du 17 novembre 2005 |
REVUE DE PRESSE |
DANS
LES ECHOS
LE DESSERT ROI DU MENU
La vogue du
macaron s'inscrit dans une large tendance en faveur des
desserts. À New York, des restaurants 'dessert only' ont fait leur apparition, mouvement
suivi par un nombre croissant de restaurateurs. De son côté, Alain Ducasse a inauguré
en novembre dernier à Beyrouth le 'Tamaris', entièrement consacré à des desserts
réinterprétés par le chef. Sébastien Gaudard, ancien chef pâtissier de Fauchon et qui
préside désormais aux destinées du Delicabar du Bon Marché, a imaginé sa carte autour des gâteaux de notre patrimoine culinaire.
Au lieu de proposer d'un côté le salé et de
l'autre le sucré, le menu présente les plats au travers d'une segmentation issue de
l'univers pâtissier : tartelettes, sablés, sabayons ou encore millefeuille. "J'essaie
de lier le connu à l'inconnu. J'ai un rôle d'éducation", résume Sébastien
Gaudard. Enfin, le 'desserting' - composer son menu uniquement de desserts dans un
restaurant renommé - s'annonce comme la nouvelle coqueluche des lieux branchés des
métropoles internationales.
DANS
LIBÉRATION
Londres amorce un plein à l'huile de
friture
L'amour des Britanniques
pour la junk food et le gras en général pourrait se révéler très salutaire en
matière de protection de l'environnement. Une étude conduite par London Remade et London
Community Recycling Network, deux agences environnementales, préconise que tout le gras et les huiles végétales dont se débarrassent
chaque jour restaurants et cafés de façon illégale (avec leurs eaux usées) soient
recyclés en carburant bio. Bus et taxis londoniens pourraient ainsi rouler grâce au gras
récupéré des fish and chips
[
]
Il faudrait pour cela, estime cette étude, instaurer une collecte gratuite des huiles
usées et autres graisses jetées par
les professionnels de la restauration. Car même si ceux-ci ont pour obligation de
séparer ces matières grasses du reste de leurs déchets, la majorité d'entre eux
préfère ignorer la loi. Des initiatives locales ont commencé à voir le jour et à
montrer la voie. Comme à Bromley, banlieue sud de Londres, où Thames Water et Transport
for London récupèrent directement auprès des 109 cafés et restaurants participant à
l'opération près de 4 tonnes de graisses usées par semaine. [
] On estime à 37
000 tonnes la quantité annuelle de déchets gras produite par la restauration
londonienne, dont seulement 15 000 sont collectées.
Agnès Catherine Poirier
DANS
L'EXPRESS
Le premier livre d'Hélène Darroze
L'Express :
En vous mettant à nu de cette manière, n'avez-vous pas peur de brouiller votre image
sérieuse de chef de cuisine talentueuse et ambitieuse ?
Hélène Darroze : "Lorsque j'ai fait
lire mon manuscrit à mes amis proches, beaucoup m'ont déconseillé de le publier. 'Tu
tends le bâton pour te faire battre !' m'ont prévenue certains. J'étais consciente
de ce risque, mais j'ai préféré aller jusqu'au bout, en espérant que mes lecteurs
sauront reconnaître ma sincérité. Et puis, raconter ces bribes de vie, c'était aussi
et surtout une manière de retracer l'histoire de
ma cuisine. J'ai en effet puisé mon répertoire culinaire dans tous les épisodes de ma
vie, de la sauce de porc d'Alexandre, un lointain cousin, aux rougets rôtis avec lequel mon père a séduit ma mère, en
passant par le Parmentier de boudin aux pommes de ma nourrice Galette
"
S'il ne
fallait retenir qu'un plat ?
Hélène Darroze : "Ce serait l'Escaoutoun, un plat typiquement landais dont
raffolait ma grand-mère Hortense. À l'origine, c'était une espèce de flan spartiate à
base de farine de maïs et d'eau, qu'on mangeait avec du jambon ou du lard et qui faisait
office de pain en période de disette. Depuis, j'ai revisité cette recette avec du brebis
basque fermier, des cèpes et du jus de volaille. Mes clients adorent !" [
]
François-Régis Gaudry
"Personne ne me volera ce que j'ai dansé", par Hélène Darroze, Le Cherche
Midi - 55 E
"La cuisine de Jean-Paul Hervé a du tempérament. Et même de
l'originalité."
Dans Le Dauphiné Libéré : Le Cygne à Amphion (74).
"Dans ce bistrot d'Issy-les-Moulineaux, Christophe et Régine
accommodent les produits du terroir de leur généreuse Corrèze d'origine. Et le
résultat est divin."
Dans L'Express : Les Quartauts à Issy-les-Moulineaux (92). zzz22v
"Une cuisine dépaysante et parfumée. Toutes les saveurs de l'île de
La Réunion,avec les piments en option."
Dans Midi-Libre : Le Jardin Créole à Cournonsec (34).
Article précédent - Article suivant
Vos questions et vos remarques : Rejoignez le Forum des Blogs des Experts
L'Hôtellerie Restauration n° 2951 Hebdo 17 Novembre 2005 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE