Institut supérieur du tourisme, de l'hôtellerie et de
l'alimentation (Isthia) est un institut public rattaché à l'université Toulouse
Jean Jaurès : "C'est important de le rappeler, explique Paul Pichon, directeur
adjoint de l'établissement. Nous formons des étudiants de bac +3 à bac +5 dans
les secteurs du tourisme, de l'hôtellerie et de l'alimentation." Ils
sont appelés à devenir de futurs managers, chefs de projets dans le tourisme et
en restauration collective ou commerciale.
Anciens, professionnels et étudiants se sont retrouvés au centre de congrès Pierre Baudis, à Toulouse (Haute-Garonne), pour fêter les 30 ans de l'Institut, qui dispose aujourd'hui de trois campus à Toulouse, Foix (Ariège) et Kuala Lumpur (Malaisie). Ces rencontres entre professionnels et étudiants ont aussi marqué le coup d'envoi officiel du réseau des anciens de l'Isthia.
Un réseau d'anciens très actif
Jean-Pierre Poulain, sociologue et directeur de l'école, est fier d'afficher le parcours de ses étudiants. Certains sont venus pour présenter leur métier et pour recruter. Maud Rouillon, titulaire d'un master en management et ingénierie de la restauration collective est aujourd'hui responsable de secteur dans une enseigne de restauration d'entreprise : "On recrute en permanence, le restaurant d'entreprise a bien changé, ce n'est plus une cantine. Nos clients sont les mêmes tous les jours, on doit les surprendre et s'adapter deux fois plus vite que dans la restauration commerciale." Elle recherche des responsables de sites, de chefs de projets mais aussi de serveurs. "Les étudiants sont souvent sollicités avant la fin de leurs études, ajoute Paul Pichon, Mais nous les incitons fortement à valider leur cursus."
Romain Guyonnet est aussi un ancien de l'Isthia. Son Métier ? Ouvrir des hôtels pour un voyagiste et faire respecter la charte de la marque. Job de rêve, diront certains... Le groupe recrute des coordinateurs en hôtellerie-restauration, mais aussi des animateurs et des chefs de centre. "Le numérique a révolutionné l'industrie du tourisme, explique Romain Guyonnet, mais les hommes restent aux commandes. Nous avons besoin de professionnels qui sachent rester humbles et qui fassent preuve d'un savoir être exemplaire." Ce n'est pas le chef aveyronnais Michel Bras, président du conseil d'administration de l'Isthia, qui ira le démentir.
Anciens, professionnels et étudiants se sont retrouvés au centre de congrès Pierre Baudis, à Toulouse (Haute-Garonne), pour fêter les 30 ans de l'Institut, qui dispose aujourd'hui de trois campus à Toulouse, Foix (Ariège) et Kuala Lumpur (Malaisie). Ces rencontres entre professionnels et étudiants ont aussi marqué le coup d'envoi officiel du réseau des anciens de l'Isthia.
Un réseau d'anciens très actif
Jean-Pierre Poulain, sociologue et directeur de l'école, est fier d'afficher le parcours de ses étudiants. Certains sont venus pour présenter leur métier et pour recruter. Maud Rouillon, titulaire d'un master en management et ingénierie de la restauration collective est aujourd'hui responsable de secteur dans une enseigne de restauration d'entreprise : "On recrute en permanence, le restaurant d'entreprise a bien changé, ce n'est plus une cantine. Nos clients sont les mêmes tous les jours, on doit les surprendre et s'adapter deux fois plus vite que dans la restauration commerciale." Elle recherche des responsables de sites, de chefs de projets mais aussi de serveurs. "Les étudiants sont souvent sollicités avant la fin de leurs études, ajoute Paul Pichon, Mais nous les incitons fortement à valider leur cursus."
Romain Guyonnet est aussi un ancien de l'Isthia. Son Métier ? Ouvrir des hôtels pour un voyagiste et faire respecter la charte de la marque. Job de rêve, diront certains... Le groupe recrute des coordinateurs en hôtellerie-restauration, mais aussi des animateurs et des chefs de centre. "Le numérique a révolutionné l'industrie du tourisme, explique Romain Guyonnet, mais les hommes restent aux commandes. Nous avons besoin de professionnels qui sachent rester humbles et qui fassent preuve d'un savoir être exemplaire." Ce n'est pas le chef aveyronnais Michel Bras, président du conseil d'administration de l'Isthia, qui ira le démentir.
Publié par Dorisse PRADAL
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