Le Royal,
inauguré en 1961 sur la place de la République à Limoges (Haute-Vienne), fut durant 27 ans le lieu de rendez
vous incontournable des 'happy fews' locaux, sur fond de
voitures de luxe, de terrasse où il fallait être vu, et de réputation culinaire
très acceptable.
Jusqu'à 1 200 cafés par jour
"Nous proposons une fois par mois des soirées thématiques, révèle la dirigeante, telle la dernière réservée aux tapas. Nous développons une carte construite de produits frais, de la région, dans le pur esprit de la brasserie à la française, de qualité, mais très abordable. Notre ambition est de remettre en place une institution qui n'aurait jamais dû disparaître, en l'adaptant à notre époque."
Employant 15 personnes, ouvert six jours sur sept, de 8 heures à minuit, bénéficiant d'une vaste terrasse donnant sur l'agora la plus fréquentée de la capitale porcelainière, Le Royal 2018 affiche des formules à 14 €, des cafés à 1 €, un ticket moyen à 20 €. Six semaines après avoir rallumé ses lumières, il est déjà à nouveau très fréquenté, et l'on a l'impression qu'il n'a jamais fermé, tout le monde retrouvant ses habitudes, dès le petit noir du matin. Dans les années 1980, on y servait jusqu'à 1 200 cafés par jour, sur un total de 4 000 consos variées.
Son arrêt d'activité en 1988 avait laissé orphelins bon nombre
de Limougeauds, qui voyaient avec ses portes closes se tourner définitivement
une page importante de l'histoire de leur cité. Depuis, plusieurs expériences
avaient été tentées, avec différents propriétaires et diverses enseignes, sans
que jamais le lieu retrouve son souffle d'antan. La dernière en date, Le
France, tenu par Cyrille Boissier, l'ancien président de l'Umih 87, s'était arrêtée il y a plus d'un an … C'est pourquoi la réouverture de cette
brasserie peut être considérée comme un événement, sa renaissance suscitant bien des espoirs.
Laura Grespier et son compagnon Teddy se sont lancés dans l'aventure le 16 juillet dernier, après avoir investi 600 000 € dans réaménagement de l'ensemble, rénovant des sols aux plafonds la salle et ses annexes. La première vient du groupe Barrière et plus précisément du Normandy à Deauville. Le second a officié aux fourneaux de plusieurs étoilés.
Laura Grespier et son compagnon Teddy se sont lancés dans l'aventure le 16 juillet dernier, après avoir investi 600 000 € dans réaménagement de l'ensemble, rénovant des sols aux plafonds la salle et ses annexes. La première vient du groupe Barrière et plus précisément du Normandy à Deauville. Le second a officié aux fourneaux de plusieurs étoilés.
Jusqu'à 1 200 cafés par jour
"Nous proposons une fois par mois des soirées thématiques, révèle la dirigeante, telle la dernière réservée aux tapas. Nous développons une carte construite de produits frais, de la région, dans le pur esprit de la brasserie à la française, de qualité, mais très abordable. Notre ambition est de remettre en place une institution qui n'aurait jamais dû disparaître, en l'adaptant à notre époque."
Employant 15 personnes, ouvert six jours sur sept, de 8 heures à minuit, bénéficiant d'une vaste terrasse donnant sur l'agora la plus fréquentée de la capitale porcelainière, Le Royal 2018 affiche des formules à 14 €, des cafés à 1 €, un ticket moyen à 20 €. Six semaines après avoir rallumé ses lumières, il est déjà à nouveau très fréquenté, et l'on a l'impression qu'il n'a jamais fermé, tout le monde retrouvant ses habitudes, dès le petit noir du matin. Dans les années 1980, on y servait jusqu'à 1 200 cafés par jour, sur un total de 4 000 consos variées.
#LauraGrespier# #TeddyGrespier# #Limoges# #LeRoyal# #CyrilleBoissier#
Publié par Jean-Pierre GOURVEST
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