Dix ans après la création du Pink Flamingo, Marie Ravel et Jamie Young récidivent avec le Floyd's (du nom d'un gangster américain). Ici, tout (ou presque) est grillé, fumé ou rôti au feu de charbon et bois, sur un énorme barbecue Engelbrecht tout spécialement fabriqué à la main à Chicago. Place aux recettes américaines revisitées. Les huîtres, farcies aux épinards flambés au pastis et parmesan, sont rôties. Les cuisses de lapin sont frites à la manière du sud des Etats-Unis et servies sur une gaufre avec du sirop d'érable. La bavette, quant à elle, est marinée à la papaye et accompagnée d'une salsa d'ananas grillé. "Même les feuilles de la salade Caesar sont passées au grill", glisse Marie Ravel.
Mais les deux spécialités de la maison restent les Kansas city barbecue ribs (des côtes de porc fumées au barbecue et leur sauce maison, à 18 €) et la côte de boeuf PrimeRib rôtie (85 € pour deux). "Les barbecue ribs nécessitent quatre heures de cuisson. Chaque jour, nous en préparons une vingtaine. Seuls les premiers clients sont servis", note la restauratrice. Au menu, ni hamburger, ni brunch : "Il y en a déjà beaucoup à Paris. A la place du brunch, on propose le Sunday roast, le rôti du dimanche anglais, revisité au barbecue avec ses légumes grillés".
Cactus et ours empaillé
Depuis son ouverture, le concept fait mouche, et une clientèle quasi-exclusivement masculine ("des foodies parisiens de trente à quarante ans") se presse dans ce nouveau lieu surprenant.
Musique californienne, mobilier chiné, patio et cactus… La décoration signée Hervé Labarre tranche avec celle du bar, installé côté rue, qui marie couleurs sombres, inspiration Art déco, tête d'ours empaillé et jazz. Bref, une ambiance propice à la dégustation de whiskies (une trentaine venant du monde entier) et de cocktails. Le barman Josselin Dewulf propose plusieurs classiques et quelques créations, comme ce 'cocktail dessert' à base d'Irish coffee, mousse de noix de coco et sirop d'orgeat. On accompagnera ces drinks avec les tapas du chef : popcorn à l'huile de truffe, poudre de pistache et pecorino, ou encore des cuisses de grenouille sauce maison.
Mais les deux spécialités de la maison restent les Kansas city barbecue ribs (des côtes de porc fumées au barbecue et leur sauce maison, à 18 €) et la côte de boeuf PrimeRib rôtie (85 € pour deux). "Les barbecue ribs nécessitent quatre heures de cuisson. Chaque jour, nous en préparons une vingtaine. Seuls les premiers clients sont servis", note la restauratrice. Au menu, ni hamburger, ni brunch : "Il y en a déjà beaucoup à Paris. A la place du brunch, on propose le Sunday roast, le rôti du dimanche anglais, revisité au barbecue avec ses légumes grillés".
Cactus et ours empaillé
Depuis son ouverture, le concept fait mouche, et une clientèle quasi-exclusivement masculine ("des foodies parisiens de trente à quarante ans") se presse dans ce nouveau lieu surprenant.
Musique californienne, mobilier chiné, patio et cactus… La décoration signée Hervé Labarre tranche avec celle du bar, installé côté rue, qui marie couleurs sombres, inspiration Art déco, tête d'ours empaillé et jazz. Bref, une ambiance propice à la dégustation de whiskies (une trentaine venant du monde entier) et de cocktails. Le barman Josselin Dewulf propose plusieurs classiques et quelques créations, comme ce 'cocktail dessert' à base d'Irish coffee, mousse de noix de coco et sirop d'orgeat. On accompagnera ces drinks avec les tapas du chef : popcorn à l'huile de truffe, poudre de pistache et pecorino, ou encore des cuisses de grenouille sauce maison.
Publié par V.B
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