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En prenant la présidence du conseil d'administration du groupe Parques Reunidos, Yann Caillère tourne définitivement la page Accor, et retrouve l'univers des parcs de loisirs qu'il avait quitté pour l'hôtellerie. "Il s'agit du quatrième groupe mondial dans le domaine du loisir, explique l'intéressé, détenu majoritairement par le fonds d'investissements Arle et le groupe anglais Born Leisure, qui possède et/ou gère 69 parcs de loisirs entre parcs à thèmes, animaliers, aquatiques..." Le groupe possède également une activité prestataires de services avec un département conseil en ingénierie qui aide au lancement de nouveaux parcs.
Cette nomination est un blanc-seing pour doper l'activité du groupe : "Nous avons deux axes stratégiques forts, précise le nouveau président, qui consistent d'abord à optimiser l'existant soit en investissant dans de nouvelles attractions soit dans de nouveaux équipements, comme c'est le cas à Marineland Resort à Antibes, où seront injectés 30 M€. Ils serviront à la création notamment du Dolphin Lagoon, du Paradise Creek - une extension de ce lagon pour vivre une expérience sous l'eau -, et enfin, d'une nouvelle attraction sur les tortues, avec un film en 3D innovant. Enfin, nous avons ajouté la création d'un hôtel 3 étoiles de 90 chambres et suites, mais sans aucune marque d'opérateur, décoré sur des thèmes d'animaux marins. Le deuxième axe est notre développement par croissance externe, au travers de l'acquisition de nouveaux parcs mais aussi en développant la partie contrats de management."
Deux nouveaux parcs ont déjà été signés à Dubaï et d'autres sont en cours de finalisation. Pour le groupe, déjà très présent en Europe, les axes de développement se situent en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie et en Amérique latine, où le groupe est présent avec un seul parc à Mar del Plata (Argentine).
Trois ans pour atteindre le tout numérique
Pour aller vite, Yann Caillère annonce un plan à trois semaines, trois mois, trois ans "pour motiver les équipes et aller plus vite", dit-il. Une méthode qu'il avait déjà testée chez Accor. Car le groupe possède de solides ambitions et aimerait bien rentrer dans le trio de tête des géants du loisir : "En trois ans, nous devons gagner deux millions de visiteurs supplémentaires", estime-t-il. En utilisant des méthodes comme le Revenu Management, une offre tarifaire plus développée, avec notamment le développement du 'tout compris' incluant restauration et entrée au parc, le panier moyen devrait également augmenter. "Nous misons tout sur le numérique, souligne-t-il. Un nouveau CRM [outil pour la gestion client, NDLR] vient d'être mis en place ainsi que de nouvelles applications pour huit de nos parcs. En fin d'année, les 26 parcs les plus importants auront tous leur application." Une enveloppe de 200 M€ lui a été allouée pour atteindre ses objectifs numériques.
Cette nomination est un blanc-seing pour doper l'activité du groupe : "Nous avons deux axes stratégiques forts, précise le nouveau président, qui consistent d'abord à optimiser l'existant soit en investissant dans de nouvelles attractions soit dans de nouveaux équipements, comme c'est le cas à Marineland Resort à Antibes, où seront injectés 30 M€. Ils serviront à la création notamment du Dolphin Lagoon, du Paradise Creek - une extension de ce lagon pour vivre une expérience sous l'eau -, et enfin, d'une nouvelle attraction sur les tortues, avec un film en 3D innovant. Enfin, nous avons ajouté la création d'un hôtel 3 étoiles de 90 chambres et suites, mais sans aucune marque d'opérateur, décoré sur des thèmes d'animaux marins. Le deuxième axe est notre développement par croissance externe, au travers de l'acquisition de nouveaux parcs mais aussi en développant la partie contrats de management."
Deux nouveaux parcs ont déjà été signés à Dubaï et d'autres sont en cours de finalisation. Pour le groupe, déjà très présent en Europe, les axes de développement se situent en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie et en Amérique latine, où le groupe est présent avec un seul parc à Mar del Plata (Argentine).
Trois ans pour atteindre le tout numérique
Pour aller vite, Yann Caillère annonce un plan à trois semaines, trois mois, trois ans "pour motiver les équipes et aller plus vite", dit-il. Une méthode qu'il avait déjà testée chez Accor. Car le groupe possède de solides ambitions et aimerait bien rentrer dans le trio de tête des géants du loisir : "En trois ans, nous devons gagner deux millions de visiteurs supplémentaires", estime-t-il. En utilisant des méthodes comme le Revenu Management, une offre tarifaire plus développée, avec notamment le développement du 'tout compris' incluant restauration et entrée au parc, le panier moyen devrait également augmenter. "Nous misons tout sur le numérique, souligne-t-il. Un nouveau CRM [outil pour la gestion client, NDLR] vient d'être mis en place ainsi que de nouvelles applications pour huit de nos parcs. En fin d'année, les 26 parcs les plus importants auront tous leur application." Une enveloppe de 200 M€ lui a été allouée pour atteindre ses objectifs numériques.
Publié par X. S.
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