- 9 h : Passeport vaccinal pour aller au restaurant ? « Nous n’en sommes pas là car nous n’en sommes qu’au début de la campagne vaccinale », a indiqué Olivier Véran, ministre de la Santé, dans une interview sur TF1. Il a ajouté que 2 mètres entre 2 personnes sans masque était une mesure barrière à l'étude dans le cadre de l’évolution du protocole sanitaire.
- 9 h 10 : Pascal Mousset, président de la branche des restaurateurs du GNI, fait partie du comité consultatif sur le coronavirus mis en place par la Mairie de Paris. Composée d’une quarantaine de personnes issues du monde scientifique et de différents secteurs de la vie sociale et économique, cette instance a vocation à trouver des solutions pour adapter la Ville à la crise sanitaire.
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9 h 40 : Deux restaurateurs (Au Coin de la Rue et L’Arbre Jaune à Paris) demandaient à AXA une indemnisation égale à leur perte de marge brute, conformément à ce que prévoit leur contrat d’assurance. Le Tribunal de Commerce de Paris leur a donné satisfaction, dans son jugement du 21 janvier 2021.
- 10 h 45 : Artur Reversade, directeur général de La Folie Douce (8 établissements dans les Alpes) estime que son groupe va faire face à une "perte de chiffres d’affaires estimée de 80% si l’on se place dans le scénario positif d’une réouverture après les vacances de février".
- 11 h : A la question : recommanderiez-vous aux Français de reserver leur train pour les vacances de février ? Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d'État chargé du Tourisme répond : "Je suis dans le registre de la prudence. On va regarder les indicatifs de plus près dans quelques jours"." Ce virus, c'est l'inattendu permanent. Je sais que c’est très désagréable et pour un secteur comme le tourisme, c’est même un gros problème car il y a besoin de prévisibilité pour organiser les plannings en fonction des réservations", a-t-il ajouté sur BFM Business.
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11 h 25 : L’application TousAntiCovid va proposer à ses utilisateurs d’enregistrer leur présence dans les lieux publics considérés à risque en prenant en photo des QR codes. Cette fonctionnalité s’appuie sur un protocole cryptographique que la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a estimé suffisamment protecteur de la vie privée. (Le Monde)