"J'ai sorti des lustres qui dormaient à la cave"
D'où l'impression d'exotisme et de continuité entre la végétation du jardin et les 96 chambres et suites, jusque sur les faïences murales en forme de feuilles des salles de bains. Dans les parties communes, Le Métropole a retrouvé le faste des années folles : la moquette a été enlevée pour redécouvrir les mosaïques originelles au sol, les fresques et les peintures ont été remises au goût du jour, "et j'ai sorti des lustres qui dormaient à la cave pour les électrifier et les remettre à leur place d'origine", ajoute Rozenn Branellec Dumon : "Dans certaines chambres, on a même gardé les cheminées".
Le travail sur la lumière réalisée avec la société Designer est particulièrement remarquable dans la cage d'escalier, où un luminaire suspendu descend les cinq étages jusqu'à l'ancienne cage d'ascenseur d'époque du rez-de-chaussée, transformée en 'business corner'. Et près du grand hall d'entrée, à nouveau baigné par son "puits de lumière naturelle", les fauteuils en tissu et cuir spécialement dessinés assurent de nouveau au bar une touche anglaise 'cocoon' et feutrée.
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Publié par Francis MATÉO