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L'Authentique : un deuxième restaurant pour Jean-François Dive

Restauration - jeudi 17 mars 2011 17:10
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Cahors (46) À quelques centaines de mètres de L'O à la Bouche, son premier restaurant à la cuisine contemporaine et créative, le chef ouvre un établissement plus terroir où déguster de bons plats 'canaille'.



Florence et Jean-François Dive (et leur fille Elisa) : l'envie d'entreprendre
Florence et Jean-François Dive (et leur fille Elisa) : l'envie d'entreprendre

Huit ans après son installation à Cahors, Jean-François Dive ouvre un deuxième restaurant. “L’Authentique a pris la place depuis la mi-mars de L’O à la Bouche que je transfère à quelques centaines de mètres dans un nouveau lieu qui ouvre début avril”, affirme ce chef dynamique de 38 ans.
L’Authentique sert une cuisine régionale alors que L’O à la Bouche continuera à proposer une cuisine contemporaine métissant saveurs d’ici et d’ailleurs.
“À L’Authentique, nous utilisons les mêmes produits qu’à L’O à la Bouche mais on les travaille plus simplement. C’est l’endroit idéal pour venir manger un plat canaille, de la tête de veau, des tripes, des mets mijotés”, affirme Jean-François Dive.
Avec Françoise, son épouse, l’envie de changer est venue en 2009, puis l’opportunité d’acheter les murs du nouvel établissement a précipité la décision. “Après vingt ans de métier la tête dans le guidon, c’est bien d’avoir une dynamique d’entrepreneur. L’expérience sert à cela.”

“Ma clientèle est ouverte”
“Nous n’avons pas fermé le lieu où L’O à la Bouche était implanté parce que c’est huit ans de notre vie, notre première affaire. Dans le nouvel établissement, avec plus d’espace à ma disposition, je mettrai en place des menus plus ambitieux. Ma clientèle est ouverte, pas forcément terroir”, ajoute-t-il.
Jean-François Dive est Belge. Après des débuts à La Villa Lorraine et à L’Écailler (3 et 2 étoiles) à Bruxelles, il a travaillé au Fer à Cheval à Mégève, aux Belles Rives à Juan-les-Pins, au Byblos à Saint-Tropez, au Château de Mercuès dans le Lot. “Travailler en France me semblait un passage obligé”, dit-il.
Il a aussi vécu quatre ans, comme chef de cuisine, sur le catamaran d’un milliardaire. “On y apprend l’adaptation et la cuisine au jour le jour en s’approvisionnant sur les marchés locaux lors des escales, aux Antilles comme en Méditerranée.”
Bernard Degioanni

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