du 22 septembre 2005 |
REVUE DE PRESSE |
Dans la dépêche du midi
Ô Québec se développe en franchise
D'ici à la fin de
l'année sera inauguré le premier restaurant
franchisé Ô Québec. À Nantes, en décembre. Suivra l'établissement de Rennes. Puis
celui de Melun-Sénart dans le courant 2006. "L'objectif pour nous est d'ouvrir 2
unités par an", explique André Peaudeau, p.-d.g. du groupe, jusqu'à atteindre
10 à 15 succursales. [
] Vaste cabane de pin dans un écrin de verdure, décor
patchwork-trappeur XIXe siècle pour l'intérieur,
caribou et sirop d'érable au menu. [
] Dès la première année, Ô Québec est
rentable. Pour stabiliser aujourd'hui à Labège, site phare ouvert en 2000, son chiffre
d'affaires net à 1,20 ME. Une réussite qui incite donc à étendre le concept et à voir
plus grand. De fait, André Peaudeau a créé une nouvelle société cette année, ASPF
Conseil, chargée de l'accompagnement auprès des franchisés. zzz22v
Nathalie Ferhat
"Du bon travail, des bons produits et de la
créativité dans une maison de confiance, telles sont les promesses tenues par Le Chardon
Bleu"
Dans L'Est Républicain : Le Chardon Bleu Chez Bagot à Nancy (54). zzz22v
Dans libération
Thierry Marx : ceinture noire et cordon-bleu
La tomate iceberg, juchée sur son cylindre de
glace, tombe dans une eau tiède d'herbes potagères semée de pavots en fleur. Thierry
Marx est un chef révolutionnaire, militant du
réchauffement et de l'engloutissement de la planète Gastronomie. "Ce mot me
dégoûte, dit-il. Je vois un gros gastéropode baveux qui se traîne." Chez
cet adepte d'écumes, de fumets et de quintessence, le saucisson est "virtuel".
Le pavé de blonde d'Aquitaine est empaqueté de papier cristal. Les assiettes, bulles de
verre soufflé, sont invisibles.
Il déteste les odeurs de viande cuite, la sauce qui tache et le sacro-saint terroir au relent "pétainiste".
Mais les escargots, bourguignonne ou bordelaise ? Thierry Marx est végétarien.
Depuis 7 ans, il tient les cuisines du Château
Cordeillan-Bages, à Pauillac, Médoc. [...]
L'an prochain, ce chef à tête de samouraï s'est promis de décrocher sa 3e
étoile Michelin et de passer cinquième dan en judo.
[...] Récemment, il a promis à son équipe : "Quand on touche la troisième
étoile, j'ouvre un kebab." Un très bon, pas cher. La street food contre la
malbouffe [...]. C'est son combat de chef, le plaisir pour tous, et l'éradication de
l'obésité, "la vraie misère d'aujourd'hui".
zzz22v
Pascale Nivelle
"C'est Fabrizio Degiorgi qui apporte ses
recettes de son île natale, la Sardaigne. Pas de pizzas, mais des plats hauts en couleur
et en saveurs"
Dans Le Télégramme : Restaurant-bar Il Positano à Lorient (56). zzz22v
Dans le figaro
Sodexho : Michel Mandel, l'homme du sursaut américain
Autant Pierre Bellon est volubile, cultivant son
exubérance méridionale, autant Michel Landel, 54 ans, intronisé directeur général,
est un homme de peu de mots. Ou plutôt qui pèse ses mots. [
]
Arrivé en 1984, Michel Landel commence par la
gestion des bases - vie en Afrique et au Moyen-Orient. 5 ans plus tard, il traverse
l'Atlantique pour prendre les commandes des activités nord-américaines. Il s'installe à
Boston, où sa femme crée une société de conseil, et c'est lui qui va réaliser le
rêve américain de Sodexho. En 1998, il met en oeuvre l'acquisition de Marriott Services
et il joue ensuite un rôle-clé dans la montée en puissance de la
filiale américaine. Celle-ci représente aujourd'hui près de la moitié du chiffre
d'affaires du groupe, dont l'introduction en 2002 à la Bourse de New York a sonné comme
une consécration pour son fondateur. Changement de personnalité, changement de style :
à l'entrepreneur succède aujourd'hui le manager. Mais Pierre Bellon a veillé à choisir
un homme qui a l'expérience nécessaire pour diriger un groupe mondial et qui soit
imprégné de la culture maison. Le président sortant n'a jamais caché son penchant pour
la bonne chère. Michel Landel, lui, a un talent de cordon-bleu. Il ne dédaigne pas se
mettre aux fourneaux. Ce qui n'est pas inutile pour diriger une entreprise comme Sodexho. zzz22v
"Un jardin ombragé loin des bruits de la
circulation. Une salle à manger au charme un brin suranné dans une belle maison
bourgeoise. Bases classiques pour une cuisine qui vit avec son temps. On aime !"
Dans Le Progrès : Chez Fernand à Champagne-au-Mont-d'Or (69). zzz22v
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L'Hôtellerie Restauration n° 2943 Hebdo 22 septembre 2005 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE