"Dans la crise du covid-19 qui a touché sans précédent nos métiers, la restauration a bénéficié d’un fort engagement financier de la part de l’Etat pour sauver nos établissements et leurs emplois. Les Français ont également répondu présent à chaque étape pour la survie de nos entreprises, cette mobilisation de l’Etat et de nos clients nous engage et nous oblige. Elle engage notre profession à nous montrer à la hauteur des attentes de nos collaborateurs et de nos clients. Elle engage notre profession dans une activité plus respectueuse de nos fournisseurs, de nos agriculteurs, consciente du rythme des saisons. Elle engage notre profession à davantage valoriser nos savoir-faire, nos produits et leurs producteurs. Ces défis seront relevés si nous les travaillons avec les pouvoirs publics et en lien avec les Français".
L'image de la profession ne doit pas pâtir des agissements de quelques-uns
Didier Chenet, président du GNI, Roland Héguy, président confédéral de l'Umih, Jean-Virgile Crance, président du GNC et Hervé Dijols, président du SNRTC ajoutent : « Nous condamnons fermement la fraude que certains ont cru bon d’organiser. Ils ne méritent aucune indulgence de notre part car ils ont trahi la confiance de leurs pairs, de leurs collaborateurs et de leurs clients. La justice fera son travail. Nous tenons à rappeler que la très grande majorité des professionnels ne sont ni des tricheurs ni des fraudeurs et leur image ne doit pas pâtir des agissements de quelques-uns. Nos organisations accompagnent au quotidien des professionnels HCR qui ont souffert de la situation sanitaire, qui ont dû s’adapter pour tenter de survivre économiquement ».
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