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La Pommeraie ouvre ses portes en 1991, rachetée et rénovée par Marcel François, déjà propriétaire du Relais & Châteaux La Cheneaudière, dans les Vosges alsaciennes. Dès 1992, l'établissement rejoint la prestigieuse association. À l'époque, Pascal Funaro travaille en salle à La Cheneaudière et son épouse Christiane gère un restaurant à Strasbourg. En 2000, les Funaro rachètent la Pommeraie dont ils sont tombés amoureux. Une étoile au guide Michelin vient récompenser la table entre 2003 et 2009. Pour autant, avec Frédéric Morrisset, chef depuis 2011, ils ne courent pas après une nouvelle étoile : "Nous nous concentrons avant tout sur la satisfaction du client", explique Pascal Funaro, Maître restaurateur depuis 2009.
La Pommeraie comporte deux restaurants, un gastronomique (30 couverts) et une winstub (20 couverts), mais ne s'accroche pas à tout prix à la tradition : "Nous avons une importante clientèle d'habitués, les 2 cartes changent au moins trois fois par an, au gré des saisons. Il ne faut pas les lasser." Le chef souligne son goût du produit dans une cuisine simple, qui aime retravailler et alléger ses classiques, avec une touche de modernité.
Une maison datant du XVIIe siècle
Les 14 chambres de la bâtisse, construite en 1603, sont spacieuses (de 34 à 97 m2) et ont chacune leur identité propre, toujours intemporelle. Les projets de spa qui devaient agrémenter l'hôtel maintenant nanti de 4 étoiles n'ont pas survécu à la crise. Cependant, des soins à la demande peuvent être prodigués et les Funaro caressent l'ambition de spas individuels (hammam, sauna) pour leurs chambres les plus vastes.
La Pommeraie comporte deux restaurants, un gastronomique (30 couverts) et une winstub (20 couverts), mais ne s'accroche pas à tout prix à la tradition : "Nous avons une importante clientèle d'habitués, les 2 cartes changent au moins trois fois par an, au gré des saisons. Il ne faut pas les lasser." Le chef souligne son goût du produit dans une cuisine simple, qui aime retravailler et alléger ses classiques, avec une touche de modernité.
Une maison datant du XVIIe siècle
Les 14 chambres de la bâtisse, construite en 1603, sont spacieuses (de 34 à 97 m2) et ont chacune leur identité propre, toujours intemporelle. Les projets de spa qui devaient agrémenter l'hôtel maintenant nanti de 4 étoiles n'ont pas survécu à la crise. Cependant, des soins à la demande peuvent être prodigués et les Funaro caressent l'ambition de spas individuels (hammam, sauna) pour leurs chambres les plus vastes.
Publié par Flora-Lyse Mbella
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