Huit ans après avoir ouvert un Mendo sur les quais du Rhône, Jean-Yves Carpentier et Patrick Méhu, propriétaires de plusieurs restaurants sur Lyon, ont dupliqué leur concept sur la presqu'île. Ils ont installé leur nouvel établissement sur les quais de Saône à la place de la Commanderie des Antonins. Après plusieurs mois de travaux, ce nouveau Mendo bénéficie d'une surface beaucoup plus grande (700 m2) aménagée en plusieurs salles et alcôves. Les voûtes en pierre ont été conservées, et des photos prises au Japon rappellent qu'on est ici dans un restaurant de cuisine asiatique. Le concept n'a d'ailleurs pas changé. Mendo propose à sa carte des plats uniques à base de pâtes japonaises (ramen, soba, udon...) ou de riz, agrémentés de fruits de mer, de poissons ou de viande. Le tout cuisiné le plus souvent au wok ou en soupe. Un concept simple et surtout à petit prix, avec une formule du jour à 9,90 €.
Une visibilité accrue
Pour gérer cet établissement de 210 places assises, les propriétaires ont fait appel à Sébastien Jarret, qui a dirigé pendant trois ans le premier Mendo. À 30 ans, ce Roannais d'origine manage aujourd'hui une brigade de 19 personnes, qui assurent entre 300 et 400 couverts par jour. "Grâce à cet emplacement, Mendo a gagné en visibilité, car nous attirons désormais toutes les tranches d'âges, et nous avons réussi à fidéliser les habitants du quartier", se félicite le jeune directeur. Un espace de vente à emporter jouxte même le restaurant.
Une visibilité accrue
Pour gérer cet établissement de 210 places assises, les propriétaires ont fait appel à Sébastien Jarret, qui a dirigé pendant trois ans le premier Mendo. À 30 ans, ce Roannais d'origine manage aujourd'hui une brigade de 19 personnes, qui assurent entre 300 et 400 couverts par jour. "Grâce à cet emplacement, Mendo a gagné en visibilité, car nous attirons désormais toutes les tranches d'âges, et nous avons réussi à fidéliser les habitants du quartier", se félicite le jeune directeur. Un espace de vente à emporter jouxte même le restaurant.
Publié par Stéphanie Pioud
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