n'en auront pas assez cumulé d'ici à janvier. Peut-on les mettre en chômage partiel ? Si oui, à qui faut-il s'adresser ? (Lor sur le Forum de L'Hôtellerie)
En
cas de fermeture temporaire de l'entreprise pour travaux de modernisation des
installations et des bâtiments de l'entreprise,
le recours au chômage partiel est possible mais limité à 100 heures par salarié et par
an (art.
R. 351-50 du Code du travail et arrêté du 16 avril 2003 publié au JO n° 93 du 19 avril 2003). Au-delà de cette limite, les heures non
travaillées pendant la fermeture de
l'établissement seront entièrement à votre charge.
Quant aux congés payés de vos salariés, c'est bien parce
que vous avez soldé leurs congés payés que vous pouvez demander à bénéficier du
chômage partiel. En effet, dans l'esprit de la loi, le chômage partiel doit être
l'ultime moyen de payer un minimum les salariés pendant une fermeture exceptionnelle et
temporaire de l'entreprise.
Quand l'administration examinera votre
demande de chômage partiel, elle vérifiera que vos salariés n'ont plus de congés
payés à prendre. Dans tous les cas, c'est à la direction départementale du travail que
vous devez faire votre demande de chômage partiel, au moyen du formulaire Cerfa n°
61-2220, disponible auprès de la direction départementale du travail de votre
département, ou bien sur le site www.cerfa.gouv.fr zzz60o
Après avoir lu votre papier sur le porte-avions Charles de Gaulle, je voudrais savoir comment postuler sur ce bateau. (R. P. de Paris)
Il faut savoir
que les cuisiniers et les maîtres d'hôtel employés sur le porte-avions Charles de
Gaulle sont pour la plupart titulaires d'un diplôme de la sphère de restauration (CAP,
BEP, bac pro, BTH ou BTS restauration). Mais ce sont des militaires qui reçoivent une
formation militaire et professionnelle à l'école des Fourriers de Querqueville, école
de l'administration et de la restauration située à côté de Cherbourg.
En revanche, les commis chargés de
l'approvisionnement des denrées et de leur stockage et de la comptabilité sont
essentiellement issus d'une filière comptable. Ils reçoivent également une formation de
comptabilité et de gestion adaptée à l'école des
Fourriers.
Si vous êtes intéressé pour postuler sur le
porte-avions Charles de Gaulle, ou un autre bâtiment de l'armée, vous devez contacter le
bureau de carrière de la marine au numéro Azur suivant : 0810 501 501, qui vous donnera
les coordonnées du bureau le plus proche
de votre domicile. zzz68cz
Dans l'un de vos numéros, vous parliez d'une Association que des chefs à domicile venaient de créer. J'aimerais avoir les coordonnées de cette association. Pourriez-vous s'il vous plaît me fournir cette information ? (C. K. par courriel)
Vous devez faire référence à l'article 'Et si vous deveniez chef à domicile, un métier d'avenir ?', paru dans L'Hôtellerie n° 2859 du 12 février 2004 et qui retraçait le parcours de Frédéric Rame, créateur de la première association de chefs à domicile en France, qui compte aujourd'hui une quarantaine de membres, et que vous pouvez contacter aux coordonnées suivantes :
Association
des chefs cuisiniers à domicile
24 av. du Général de Gaulle
34250 Palavas-les-Flots
Tél. : 06 11 32 79 38 - Fax : 04 67 68 28 68
www.chefadom.com
Contact : Frédéric Rame
Rubrique animée par Pascale Carbillet et Tiphaine Beausseron.
Article précédent - Article suivant
Vos commentaires : cliquez sur le Forum de L'Hôtellerie
Rechercher un article : Cliquez ici
L'Hôtellerie n° 2893 Hebdo 07 Octobre 2004 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE