du 6 octobre 2005 |
REVUE DE PRESSE |
DANS
LA DÉPÊCHE DU MIDI
Qui en veut
au Restaurant des Arcades ?
"Qu'est ce qui a poussé une ou
plusieurs personnes à incendier le Restaurant des Arcades à Galan (65) ?" C'est
la question que se posent, depuis le 31 août, Nadine Grollet, gérante, et Robert
Camgouilhem, cuisinier. [
] "Selon un expert, entre 10 et 13 feux ont été
allumés aussi bien dans la salle de restaurant que dans la cuisine et dans la cave, s'insurge
le cuisinier. Ils ont clairement été allumés pour nuire au restaurant, car le bar et
l'hôtel attenants n'ont pas été visés." Nappes carbonisées, verres tachés
de noir d'une suie tenace, bouteilles de champagne pulvérisées ou encore murs
dévastés, les dégâts sont terribles pour ce jeune établissement.
[
] "Qui peut nous en vouloir après seulement
3 mois d'activité ? C'est vrai que ça marchait très bien, on avait jusqu'à 50 couverts
le midi, mais nous ne sommes pas du département, nous ne voyons donc pas quels ennemis on
pourrait avoir !" [
]
Tourmentés par l'événement, Nadine et Robert attendent impatiemment de connaître le
coupable "pour pouvoir dormir en paix". Décidés à commencer les
travaux dès le feu vert des experts, ils espèrent rouvrir pour les fêtes. Mais cette
fois, on ne les y reprendra plus. "Quitte à embaucher quelqu'un, une personne
sera présente sur les lieux en permanence."
Claire Lagadic zzz22v
"Cuisine
de tradition et de mémoire 'avec des quiches, des tartes aux fruits ou des pommes au four
comme les préparaient déjà mes grands-parents'. "
Dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace
: Auberge au Zahnacker à Ribeauvillé (68).
DANS
LES ECHOS
Four Seasons
: "Nous allons encore doubler de taille"
Les Echos : La taille modeste de votre
groupe n'est-elle pas un inconvénient ?
Isadore Sharp, patron fondateur du groupe Four Seasons :
Nous voulons être les meilleurs, pas les plus gros. En 1975, nous avons arrêté une
stratégie : nous spécialiser sur les hôtels de luxe de taille moyenne et être les
meilleurs sur ce segment. Nous ne serons jamais Hilton ou Marriott. Mais sur notre coeur
de marché, nous sommes devenus le premier acteur. Nous sommes largement assez grands pour
être compétitifs, et surtout nous avons une marque suffisamment forte pour nourrir notre
croissance. Nous pouvons ainsi ouvrir dans un pays comme le Costa Rica et nos clients nous
suivent.
Les Echos : Mais une fois atteinte la
centaine d'hôtels, comment continuerez-vous à croître ?
Isadore Sharp : Il n'y a pas un nombre plafond.
Regardez la vitesse à laquelle croissent les pays en voie de développement. Croyez-vous
qu'un hôtel en Inde pour plus de 1 milliard d'habitants c'est suffisant ? Nous aurons
bientôt 2 établissements à Moscou mais aucun dans le reste de la Russie. Combien
pourrons-nous avoir d'unités en Chine, en Amérique latine
Ne regardez pas le monde
tel qu'il est aujourd'hui, mais tel qu'il pourrait être demain. Nous pouvons ouvrir de 5
à 8 hôtels par an. Nous en aurons bientôt une centaine et nous finirons encore par
doubler de taille car le monde évolue. [
]
Propos recueillis par D. B. zzz36
"Leur
credo ? Mélanger produits du terroir et saveurs asiatiques : ravioles au foie gras et à
la tomate confite pochée dans une crème à la citronnelle, sushis makis au foie gras
mi-cuit
"
Dans La Provence : Le Lemon Grass à Marseille (13).
v
DANS
20 MINUTES
Un hôtel normand
vachement original
Les ruminants ont enfin trouvé leur pré
carré : le Manoir aux Vaches, à Yvetot (Seine-Maritime). Ce petit hôtel au coeur du
Pays de Caux (au nord de Rouen) abrite une collection unique au monde de 1 600 objets qui
sont dédiés aux vaches. Janine Lefebvre, grande voyageuse, a la passion de cet animal.
Elle en a rapporté des quatre coins du monde. D'Inde, bien sûr, où cet animal est
sacré.
De Crète, où le taureau orne les fresques des palais antiques encore marqués par le
souvenir du Minotaure. Mais aussi du Pérou, des États-Unis, d'Afrique, du Danemark
En terre, bois ou faïence, chacune raconte son histoire et
se rend utile. Elle est partout, du sol au plafond, dans la chambre, la salle de bains, à
table et jusque dans l'assiette à travers des produits laitiers du terroir. De quoi
devenir chèvre.
Véronique Geoffroy zzz22v
"Frédéric
Pesenti vante les vertus d'une cuisine du marché qui n'usurpe pas son identité."
Dans Le Progrès : Le Clocher à Brignais (69).
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L'Hôtellerie Restauration n° 2945 Hebdo 6 octobre 2005 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE