Depuis le mois de septembre, la ville de Limoges
possède son food truck, baptisé La Grande Ourse. À l'origine de ce projet, on
retrouve Baptiste Dumas, un chef d'entreprise de 26 ans. À la
sortie de son école de commerce, le jeune limougeaud a rejoint le monde des
arts de la table, en travaillant au développement international (en Russie
notamment) de l'entreprise de porcelaine de Limoges Non sans raison, dirigée par son frère, Martial. Puis il s'est lancé dans un projet de camion de
restauration, un concept venu de l'Ouest américain qui connaît actuellement un
véritable engouement en France. "J'ai réalisé une étude de marché sur le
secteur de la restauration à emporter qui révélait de réelles perspectives.
Côté cuisine, j'ai bénéficié des conseils de Stéphane Reix, chef du
restaurant le Churchill à Limoges, puis j'ai acheté un camion d'épicier
d'occasion pour 4 000 €. Son aménagement a nécessité 6 000 €",
avoue le jeune homme.
Itinérance et convivialité
Pour l'instant, l'entreprise est en phase de rodage et l'essentiel de l'activité se greffe sur des événements. "J'ai accompagné des vernissages d'exposition ou bien des concerts. En marge de ces événements-là, j'ai capté une clientèle. Ce concept est nouveau et peu connu de la population locale. Des contacts ont été noués avec des entreprises désireuses de voir la Grande Ourse proposer un repas à leurs salariés. Mais bientôt, je veux pouvoir sillonner Limoges et la campagne limousine" poursuit Baptiste Dumas.
En termes de prix, La Grande Ourse propose un sandwich à 5 € et une formule plat + dessert + boisson à 10 €. Côté produits, l'idée est de se démarquer d'une simple sandwicherie. "Je souhaite m'inscrire dans une démarche de qualité et orienter ma carte autour des sandwiches du monde, de nems, de samossas de légumes d'hiver et autres tapas. Je travaille avec artisans boulangers, des bouchers, des producteurs, des maraichers.. Mais je souhaite aussi inviter d'autres chefs à venir cuisiner dans le camion avec moi. Ce serait, pour eux, une sorte de showroom pour rencontrer une autre clientèle" explique le chef d'entreprise.
Au mois de janvier prochain, La Grande Ourse sera présente sur le salon du prêt-à-porter, à Paris. À cette occasion, Baptiste Dumas ouvrira les portes de son camion à un chef gastronomique et un sommelier pour une prestation street food unique où la part belle sera également faite à la porcelaine de l'entreprise Non sans raison.
"À ce jour je suis dans les clous au regard du prévisionnel que je m'étais fixé. Les bilans financiers et les retours de la part des clients sont encourageants", conclut avec enthousiasme ce restaurateur novateur.
Itinérance et convivialité
Pour l'instant, l'entreprise est en phase de rodage et l'essentiel de l'activité se greffe sur des événements. "J'ai accompagné des vernissages d'exposition ou bien des concerts. En marge de ces événements-là, j'ai capté une clientèle. Ce concept est nouveau et peu connu de la population locale. Des contacts ont été noués avec des entreprises désireuses de voir la Grande Ourse proposer un repas à leurs salariés. Mais bientôt, je veux pouvoir sillonner Limoges et la campagne limousine" poursuit Baptiste Dumas.
En termes de prix, La Grande Ourse propose un sandwich à 5 € et une formule plat + dessert + boisson à 10 €. Côté produits, l'idée est de se démarquer d'une simple sandwicherie. "Je souhaite m'inscrire dans une démarche de qualité et orienter ma carte autour des sandwiches du monde, de nems, de samossas de légumes d'hiver et autres tapas. Je travaille avec artisans boulangers, des bouchers, des producteurs, des maraichers.. Mais je souhaite aussi inviter d'autres chefs à venir cuisiner dans le camion avec moi. Ce serait, pour eux, une sorte de showroom pour rencontrer une autre clientèle" explique le chef d'entreprise.
Au mois de janvier prochain, La Grande Ourse sera présente sur le salon du prêt-à-porter, à Paris. À cette occasion, Baptiste Dumas ouvrira les portes de son camion à un chef gastronomique et un sommelier pour une prestation street food unique où la part belle sera également faite à la porcelaine de l'entreprise Non sans raison.
"À ce jour je suis dans les clous au regard du prévisionnel que je m'étais fixé. Les bilans financiers et les retours de la part des clients sont encourageants", conclut avec enthousiasme ce restaurateur novateur.
Publié par Fabrice VARIERAS
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