44% des français projettent de se former à de nouvelles compétences :
- Une velléité nettement plus forte chez les actifs des secteurs en difficulté tels que les commerces, l’hébergement, la restauration, ou la culture (56%) et chez les moins de 35 ans (55%).
Les actifs tous secteurs confondus sont également nombreux à anticiper des remous dans leur vie professionnelle en raison de la crise, parmi lesquels :
- Devoir accepter des postes alimentaires (65%)
- Devoir changer temporairement de profession (62%)
- Devoir rester plusieurs mois sans emploi en attendant que des offres pertinentes soient disponibles (44%)
- Changer définitivement de profession (58%)
Seulement 33% sont toutefois prêts à changer de métier ou de poste
Les aspirations des français en cas de changement :
- Une meilleure rémunération (83%)
- Davantage d’autonomie (83%)
- Plus de sens (79%) et de valorisation (76%), deux tendances particulièrement fortes depuis le début de la crise