La réponse d'Henry fait référence à une jurisprudence de la cour de cassation qui permet à un employeur qui met le repas à disposition d'un salarié de pouvoir lui déduire à la fin du bulletin de paie même si le repas n'a pas été consommé pour des raisons personnelles (comme la ramadan dans cette affaire).
Votre salarié a bien droit à deux repas par jour, repas qu'il préfère consommer chez lui. je vous conseillais donc de lui inscrire deux indemnités compensatrices par jour. Indemnités qui ne seront pas déduites à la fin du bulletin de paie car non consommés. Henry semble préconiser d'inscrire toujours 2 repas par jour et de les mettre en avantages en nature dans le salaire brut et de les déduire à la fin du bulletin de paie comme s'ils avaient été consommé au motif que l'employeur les met à disposition. C'est l'employeur qui choisit de verser une indemnité compensatrice ou de fournir le repas et de verser un avantage en nature (les deux sont du même montant 3,51 €). Si votre salarié préfère des indemnités compensatrices pour rester manger chez lui pourquoi ne pas lui octroyer ? Pour un meilleur climat social.

Je dirais un repas par jour car il n'est présent qu'à un repas par jour dans l'entreprise.

En réponse à Anonyme, vous devez fournir les repas à vos salariés pendant les jours de travail uniquement, donc 22 jours travaillés par 2 repas.

En réponse à Louise l'employeur a l'obligation de nourrir son personnel ou de lui verser une indemnité compensatrice. C'est l'employeur qui choisit entre l'une ou l'autre formule.

Le salarié a droit à deux avantages en nature nourriture s'il est présent aux deux services. Le petit déjeuner ne fait pas partie des repas.