du 16 décembre 2004 |
REVUE DE PRESSE |
DANS
SUD-OUEST
Du foie gras au sirop d'érable
Les
dates sont calées (du 22 au 25 avril), le lieu est retenu (salle Anatole-France) : il
reste à convaincre des exposants de venir participer au premier Printemps de la
gastronomie francophone. Les responsables du comité de jumelage Bergerac-Repentigny,
autour du président Dominique Rousseau, s'y emploient dès à présent. Ils contactent
des chefs de cuisine, des viticulteurs (de toute la France), des fleuristes, des lycées
hôteliers ou viticoles, des producteurs de spécialités du terroir, des libraires, des
spécialistes des arts de la table et des artisans d'art. Leur but est de réunir une
cinquantaine d'exposants autour du thème de la gastronomie.
Pendant quatre jours, diverses animations seront prévues :
des débats, des leçons et démonstrations (avec un oenologue, un pâtissier, un chef de
cuisine et un fleuriste), des dégustations, etc. [
] Forcément pour cette première
édition, l'invité d'honneur sera le Québec. Des professionnels de là-bas feront le déplacement, et l'on découvrira les produits du
pays (sirop d'érable, gibiers, poissons, fromages
)
"Nous voulons aussi que cette manifestation soit
l'occasion de faire venir des jeunes vers les métiers de la restauration", précise
Philippe Bordes, membre du comité de jumelage, et lui-même restaurateur. D'où la
présence sur le salon des organismes de formation spécialisés, et l'organisation du
concours des meilleurs élèves hôteliers et apprentis.
[
] Si Bergerac-Repentigny se lance dans une telle organisation, c'est aussi pour
réunir des fonds, pour mener à bien son projet autour du handicap. "Nous
souhaitons emmener au Québec, pendant une dizaine de jours à l'automne 2005, dix
handicapés moteurs du Bergeracois", explique Dominique Rousseau. "Le but
est de leur faire découvrir quelle est l'approche du handicap dans ce pays. Ils feront un
dossier au retour, transmis à diverses instances. Peut-être que cela fera un peu
évoluer les choses." [
]
Contact : Philippe Bordes, 05 53 57 50 14
Isabelle Sarran
< "Toute en douceur(s), la wistub La Petite Venise de Christelle et
Arnaud Walter à Colmar."
Dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace : La Petite
Venise à Colmar (68).
DAND
LE TÉLÉGRAMME
Restaurateurs en formation
Trois lundis de suite, six restaurateurs se
retrouvent en formation avec Jean-Luc Coutin au lycée hôtelier La Closerie
[Saint-Quay-Portrieux (22)], dans le but d'obtenir le label 'Les Restaurants du terroir'.
Cette formation est mise en place par M. Vanturelli, organisateur du Greta. "L'objectif
est de promouvoir une cuisine authentique avec des produits du terroir issus d'une
agriculture durable", explique Yves Pérez, à l'origine de ce label [
].
Après la formation, chaque restaurateur aura la visite d'un
critique gastronomique qui accordera ou pas le label pour un an. Actuellement, 44
restaurants bretons ont le label et 120 producteurs. Il existe un guide des restaurants du
terroir édité à 45 000 exemplaires.
< "La Mère Brazier du XXIe siècle. Une cuisinière
modeste, mais sûre de sa destinée, une maison au nom mythique, une ville-balise de la N7
: c'est bien chez Pic, et nulle part ailleurs."
Le choix de Gilles Pudlowski dans Le Point : Pic à
Valence (26).
DANS MIDI-LIBRE
Olivier
Rayan, jeune chef du Vieux Navire, a la cote
Loin de sa ville natale, au coeur du tranquille canton suisse de
Lausanne, le Pescalune Olivier Rayan séduit les critiques gastronomiques. Son
établissement, Au Vieux Navire, à Buchillon, a fait une entrée remarquée au guide GaultMillau
Suisse [
]. Déjà, les inspecteurs du guide Michelin s'invitent à la
table du jeune chef lunellois de 31 ans. "Ils sont venus. Maintenant, j'attends de
connaître les conclusions", dit simplement Olivier Rayan, occupé à des tâches
administratives [
].
Pourquoi a-t-il choisi la Suisse, lui qui a fait ses études
à l'école hôtelière de Saint-Chély-d'Apcher puis à celle de Saint-Jean-du-Gard, avant de faire ses premiers pas à l'hôtel Hilton
de Strasbourg et à Cannes [
] ? "Ici, j'ai vraiment un bien meilleur confort
de vie. Les patrons sont plus agréables qu'en France. Et puis, la formation est plus
poussée. J'ai eu droit à un stage de deux mois avant de créer mon entreprise",
explique Olivier Rayan [
].
Après avoir effectué ses gammes en Suisse, Olivier Rayan
voudrait bien que sa carrière professionnelle rebondisse dans sa région natale [
].
"C'est vraiment très difficile de trouver quelque chose qui corresponde à mes
envies. On me propose certains endroits, mais c'est le plus souvent en zone inondable. Et
puis, lorsque l'on voit les prix, c'est plutôt décourageant", affirme Olivier
Rayan [
].
J. N. zzz22v
< "De ses étapes sur les cinq continents, Philippe Renaudat garde
des recettes aussi variées qu'alléchantes."
Dans La Dépêche du Midi : Les Rives du Plantié au
Temple-sur-Lot (47).
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L'Hôtellerie Restauration n° 2903 Hebdo 16 décembre 2004 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE